La Bibliothèque d’ICAEn 1976, Robert Charroux a publié un livre « L’énigme des Andes » dans lequel il retrace notamment sa rencontre avec le Dr Cabrera et les pierres d’Ica.
Il est à noter que le Docteur Javier Cabrera Darquea était chirurgien, Professeur à l’Université d’Ica et une personnalité de l’élite scientifique du Pérou.
Il a attendu une partie de sa vie que la communauté scientifique vienne analyser sa découverte. Attente vaine d’ailleurs.
Ces pierres gravées constituent selon ses propres termes une véritable « bibliothèque préhistorique ». Combats entre hommes et dinosaures ou interventions chirurgicales nous sont comptés.
1) La première curiosité des pierres d'Ica réside dans l'emplacement même où ces pierres ont été trouvées. En venant de la mer, ou en longeant les côtes péruviennes, lorsque vous voyez le "Chandelier des Andes", vous suivez la direction qu'il indique vers les fameuses lignes de Nazca et vous survolerez Ica, petite ville à 360 kilomètres au sud de Lima.
C'est une région désertique, parmi les plus anciennes du globe, où l'on peut voir de nombreux restes pétrifiés d'animaux affleurant à la surface.
Le sous-sol contient de nombreuses tombes incas et pré-incaïques.
2) La deuxième curiosité, est la manière dont ces pierres ont été déclarées fausses. Celles-ci ne seraient qu'un canular monté par un simple paysan péruvien illettré !
Soumis à de nombreuses menaces, le paysan en question a fini par avouer tout ce qu’on lui demandait.
Il semble que des pierres noires gravées aient été ramenées en Espagne par les premiers conquistadors du Pérou au XVIe siècle, puis d'autres auraient émergé en 1908, puis de nouveau, quelques pierres auraient été vendues dès 1961, mais ne possédant pas de références à leur sujet, nous n'en tiendrons pas compte.
Les premières pierres sont rassemblées au début des années 60 par Carlos et Pablo Soldi. Pendant des années, ils demanderont officiellement à de nombreuses reprises que leurs pierres soient examinées par les autorités dites compétentes, en vain... Puis en 1966, un architecte, Santiago Agurto Calvo, qui avait également réuni de nombreuses pierres depuis plusieurs années, procéda à l'excavation de tombeaux à Ocucaje. Il trouva alors quelques spécimens dans des tombes pré-incaïques.
C'était la première fois que la provenance de ces pierres pouvait être authentifiée, en accord avec l'archéologie officielle. Cela n'a pourtant pas suffit à intéresser les archéologues...
L'histoire officielle des pierres d'Ica commence donc en 1966.
Si ces pierres sont des faux, il reste plusieurs points à éclaircir :
Les galets sont en andésite, une roche volcanique du Mésozoïque vieille de 230 à 60 millions d'années, extrêmement dure et oxydée sur sa couche extérieure, ce qui rend néanmoins la gravure possible. Or, les incisions qui font la gravure sont elles aussi oxydées et ont été expertisées par un laboratoire péruvien puis allemand, de l'université de Bonn, comme extrêmement anciennes ( une datation exacte est impossible dans l'état actuel de nos connaissances ).
Il serait donc très intéressant de savoir comment et surtout pourquoi ce paysan illettré se serait compliqué la tâche à ce point juste pour donner à des faux une apparence authentique d'une manière aussi subtile en n'oxydant que les incisions !
Un autre argument en faveur de l'authenticité de ces pierres gravées, tient dans leur nombre.
Même en ne tenant compte que des 15 000 pièces détenues par le Dr Cabrera, ( et il estime qu'il en a été exhumé entre 40 000 et 50 000, avec ce qui a été vendu aux touristes, ce qui est toujours conservé par les habitants et dans le musée d'Ica ) :
ce pauvre paysan aurait dû se mettre au travail dès son adolescence à raison de 10 heures par jour et cela sans interruption pendant plus de 40 ans, belle constance et une sacrée suite dans les idées, pour récolter in fine quelques dollars !
ou bien, ce fermier est le dirigeant de gros ateliers de fabrication qu'il serait quand même assez difficile de dissimuler, et de conserver secrets, les paysans locaux ayant une seconde activité, ce qui ne serait pas passé inaperçu, alors que les quelques faux, décelables, qui sont fabriqués, le sont en plein jour à la vue de tous.
Un autre point remarquable tient dans la diversité des sujets dessinés sur ces pierres et les connaissances nécessaires pour imaginer toutes ces gravures qui font de ce paysan illettré un érudit hors-pair.
3) La troisième curiosité des "glyptolithes" ( nom donné à ces galets gravés par le Dr Cabrera qui les étudie depuis près de 40 ans ), tient dans ce que ces gravures nous apprennent et qui font qu'elles sont rejetées sans appel possible par la communauté scientifique, tellement ce qu'on y voit est en désaccord avec tout ce que l'on nous a appris.
