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 le fils caché d'Adolphe Hitler

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MessageSujet: le fils caché d'Adolphe Hitler   le fils caché d'Adolphe Hitler Icon_minitimeLun 24 Juin 2013 - 18:56

Hitler aurait eu un fils avec une Française ! Celui-ci a voulu faire reconnaître sa terrible ascendance. Avant d’y renoncer sur les conseils de son avocat et de ses enfants… Récit, photos et documents d’époque.

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« Maître, je suis le fils d’Hitler ! Dites-moi ce que je dois faire. » François Gibault, avocat parisien, n’en croit pas ses oreilles. L’homme qu’il a devant lui est plutôt grand, parle un français parfait sans accent, et n’a rien d’un hurluberlu. Son histoire édifiante n’en est pas moins vraie.
Engagé en 1914 dans l’armée allemande, le caporal Adolf Hitler combat contre les troupes françaises près de Seboncourt en Picardie. De temps à autre, les soldats sont envoyés à l’arrière pour récupérer, reprendre des forces et parfois… s’amuser. À Fournes-en-Weppe, petite ville située à l’ouest de Lille, Hitler fait la connaissance de Charlotte Lobjoie, une jeune femme d’à peine 16 ans.
« Un jour, je faisais les foins, avec d’autres femmes, lorsqu’on vit un soldat allemand, installé de l’autre côté de la rue, révèle celle-ci à son fils bien des années plus tard. Il avait une sorte de carton et semblait dessiner. Toutes les femmes trouvèrent intéressant ce soldat et se montrèrent curieuses de savoir ce qu’il dessinait. Je suis désignée pour essayer de l’approcher. » L’inconnu se montre attentif, puis chaleureux, et même amical avec la jeune paysanne. Commence alors une relation qui durera plusieurs semaines.
« Lorsque ton père était là – très rarement -, il aimait m’emmener dans des promenades à la campagne. Mais ces promenades se terminaient en général plutôt mal. En effet, ton père, inspiré par la nature, entreprenait un discours auquel je ne comprenais pas grand-chose. Ne pouvant s’exprimer en français, il déclamait en allemand, s’adressant à un auditoire absent. Si je parlais l’allemand, je ne pouvais le suivre, d’autant plus que l’histoire de la Prusse, de l’Autriche ou de la Bavière ne m’était pas familière, loin de là. Ma réaction mettait ton père en colère en me voyant rester de marbre à ses effets oratoires ! » Sous le petit caporal perçait déjà le tribun illuminé…
Un soir de juin 1917, revenant un peu éméché d’une soirée avec un ami, il se fait très entreprenant auprès de Charlotte. En mars de l’année suivante naît un fils. Aux yeux des enfants du village, le petit Jean-Marie est un « fils de Boche ». Souvent, il fait le coup de poing avec ses camarades pour laver cette infamie. Les années passent, et Charlotte refuse de s’exprimer sur les mystérieuses circonstances de la naissance de son fils. Pire, miséreuse et vaguement honteuse, elle délaisse son fils et le confie à la garde d’un couple plus aisé chez qui l’une de ses soeurs est employée. Cette « nouvelle famille » finira par adopter l’enfant en 1934. Son « vrai père » de son côté ne le reconnaît pas, refuse de le voir, mais continue de loin en loin à prendre des nouvelles de sa mère. Chose extraordinaire, au début des années vingt, sa famille d’adoption se retrouve propriétaire d’un immeuble à Francfort qu’elle ne paye pas…
 
Quelques semaines avant de mourir, au début des années cinquante, Charlotte avoue à son fils la véritable identité de son père. Le choc est terrible. « Afin de ne pas tomber dans l’anxiété, je travaillais sans relâche, ne prenant jamais de vacances, jamais de distraction : 20 ans sans rentrer dans une salle de cinéma », raconta Jean-Marie Loret dans un livre (*) qu’il publia dans l’indifférence générale en 1981 aux éditions de l’Université et de l’Enseignement moderne.
 
