De nombreux documents photos ramenés par les astronautes américains des missions Apollo successives, sont aujourd’hui classifiés Top Secret. Or, ces documents ne concernent pas uniquement la Lune. Certains concernent les pôles de la Terre. Voici par exemple une photo prise par l’équipage d’Apollo XI en juillet 1969, et qui est miraculeusement passée au travers des mailles des filets de la censure de l’administration américaine.
Cette photo en apparence « anodine », révèle cependant la présence d’un trou noir à proximité du pôle nord. Ce trou noir semble absorber les nuages vers l’intérieur de la Terre.
Les calculs effectués à partir de l’échelle de la photo aboutissent grosso modo à un diamètre du trou d’environ 900 à 950 Km, soit une circonférence de 2900 à 3000 mètres. Si ce trou correspondait à une ouverture dans la calotte polaire, elle serait située à environ 86° de latitude Nord. Or on sait que des rapports d’explorateurs, dont les conclusions sont restées secrètes (celles de l’Amiral Byrd notamment) mentionnaient un trou de 716 Km, pour une circonférence de 2250 Km, et une ouverture dans la calotte polaire à partir de 86,8° de latitude Nord. Cette photo semble donc confirmer à peu de chose près les conclusions du livre de R. Bernard, ''the hollow Earth'' paru bien avant la première mission Apollo.
Par ailleurs, en regardant ce trou de plus près, on constate une dénivellation dans la hauteur des nuages visibles sur son pourtour. Le dénivelé correspond environ à la moitié du diamètre du trou, soit une épaisseur d'environ 400 km. Or on sait que les plus hautes couches de nuages de l’atmosphère dépassent rarement une altitude de 50 000 pieds {soit 15 km}. Cela signifie que les nuages photographiés à l’intérieur du pourtour du trou sont à environ 385 km en dessous du niveau du sol !!!
Voilà pourquoi cette photo aurait dû faire partie de l’ensemble des documents de la NASA classifiés Top-Secret, car en démontrant l’existence d’un trou béant à l’extrême nord de notre planète, elle contredit toutes les données scientifiques habituellement acceptées par la science officielle. Il s’agit d’un trou tellement immense que l’on arrive même pas à en voir le fond !
Cette photo a été prise au mois de juillet, époque de l’année où il fait jour au Pôle Nord 24 heures sur 24 ; c'est pourquoi le trou dans les nuages est si clair et si visible. Or le fond de ce trou n'est pas blanc, comme devrait le refléter la couche de glace et de neige qui est supposée y rester 365 jours par an. Pourquoi ? simplement parce qu’il n’y en a pas. Et pourquoi n’y en a-t-il pas ? parce que ce trou communique avec le centre de la Terre qui est une région au climat tempéré et agréable en toutes saisons !
POURQUOI CROYEZ VOUS QUE LE SURVOL DES POLES EST INTERDIT ?La NASA au pole Antarctique, futurs révélations de secrets...?
Un radar de la NASA révèle des paysages sous les glaces de l’Antarctique...
Un avion DC-8 de la NASA équipé de radar laser qui pénètre la glace, et un compteur de gravité révèle un monde complexe et dynamique sous l’énorme couche de glace qui couvre l’Antarctique. L’avion survolera l’Antarctique pendant 6 semaines dans le cadre d’une mission.
La calotte glaciaire antarctique couvre une superficie plus vaste que l’Europe. Par endroits, elle fait des kilomètres d’épaisseur. Si un jour elle fond, le niveau des mers va augmenter de plusieurs dizaines de mètres. Sous la glace les scientifiques savent depuis des années qu’il y a des volcans, des montagnes, des rivières et des lacs. Mais pourrait-il y avoir autre choses ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]LA THEORIE DE LA tERRE CREUSESignaux radio du centre de la Terre reçus par la NASA :
Le très sérieux journal canadien ''Weekly World News'' a publié le 14 février 1995 un article qui prouve à nouveau la théorie de la Terre creuse. Voici le titre de cet article : « Cap Canaveral, Floride - La NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l'intérieur de la Terre. Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée ! »
Un haut responsable de la NASA qui ne veut pas dire son nom affirme dans l’article qu’il existe sous terre des êtres qui cherchent à entrer en communication avec nous. « Quels qu’ils soient, - dit-il - ils disposent d'une technologie qui est capable d'envoyer des signaux à travers l'écorce terrestre, des centaines de kilomètres de terre et de roche ».
