La puissance du 40.

La puissance du 40.

Dans l’une de mes dernières conférences, j’ai passé un grand moment à expliquer le fonctionnement de notre double, de notre corps lumineux, de notre “ange-gardien de proximité” et comment on pouvait l’utiliser.
J'ai expliqué aussi le fonctionnement de la loi des 40.
Face à une difficulté pour laquelle on n’a pas la solution, alors opérer au lâcher-prise en remettant notre difficulté dans les mains de notre corps lumineux afin qu’il se charge de régler le problème.
Notre corps lumineux vit dans notre futur. Nous appartenons donc à son passé. Notre corps lumineux et nous ne formons qu’un, même si l’un se trouve dans une réalité temporelle dense (moi) et l’autre dans une réalité temporelle lumineuse (lui). La physique quantique le démontre très bien en séparant une particule en deux parties. Le fait d’être séparée ne change strictement rien au fonctionnement de ladite particule dans son entièreté, pas plus que dans chacune des moitiés qui continuent de fonctionner comme si elles n’étaient pas du tout séparées.
Lorsque l’on remet sa difficulté à son corps lumineux, son double, nous avons 40 jours devant nous (parfois la réponse peut aller beaucoup plus vite étant donné que nous sommes bien réellement dans une accélération du temps) pour avoir une réponse en retour.
Il est très important de rester dans la positivité et autant que possible dans la joie et la certitude que notre corps lumineux va résoudre le problème à notre place, ou bien nous apporter le comment faire pour la résoudre, en nous renvoyant la solution au bon moment et sous la bonne compréhension. C’est vraiment très important ! La raison de cette importance est simple : la pensée devient, de facto, à la fois le carburant et le moteur de ce fonctionnement.
Votre demande à été émise en direction de votre corps lumineux, que se passe t’il. Lui, qui se trouve, je vous le rappelle, dans votre futur, va se mettre à interroger tout son passé afin de voir si quelque chose de similaire s’y trouve, enregistre la réponse et vous la renvoie immédiatement. Si rien de similaire ne s’y trouve, il interroge chacun des 12 Gardiens, 12 Portes du temps, 12 Sages, 12 constellations, afin que chacune d’elle, tour à tour, filtre la demande et apporte la réponse à votre corps lumineux. Cela va prendre 12 X 3 jours, soit 36 jours. Au bout de ces 36 jours, la réponse est donné à votre corps lumineux, lequel vous la renvoie immédiatement. Une fois cette réponse renvoyée, vous en devenez le détenteur. Vous avez maintenant 3 jours de plus pour comprendre cette réponse. Nous parvenons ainsi à 39 jours. Et c’est le 40ème jour qui est le plus important car dès l’instant que vous avez compris la réponse que vous a apporté votre corps lumineux, soit vous la validez en passant à l’acte, soit vous l’invalidez pour la raison qui vous concerne. Si vous validez et passez à l’acte, alors le problème est résolu et l’est définitivement. Ceci est valable pour énormément de choses, même les plus terribles.
Je le rappelle encore, il est capital de se placer dans la certitude sereine que votre double va agir comme je viens de vous le décrire, en le laissant faire et en lâchant prise. Ce qui ne veut pas dire pour autant que vous devez rester attentiste. Par exemple, si vous êtes gravement malade, il est important que vous continuiez votre traitement s’il est déjà commencé, vos analyses que vous avez à faire, etc. car votre corps lumineux se trouve dans une réalité temporelle lumineuse et non dense. Ses mains ne lui sont pas aussi utiles qu’à vous !

Voici un exemple concret que j’ai personnellement vécu, alors que je ne connaissais pas encore la loi des 40, mais je connaissais les possibilités de la positivité et de m’adresser à mon Ange-gardien. Je n’ai vraiment fini de découvrir la loi des 40 qu’en 2013/2014.

Le 25 octobre 2010, toutes les analyses me déclarent que je suis atteint d’un cancer avancé. Je vous laisse imaginer la douche ! pour autant, je ne ressens pas la gravité extrême aussi bizarre que cela puisse paraître. Je ne suis pas capable de dire quoi mais en moi, il y a quelque chose d’insistant qui me pousse à me fouiller moi-même pour comprendre ce qui m’arrive. Ce qui ne m’empêche nullement de continuer les rendez vous médicaux de plus en plus poussés, jusqu’à celui qui va définir le moment de mon opération, car ce cancer est vraiment avancé et me met vraiment en danger. Attention ! Dès lors, je comprends que ceci n’est que la volonté du cancer et non la mienne. Je prends la décision de m’occuper de moi et non plus de lui, tout en le gardant sous surveillance, et en même temps pars du principe que ce cancer est un organisme vivant qui, comme moi, a besoin de se nourrir pour vivre
Quoi qu’il en soit, j’ai demandé à mon “Grand Frère de l’Autre Côté” (c’est ma façon à moi de m’adresser à lui) qu’il m’aide et fasse ce qu’il faut pour que le meilleur pour moi vienne.
Si j’ajoute au 25 octobre les 40 jours, je parviens à la date du 4 décembre. Rien ne semble avoir été mis en place. Sauf que le 11 décembre (7 jours plus tard) le gastroentérologue ma dit clairement que ça n’est vraiment pas beau, ce qu’il a vu, mais étonnement à mes yeux, me tient un discours qui n’est pas du tout alarmiste et met lui-même tout en place, et en accéléré, le processus de l’opération, les analyses, les prises en charge, les rendez vous médicaux des anesthésiste, chirurgien, etc. Tout ceci se déroule devant moi. Je ne comprends pas ce qui se passe mais tout va à une vitesse hallucinante. Plus tard, je l’en ai beaucoup remercié.