Car au milieu des années soixante-dix, devenu adulte et père de famille, Loret souhaite faire officialiser sa triste ascendance. Il s’adjoint les services d’un historien, retourne sur les lieux de son enfance, interroge quelques rares témoins et diligente une série d’enquêtes : une expertise en méthode d’identification par la physionomie comparative, une autre de l’Institut d’anthropologie et de génétique de l’université de Heidelberg, qui montre notamment que père et fils ont le même groupe sanguin, une étude comparative psychographologique entre Adolf Hitler et Jean-Marie Loret ainsi qu’une comparaison graphologique des écritures des deux hommes. Toutes aboutissent à la même conclusion. Jean-Marie Loret est sans doute le fils d’Adolf Hitler. Des photos plaident également pour cette thèse, tant il y a un « air de famille » entre les deux hommes…
Cette thèse a toujours fait l’objet d’une grande dispute entre historiens. En Allemagne et au Japon elle semble désormais acquise, tandis qu’en France, elle n’a jamais été sérieusement discutée. Pourtant d’autres éléments troublants émergent : il est établi que, pendant l’Occupation, des officiers de la Wehrmacht apportaient des enveloppes d’argent liquide à Charlotte. À la mort de sa mère, Jean-Marie Loret découvrira dans le grenier de la maison des toiles signées « Adolf Hitler » tandis qu’en Allemagne on mettra la main sur un portrait qui ressemblait trait pour trait à celui de sa mère…
« Lorsqu’il vient me voir en 1979, se souvient maître Gibault, j’ai devant moi un homme un peu paumé qui ne sait pas s’il doit se faire reconnaître comme le fils d’Adolf Hitler ou s’il doit effacer tout cela d’un trait de plume. Il éprouve ce que ressentent beaucoup d’enfants naturels : l’envie de retrouver un passé aussi lourd soit-il, mais la peur de retourner de vieilles boues. J’ai énormément parlé avec lui, jouant plus le rôle d’un psychologue que d’un avocat. Certes, il pouvait revendiquer une part des droits d’auteur de Mein Kampf et, pourquoi pas, des comptes en banque que le Führer avait peut-être ouverts en Suisse, mais à 60 ans passés était-ce raisonnable ? Après avoir conversé avec moi et avec ses enfants, il a de lui-même décidé de ne pas révéler son sulfureux état civil. » Quelques mois plus tard, Jean-Marie Loret publie un livre qui passera inaperçu. Dans la France d’alors, Maurice Papon est ministre du Budget (de 1978 à 1981) tandis que François Mitterrand élu en mai 1981 reçoit René Bousquet à sa table. Au Japon, la télévision publique recevra dans ses studios ce curieux personnage qu’elle présentera comme le fils du dictateur nazi.
Ironie du sort, Jean-Marie Loret s’enrôle dès 1939 dans les corps francs qui se battirent en avant de la ligne Maginot. L’année suivante, son unité mène une bataille violente contre les troupes allemandes dans les Ardennes en 1940. Pendant l’Occupation, il est même contacté par le réseau de la Résistance OCM (Organisation civile et militaire) au sein duquel il porta le nom de « Clément ». Ignorant alors ses origines, il devient naturellement un résistant aux armées hitlériennes. Bon sang saurait mentir…
(*) Ton Père s’appelait Hitler de J.-M. Loret et R. Mathot. Les Dossiers de l’Histoire, éditions de l’Université et de l’Enseignement moderne





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MessageSujet: Re: le fils caché d'Adolphe Hitler   le fils caché d'Adolphe Hitler Icon_minitimeLun 15 Juil 2013 - 13:08

Comment un tel livre a-t-il pu laisser indifférent? Ce serait aujourd'hui, les journalistes s'en pourlècheraient les babines d'avance!
Il est mort quand? De quoi? Est-il enterré? N'y aurait-il pas moyen de retrouver des affaires d'Hitler, un chapeau, un peigne avec un cheveu pour pratiquer une analyse ADN. Je suis très étonnée que cette affaire n'intéresse personne!
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MessageSujet: Re: le fils caché d'Adolphe Hitler   le fils caché d'Adolphe Hitler Icon_minitimeLun 15 Juil 2013 - 19:12

j'ai trouvé cette histoire étonnante....

jean marie loret est mort en 1985
(bon problème d'internet, j'arrive pas a surfer, impossible de poster lien en rapport avec la vie de cet homme.... je vais y revenir Quinqua )

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MessageSujet: Re: le fils caché d'Adolphe Hitler   le fils caché d'Adolphe Hitler Icon_minitimeDim 28 Juil 2013 - 17:52

Jean-Marie Loret naquit en 1918 à Seboncourt sous le nom de Jean-Marie Lobjoie. Enfant illégitime, sa mère était Charlotte Eudoxie Alida Lobjoie (1898-1951), fille du boucher local, Louis Joseph Alfred Lobjoie et de son épouse Marie Flore Philomène (née Colpin). Diverses sources attribuent à Charlotte Lobjoie la profession de danseuse, mais il est difficile de savoir si elle l'était déjà en 1916 et 1917. Elle semble n'avoir adopté cette profession qu'après son déménagement à Paris, quelques mois après la naissance de son enfant et après le retrait des Allemands de la France.