Des scientifiques auraient perçu les premiers signaux le 30 octobre 1994, grâce à des satellites très sensibles. Depuis ce jour, les émissions se sont renouvelées à intervalles réguliers, déclare le responsable de la NASA. « Les signaux radio seraient composés d'un code mathématique très complexe, qui nous a convaincus que nous étions en contact avec une colonie d'êtres vivants dont l'intelligence est sans doute supérieure à la nôtre ». Il précise que les scientifiques n'ont pas eu trop de mal à déchiffrer les messages, mais il a refusé plusieurs fois de révéler ce qu'ils contenaient.
« Je ne dirais pas que les messages sont de nature hostile, mais leur contenu pourrait provoquer des controverses et des inquiétudes », ajoute-t-il. « Comme beaucoup d'éléments dépendent de l'interprétation, je suis d'avis d’attendre avant de déclarer quoi que ce soit qui pourrait mettre l'opinion publique dans un état d'excitation et d'anxiété ».
L'informateur continue en expliquant que les scientifiques de la NASA sont frustrés par le fait qu'ils n'ont pas réussi à localiser cette « civilisation souterraine », et qu'ils ne sont pas en mesure, avec la technologie dont ils disposent, de répondre aux messages. « Ils en savent plus sur nous, que nous sur eux. Ils ont ainsi trouvé un moyen de communiquer avec nous, de façon régulière; nous, par contre, ne savons mêmes pas comment les joindre. Leurs messages montrent qu'ils ont des connaissances étendues sur la vie à la surface de la Terre, alors que nous n'avons pas d'explications sur la possibilité du développement et de la survie d'une vie intelligente dépourvue d'oxygène et de soleil » (Note d’O.D.R. : à moins que la Terre ne soit creuse, qu’il n’y ait à l’intérieur une source d’énergie et de lumière, et de l’oxygène en abondance, comme cela a été confirmé par Omraam Mikhaël Aïvanhov et de nombreux clairvoyants).
Le responsable de la NASA ajoute que les scientifiques estiment que cela pourrait être la découverte la plus importante et la plus retentissante depuis des siècles. Et l’article finit par cette phrase : « Nous avons longtemps espéré devenir les maîtres de l’univers ; maintenant nous reconnaissons qu'il existe des territoires inexplorés à l'intérieur même de notre planète, ce qui pourrait être de première importance pour notre avenir ».
Que contiennent réellement ces messages ? Pourquoi la NASA se sent-elle mal à l'aise de révéler à l'opinion publique qu'elle est en communication avec l'intérieur de la Terre ? Quelles sont les exigences contenues dans ces messages qui poussent la NASA à refuser d'en parler ? Comme les messages ne semblent pas hostiles, ils ne peuvent donc pas mettre sérieusement les populations en danger. Ce sont donc une fois de plus les forces politiques et économiques qui se sentent menacées et qui imposent leur veto à la diffusion de l’information. C'est certainement la raison pour laquelle les scientifiques ont soi disant « besoin de temps pour interpréter correctement » les messages souterrains, avant qu'ils ne soient rendus publics.
Tout cela rappelle étrangement les aventures de l'amiral Byrd, au cours de son vol du 19 février 1947 dans la région polaire, et ce qu'il lui est ensuite advenu, quand il a voulu publier les messages des habitants du Centre de la Terre.