Par exemple, on y voit pêle-mêle, des hommes domestiquant des dinosaures, combattant d'autres dinosaures, des espèces animales disparues, des hommes regardant les étoiles à l'aide de longue-vue, regardant des pétroglyphes ou des fossiles avec des loupes, des cartes stellaires, des cartes de la Terre telle qu'elle était il y a 13 millions d'années, des opérations chirurgicales stupéfiantes, décrites étape par étape, des césariennes, des transplantations d'organes, du coeur, des reins et même du cerveau (!!!), etc.
Evidemment, tout cela ne cadre absolument pas avec ce que nous croyons savoir sur le passé.
Les pierres d’IcaIl ne s’agit pas de quelques pierres, mais de milliers de pierres gravées. Une grande partie de ces pierres est visible au Musée privé du Dr Cabrera, mais également au Musée régional d’Ica.
Au premier abord, ces pierres peuvent être comparées à une gigantesque bande dessinée. Cette dernière retrace la vie d’animaux disparus bien avant l’apparition de l’homme comme les dinosaures.
Elles ressuscitent également en images une civilisation qui possédait de toute évidence de grandes connaissances en médecine, en astronomie ou en géographie.
Le Dr Cabrera a rassemblé une incroyable collection de galets arrondis, de pierres plates et de blocs rocheux d’andésite. Certaines pierres pèsent 200 kg.
Sur ces pierres, on peut lire une histoire qui se déroulait il y a plusieurs millions d’années. Des animaux parfaitement dessinés apparaissent : dinosaures et ptérosaures par exemple. On peut également y voir des hommes qui chassent des dinosaures.
Il est impossible de décrire toutes les scènes tant les pierres sont nombreuses. Les plus significatives représentent :
Des hommes qui utilisent une loupe
Des astronomes qui observent le ciel avec un télescope
Des chirurgiens qui pratiquent une césarienne sous anesthésie, mais également une greffe du cœur qui semble avoir réussi (l'ensemble de l'opération est décrit sur une vingtaine de pierres)
Des cartes de la Terre telle qu'elle était il y a 13 millions d'années
Quelques pistesLes géologues ont apporté la preuve qu’un ou plusieurs grands cataclysmes planétaires se sont produits dans le passé.
Le mythe du Déluge n’est aujourd’hui plus un mythe sauf pour les scientifiques les plus bornés.
Nous avons retrouvé à travers le monde entier des objets qui n’auraient jamais dû exister : mécanisme d’antycithère, modèles réduits d’avions, accumulateurs à piles sèches, cartes anciennes reproduisant le monde bien avant la dernière glaciation…
Sans parler des nombreux vestiges archéologiques dont la construction reste une énigme et dont certains, comme le Sphinx de Gizeh, sont datés à une époque où l’homme dit "civilisé" n’était pas censé exister.
Alors, que doit-on en conclure ? Certaines civilisations anciennes étaient-elles technologiquement plus avancées qu'on ne le croit ?
Ou manque-t-il un élément fondamental dans ce puzzle qui nous permettrait de comprendre ces incohérences ?
Les indices accumulés sont nombreux et disséminés dans le monde entier. Il faudrait pouvoir rassembler tous les éléments qui viennent en contradiction avec les théories officielles.
En effet, seule une analyse globale des éléments nous permettra d’établir une théorie cohérente.
V.Battaglia (04. 2005)
Source: Dinosoria.com
Pendant des années, le Dr Cabrera a harcelé son pourvoyeur pour connaître l'emplacement d'où il tirait ces pierres, qu'il ramenait avec parcimonie, puis par paniers entiers.
Dans un premier temps, il a réussi à apprendre qu'à la suite d'une crue très importante de la rivière Ica, un pan important de la montagne s'était effondré, révélant alors plusieurs grottes, dont le paysan tenait à garder l'emplacement secret.
Finalement, le Dr Cabrera serait parvenu à se faire emmener sur les lieux, et selon ses dires, aurait pénétré dans une grotte qui contiendrait, toujours selon ses estimations plus de 100 000 pierres.
Le Dr Cabrera s'est toujours déclaré prêt à révéler cet emplacement seulement à une équipe de scientifiques dûment mandatée pour effectuer des recherches sérieuses. Mais voilà, puisque les pierres sont déclarées fausses, jusqu'ici, aucun scientifique n'a eu le courage, l'audace de braver l'interdit, de risquer sa carrière, sa réputation, pour entreprendre leur étude.
Alors, peut-être pour encore quelques années, la mémoire de notre passé va sommeiller au fond d'une grotte, en espérant que celle-ci ne soit pas pillée.
En résumé, sans trop entrer dans des détails fantastiques, une "humanité" nous a précédés. Elle avait atteint un niveau technologique très avancé, mais elle s'est vue anéantir par une catastrophe cosmique, chute d'une météorite ou d'une comète. Les rescapés ont dû repartir à zéro, et ont alors gravé ces galet comme témoignage de leurs connaissances, pour la postérité.
Pour voir ces pierres:
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