Jean-Marie passa ses sept premières années chez ses grands-parents, avec lesquels Charlotte avait rompu tout contact après avoir quitté sa famille. Le 22 mai 1922, elle épousa le lithographe Clément Loret, qui autorisa le fils illégitime de sa nouvelle femme, qu'il n'avait à ce moment-là encore jamais vu, à porter son nom de famille.

Après la mort de ses grands-parents maternels, en 1925 et 1926 respectivement, qui, selon les déclarations de Loret, l'avaient « maltraité », sa tante, Alice Lobjoie, fit tous ses efforts pour faire adopter son neveu par la famille Frizon, celle d'un riche magnat de la construction à Saint-Quentin. À partir de ce moment, le garçon fréquenta, l'un après l'autre, deux pensionnats catholiques à Cambrai et à Saint-Quentin.

En 1936, Jean-Marie fit son service militaire et monta en grade les années suivantes, atteignant celui de sergent-chef. Jean-Marie Loret s'enrôla dès 1939 dans les corps francs qui se battirent en avant de la ligne Maginot. L'année suivante, son unité mène une bataille violente contre les troupes allemandes dans les Ardennes en 1940. Pendant l'Occupation, il est même contacté par le réseau de la Résistance OCM (Organisation civile et militaire) au sein duquel il porta le nom de Clément. Ignorant alors ses origines, il devient naturellement un résistant aux armées hitlériennes.

Plus tard, il travailla quelques années comme homme d'affaires jusqu'en 1948, où il dut renoncer à cette profession pour insolvabilité.

Dès son enfance, Loret, de son propre aveu, savait qu'il était le fils d'un soldat allemand, mais il n'avait aucune idée quant à l'identité de son père. En 1948, peu de temps avant de mourir, ainsi qu'il le prétendit plus tard, sa mère lui révéla que le soldat dont elle lui avait parlé était en fait Adolf Hitler qu'elle aurait fréquenté entre 1914 et 1918. Pour Loret, c’est l’abattement, et il se réfugie dans le travail pour éviter la dépression.

Dans les années 1970, alors qu’il a fondé une famille, il semble mieux accepter les faits. En 1979, Loret fait alors mener des enquêtes pour faire officialiser son lien de parenté. Il contacte à cette fin un avocat, Maître François Gibault, s'adjoint les services d'un historien, retourne sur les lieux de son enfance, interroge quelques rares témoins et diligente une série d'enquêtes qui plaideraient en faveur d'une parenté entre Hitler et Loret.

En 1981, il publie un ouvrage pour revendiquer sa filiation. Dans la préface de son ouvrage, il avait écrit : « Mon père est Adolf Hitler. Croyez-le ou non, ce point est sans importance. C'est un fait gênant, paraît-il, pour un peu tout le monde. Je crois, moi, en ma filiation, parce que je crois en ma mère. » Au Japon, la télévision publique recevra dans ses studios Jean-Marie Loret qu'elle présentera comme le fils du dictateur allemand.

Loret a été marié au moins une fois et a eu neuf enfants. Certaines sources prétendent que son épouse l'a quitté en 1948, après avoir appris son ascendance. Par la suite, dans des articles de journaux parlant de Loret, on mentionne une femme du nom de « Muguette » dont on dit qu'elle vivait avec lui au moment où ces articles étaient écrits. Mais il reste difficile de savoir si cette « Muguette » était une seconde épouse (ou une « compagne ») ou si elle était la mère de ses enfants et était revenue avec lui, ou même si elle ne l'avait jamais quitté du tout.

Jean-Charles Loret, son fils, a accordé un entretien en février 2012 à l'Aisne Nouvelle.

Arguments en faveur de cette thèse

Différents arguments ont été avancés pour la défense de cette thèse.
Jean-Marie Loret a fait effectuer différentes études selon lesquelles une filiation entre les deux hommes est possible : une expertise en méthode d'identification par la physionomie comparative réalisée par Elisabeth Kaiser-Lindner qui fut portraitiste d'Hilter et qui affirma que Loret était le fils de ce dernier,
une expertise de l'Institut d'anthropologie et de génétique de l'université de Heidelberg,
une étude montrant notamment que père et fils ont le même groupe sanguin,
une étude comparative psychographologique entre Adolf Hitler et Jean-Marie Loret,
une comparaison graphologique des écritures des deux hommes.