Mais, contrairement à ce qui s'était passé à cette époque, où l’on l'avait réduit au silence en ridiculisant la théorie très ancienne de la Terre creuse, les scientifiques semblent aujourd’hui vouloir préparer l'humanité pas à pas è la réalité d'une Terre Creuse. C’est aussi un acte d’humilité qui leur est demandé, car indirectement, cela les amènera à admettre que la théorie du noyau terrestre ferrugineux en fusion qu’ils ont soutenue depuis des décennies ne tient pas.
Mais pour le moment, chacun continue à mentir, y compris le responsable de la NASA cité dans l’article, puisqu’il affirme que « nous n'avons aucun moyen de communiquer avec cette civilisation. » D'autres sources affirment pourtant que ces êtres essaient au contraire depuis longtemps de faire comprendre à nos dirigeants que le surarmement et l'énergie nucléaire peuvent signifier notre perte, ce qui implique que des échanges ont bien eu lieu et que s’ils en avaient la possibilité, les êtres de la Terre Creuse ne se contenteraient pas d'une communication à sens unique. En réalité, ce mensonge de la part de la NASA la dégage de la responsabilité de publier toute information à ce sujet.
Apparemment, la civilisation souterraine n'est pas seulement plus développée que la nôtre, elle connaît également les conditions qui règnent dans notre monde, et elle est capable non seulement d'envoyer des messages codés que la NASA n'a aucun mal à déchiffrer, mais également de recevoir la totalité des informations émises depuis l’ensemble la surface de notre planète......
L'histoire de l'amiral Richard E. Byrd est assez simple si on s'en tient à la version officielle, mais si on creuse d'avantage les faits grâce à son journal personnel, elle devient à la fois fascinante, pleine de rebondissements et de mystères. En tout cas une chose est sûre, avant la Deuxième Guerre Mondiale, à une époque où les évènements étaient moins scrupuleusement contrôlés qu'aujourd'hui, le thème d'une Terre Creuse ressemblait plus à une curiosité qu'à une réalité. C'est à partir de 1947, avec apparemment les découvertes qui s'en sont suivies, que Richard E. Byrd sera tenu au secret et que le thème de la Terre Creuse deviendra, nous verrons plus loin pourquoi, LE SUJET ultra secret de l'époque, et il l'est encore aujourd'hui.
L'amiral Richard Evelyn BYRD, Grand Chancelier de l'Ordre de la Fayette et de la Croix du Mérite, secrétaire perpétuel de l'Académie Fédérale de la Marine et des Sciences , (d'après un article de Jean Brun de l'hebdomadaire Nostra du n° 425 de la semaine du 29 Juin au 4 Juillet 1980) aurait vécu une aventure tout à fait exceptionnelle dans les glaces du Pôle Nord.
Mais voici son histoire :
A l'automne 1928, Byrd annonça qu'il préparait un nouveau voyage , cette fois-ci dans les régions inconnues de l'Antarctique. Il fit une telle publicité qu'il réussit à obtenir un soutien financier de la part de Ford et Rockefeller. Un déluge de donations le submergea, en tout plus de 400 000 dollars. Avec tout cet argent, il renouvela totalement son équipement. L'expédition prit le large et s'établit en bordure de la mer de Ross. Byrd baptisa sa nouvelle base " Little America ".
Mais aujourd'hui, une polémique se dégage au sujet d'un petit reportage filmé qui aurait été projeté dans de nombreux cinémas des États Unis, cette même année de 1929. Aujourd'hui personne ne mentionne ce documentaire que, pourtant, plusieurs centaines d'individus ont dû voir à l'époque. Dorothy se rappelle que ce reportage de 1929, narrait l'incroyable découverte que fit l'amiral Byrd à l'intérieur de la Terre, au pôle Sud. Le reportage était accompagné de la voix de Byrd en personne qui s'exclamait en présence de l'incroyable. Alors qu'il survolait un paysage inconnu, il s'approcha d'un lac entouré de conifères et aperçut un énorme animal se déplaçant parmi les arbres. Byrd dans son style un peu lyrique, le compara à "une montagne de charbon étincelant de diamants" !!? Aujourd'hui, on s'en serait douté, ce reportage a totalement disparu des archives et parait n'avoir jamais existé …
L'amiral Byrd retourna à Little America, en 1933. Entre mars et août 1934, il passa cinq mois, seul dans une hutte transformée en observatoire météorologique, à 125 miles de Little America. Subissant une température de -60°, il fut rapatrié et sauvé d'une mort certaine.