Adolf Hitler a séjourné dans les localités de Seclin, Fournes, Wavrin, et Ardooie dans les années 1916 et 1917 et cette localisation est cohérente avec les dires de Charlotte Lobjoie.
Selon des témoins oculaires, il aurait entretenu une relation avec Charlotte.
Selon le registre des naissances de sa ville natale, le père de Loret était un soldat allemand non identifié de la Première Guerre mondiale.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Loret travailla comme chargé de mission dans la police française à Saint-Quentin. Il aurait obtenu qu'on lui accordât ce poste sur la demande personnelle d'Hitler, mais, jusqu'ici il semble bien qu'aucune preuve solide n'ait pu être apportée pour soutenir une telle affirmation d'autant qu'on sait qu'il s'engagea dans la Résistance. Tout aussi peu prouvées sont les allégations selon lesquelles il aurait en cette qualité collaboré avec les unités de la Gestapo stationnées en France. Le fait qu'après la guerre aucun procès pour collaboration n'ait jamais été intenté contre lui va manifestement à l'encontre d'une telle affirmation.
La mère de Jean-Marie Loret aurait conservé des tableaux prétendument de la main d'Hitler, mais on ne sait ni combien elle en a possédé, ni s'ils étaient signés, ni ce qu'ils sont devenus. Jean-Marie Loret conservait un dessin de l'église de Fourdrain, dont le coin inférieur droit avait été déchiré par sa mère Charlotte Lobjoie.
On aurait retrouvé un portrait de Charlotte Lobjoie en Allemagne
L'armée allemande aurait remis de l'argent en espèces à Charlotte Lobjoie.
Diverses sources cependant prétendent qu'Hitler a fait détruire tous les documents concernant Loret.

L'analyse ADN de 2009

En 2009, selon plusieurs journaux, un journaliste belge, Jean-Paul Mulders, et un agent des douanes passionné d’histoire hitlérienne, Marc Vermeeren, ont mené une enquête pour retrouver l'ADN d'Hitler (en particulier le chromosome Y qui se transmet en ligne masculine) au travers de celui de ses collatéraux, n’hésitant pas, pour les besoins de leur traque, à récupérer des serviettes en papier usagées et des mégots de cigarettes… À l’époque, les journaux Het Laaste Nieuws et Le Soir ont publié une série d’articles sur leur quête qui les avait emmenés aux États-Unis, en Autriche et en France. Ils auraient ainsi mis au jour 39 collatéraux du dictateur puis fait analyser l’ADN de Jean-Marie Loret, retrouvé sur un timbre poste et en ont conclu qu’il ne lui était pas apparenté ou alors qu’il n’avait pas humecté le timbre poste.

En 2012, l'historien François Delpla a affirmé que ce test ne prouvait pas que Loret n'était pas le fils d'Hitler12.
Source : wikipedia



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MessageSujet: Re: le fils caché d'Adolphe Hitler   le fils caché d'Adolphe Hitler Icon_minitimeDim 28 Juil 2013 - 20:30

étre le fils,d'un personnage,comme ca,moi,je me serais tu
car ce personnage est surtout connu historiquement pour ses faits de guerre certe
mais aussi,pour ses atrocités,il en a fait tuer des personnes,et il plus connu que généraux francais de l'époque
en fait,tous ces personnages(César,Napoléon,et d'autres qui ne me reviennent pas
étaient des dictateurs,et de par ce fait sont connu,et,plus brillants pour l'histoire
que,des généraux qui eux,ont fait leurs boulôt,je n'aime pas ce genre d'histoire :suspect: :suspect: 
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MessageSujet: Re: le fils caché d'Adolphe Hitler   le fils caché d'Adolphe Hitler Icon_minitimeSam 5 Oct 2019 - 13:38

je pense que déjà la mère aurait du partir en enterrant ce secret avec elle Wink pas de quoi franchement se venter d'une telle révélation , c'est même une info honteuse !! Certes on a toujours besoin de connaitre l'identité d'un père abs , mais là tout de même ! Après idem je vois pas l'interet qu il a eu lui d'aller raconter son histoire , si ca n est de s'attirer les foudres ! Il est pas directement lié aux sombres et barbares affaires de son père mais dans la tête des gens , ca ne marche pas comme ca ! il reste lié par le sang No même si de personnalité , il n'en ressemble en rien Wink enfin bon .. trés dur à porter comme secret
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MessageSujet: Re: le fils caché d'Adolphe Hitler   le fils caché d'Adolphe Hitler Icon_minitimeSam 5 Oct 2019 - 19:31

a ce demander si l'annonce de ce père hors norme est une bonne ou une mauvaise nouvelle pour le fils ?
meme si l'on est en recherche de ses origines.

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