En 1946, Richard Byrd fut chargé d'un nouveau programme du nom d’" Opération High Jump ". Sa mission consistait à poursuivre l'élaboration des cartes des pôles Nord et Sud, mais il lui fut également demandé de vérifier si des Nazis ne se seraient pas "égarés" dans le coin. En 1947, avant d'entamer une nouvelle mission dans l'Arctique, Byrd dira à la presse : "J'aimerais voir ce pays derrière le pôle (Nord). Cet endroit est le centre du Grand Inconnu". Selon les sources officielles, l'expédition fit un vol de sept heures, ce jour du 19 février 1947. Mais, étrangement, lui qui aimait parler de ses exploits à la presse, ne dit mot à quiconque de son voyage, cette fois-là. D'ailleurs, son comportement changea singulièrement à partir de cette date et pratiquement aucune information ne filtra.
C'est chose acquise aujourd'hui, le Pentagone le mit au secret militaire et lui confisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui fut interdit de s'exprimer en public. Le doute plana sur cette histoire pendant près d'un demi-siècle et c'est finalement à la fin des années 1990 que ressurgit le fameux carnet de vol. Alec Maclellan en parle dans son livre en indiquant que "The Hollow Earth Society of Australia" a obtenu une copie de son journal personnel qui reprend les notes de son carnet de vol. En voici de très larges extraits :
"Je dois écrire ce journal en secret. il concerne mon vol du 19 février 1947 dans l'Arctique. Maintenant vient le temps où la rationalité de l'homme doit se flétrir dans l'insignifiance et il nous faut accepter l'inévitable vérité. Je ne suis pas libre de vous dévoiler la documentation suivante. Elle ne verra peut-être jamais le jour auprès d'un public rigoureux, mais je dois faire ici mon devoir envers toute personne qui lira ces lignes un jour. Dans l'espoir que la cupidité et l'exploitation d'un certain type de personne ne pourra plus longtemps dissimuler la vérité".
Richard E. Byrd.
FLIGHT LOG - CAMP ARCTIC, FEBRUARY 19th 1947.
"Tous les préparatifs ont été réalisés pour un vol en direction du Nord et nous décollons avec le plein de carburant… Vérification de position avec le sextant à bulle et nouvelle vérification avec la boussole solaire, notre avant exécute un changement léger et la course se poursuit comme planifié… Une légère turbulence est notée dans la direction de l'Est à une altitude de 2321 pieds. Correction à 1700 pieds, aucune autre turbulence, mais le vent d'arrière s'accroît, légers réglages de contrôle, les performances de l'avion sont maintenant normales. Le contact radio est vérifié avec le camp de base, et la réception est normale. Vaste glace et neige en-dessous. Note une couleur jaune, dispersée en motifs linéaires. Déviation du vol pour mieux examiner cette couleur. Couleur rouge-violet également. Exécutons deux cercles complets autour de la région et retournons vers orientation d'origine. Contrôle de la position établie avec la base. Transmission des informations concernant la couleur de la glace et de la neige du sol. Les boussoles commencent à tournoyer dans tous les sens. Impossibilité de garder notre (Byrd voyage avec un coéquipier) route et de se fier aux instruments. Nous supportons les caprices de la boussole. Positionnement effectué par le soleil, tout semble aller bien. Les commandes mettent du temps à réagir, très mauvaise qualité. Maintenant aucune présence de glace… 29 minutes de vol plus tard, premier rapport indiquant des montagnes, ce n'est pas une illusion. Des montagnes forment une petite chaîne que je n'avais jamais vu auparavant. Changement d'altitude, 2950 pieds. Affrontons une nouvelle turbulence. Franchissons la petite chaîne de montagne… Au-delà la chaîne de montagnes apparaît une vallée avec un petit fleuve ou rivière se dirigeant vers le centre de la vallée. Il ne devrait pas y avoir de vallée verte ici. Il y a définitivement quelque chose qui cloche et d'anormal ici. Nous devrions être au-dessus de la glace et de la neige. A bâbord, de grandes forêts poussent sur le versant de la montagne. Les instruments filent toujours comme une toupie. Le gyroscope oscille d'arrière en avant. Je modifie mon altitude de 1400 pieds et effectue un virage abrupt vers la gauche pour examiner la vallée. C'est vert avec de la mousse ou une sorte de d'herbes très dense. La lumière est différente ici. Je ne vois plus le soleil. Nous tournons à nouveau sur la gauche en direction d'un gros animal ou quelque chose de semblable, ça ressemble à un éléphant. Non, on dirait un mammouth. C'est incroyable, mais pourtant il est bien là. Diminue l'altitude de 1000 pieds et prends mes jumelles pour mieux examiner l'animal - c'est définitivement bien un mammouth… Rencontrons d'autres collines vertes. La température extérieure indique 74 degrés Fahrenheit (23.3 °C). Nous poursuivons la route en avant. Les instruments de navigation paraissent maintenant normaux. Je suis perplexe devant leur bon fonctionnement. Je tente de contacter la base. La radio ne fonctionne pas. Le niveau du paysage est plus haut que la normale, si je puis m'exprimer ainsi. Droit devant, percevons ce qui ressemble à une citée. C'est impossible ! L'avion semble léger et flotter curieusement. Les commandes refusent de répondre. Mon Dieu, à bâbord et à tribord, d'étranges types d'appareil, ils se rapprochent rapidement autour de nous ! Ils ont la forme de disque et sont resplendissants. Ils sont suffisamment près, maintenant je peux voir leur insigne. C'est un type de swastika. C'est incroyable ! Où sommes-nous ? Que s'est-il passé ? Je tire à nouveau sur les commandes. Elles ne répondent pas. Nous sommes pris dans une sorte d'étau invisible. Notre radio grésille et une voix anglaise avec un accent nordique ou allemand, apparaît. Le message est : "Bienvenue dans notre domaine amiral. Nous allons vous poser dans exactement sept minutes. Relaxez-vous amiral, vous êtes en mains sûres". Je note que nos moteurs se sont arrêtés. Notre appareil est sous l'emprise d'une étrange force et vire maintenant tout seul… La procédure de descente est amorcée et l'avion vibre comme s'il était sur un monte-charge invisible… Nous nous posons avec seulement une petite secousse. J'ajoute en toute hâte, une dernière note dans mon carnet de vol. Plusieurs hommes s'approchent de notre avion. Ils sont grands avec des cheveux blonds. A quelques distances derrière, une énorme citée miroite avec les nuances de l'arc-en-ciel. Je ne sais pas du tout ce qui va se passer maintenant, mais je ne vois aucune arme sur ceux qui s'approchent de nous. J'entends une voix me commandant d'ouvrir la porte. J'exécute". Fin du carnet de vol.
Cette histoire est-elle une VÉRITABLE FUMISTERIE ou bien, comme le pensent beaucoup d'autres, le " WORLD’S TOP SECRET " ? A vous seul de voir
Les années soixante-dix relanceront le thème de la Terre Creuse. Tout d'abord par la diffusion de plusieurs photographies du pôle Nord prises par des satellites météorologiques.( comme montrée plus haut)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]photographie du pole realisé a la verticale par le satellite ESSA-7 en 1968.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Série de photographies du pôle Nord, provenant du satellite ATS 3 en 1973 L'authenticité de ces deux images n'est pas à remettre en cause, car elle a été scrupuleusement vérifiée et l' US Environmental Science Service Administration n'a pas essayé de discréditer son authenticité. Par contre, il a été précisé que parmi les 39953 clichés de l'ESSA-7, celui-ci serait le seul à montrer cette "anomalie".