12 jours plus tard, le 23 décembre, je me fais opérer. Tout se passe bien mis à part que je découvre que je reste assez réfractaire à la morphine ou ses produits dérivés. Je sers les dents. Réapprends ma respiration du yogi ainsi qu’à monopoliser ma concentration sur d’autres domaines que celui de la douleur physique, et surtout m’écarter de toute peur, sous quelque forme que ce soit. Je ne pensais tout de même pas que la douleur physique pouvait aller jusqu’à ce point... Autour de moi se déroule un ballet merveilleux et totalement impressionnant. Une coccinelle accompagne mes jours et mes nuits dans ma chambre de clinique alors que dehors, il gèle à pierre fendre, pendant les 3 premiers jours. L’équipe médicale, à commencer et principalement par les infirmières et exceptionnelles de bonté, bienveillance, générosité, sourire et rire. C’est presque comme si l’envie de ne plus quitter cette clinique m’envahit. C’est magique, je suis dans un autre monde. Curieusement, chaque fois que je commence à avoir trop de difficulté à contrer la douleur, une infirmière arrive pour prendre son temps de pause pour papoter avec un moi. Souvent aussi, elle vient avec une copine. C’est comme une façon de me souhaiter la Noël !

A la date du 23 décembre, si j’ajoute 40 jours nous parvenons au 1er février 2011. Je suis déjà rentré à la maison. Là, il semble encore une fois que rien ne se soit passé. Sauf que le lendemain, l’opportunité m’est donné d’avoir plusieurs autres avis médicaux qui m’ont tous déclaré qu’à la vue des résultats des analyses, il n’y a aucune raison pour que je choisisse la chimiothérapie et que tout laissait prévoir une bonne reprise. Là encore, j’ai fait beaucoup confiance aux infirmières libérales, même si j’ai pu parler à des grands pontes, lesquels je n’aurai plus jamais la possibilité de leurs parler.

Entre temps, le 26 janvier, mon chirurgien que je vois en visite post opératoire, en guise de visite post opératoire me déclenche un grand discours extrêmement violent et intrusif afin de forcer ma décision et d’accepter un protocole de chimiothérapie, soit disant léger et à titre préventif. Voyant mon refus, il s’est tourné vers mon épouse pour la placer dans une sorte de terreur afin de faire pencher la balance de son côté. Là, j’étais devenu transparent. Mon épouse et moi fonctionnons en totale symbiose. Elle a répondu que l’on ferait comme moi j’ai décidé et qu’elle suivait la décision de son mari puisque le chirurgien nous affirmait que ce n’était qu’à titre préventif. On a bien vu que le chirurgien n’était pas content... mais c’est ainsi ! et bien que je suis le premier à reconnaître que cet homme est un chirurgien exceptionnellement bon et compétent.

Si j’ajoute 40 jours à ce 26 janvier, nous parvenons au 7 mars. Date merveilleuse pour nous car le 7 mars est justement la date anniversaire de la naissance de notre fille cadette, décédée 4 ans plus tôt dans un accident à l'âge de 24 ans. Ainsi, nous avons la chance et la malchance d’avoir une fille avec nous dans notre monde temporelle et une autre dans le monde de lumière.
Là encore une fois, il ne s’est rien passé. Sauf que ! Sauf que !
Le lendemain, l’oncologue me rappelle lui-même pour me dire que j’ai eu raison de refuser le protocole de chimiothérapie sous injections car il avoue s’être trompé en me précisant que le bon protocole pour moi est sous comprimés, ce que je refuse également.
Le 24 mars, le protocole de surveillance démarre. Analyses, bilans sanguins, coloscopies et scanners à profusion.

Maintenant, si j’ajoute 40 jours au 24 mars, j’obtiens la date du 3 mai 2011. Et une fois de plus, il semble ne rien se passer. Sauf que !
Le 9 mai 2011, la médecine du travaille accepte de me déclarer (à ma demande) une reprise de mon travail à 100 %. Reprendre pied dans une vie active est fondamental à mes yeux.

Aujourd’hui, je fais cette analyse en fonction de la loi des 40. Certes, je l’avais faite auparavant mais que partiellement. Sauf que !

Cette nuit (5 octobre 2015), dans mon sommeil, j’ai été amené à reprendre l’analyse que j’avais fait de façon très incomplète, et de la compléter.

Pour me sortir de ce piège (j’ai toujours pensé que ce piège n’était pas mortel en ce qui me concernait), il ne m’a pas fallu 40 jours. 40 jours est valable, oui, mais il me fallait le comprendre que ça se passe étape par étape. En l’occurrence, j’ai eu besoin de 4 fois 40 jours avec des toutes petites périodes de mise au repos entre chaque étape.

Pourquoi je vous raconte tout cela ?

Mais tout simplement parce que cette nuit (5 octobre 2015), on me l’a demandé, afin de vous apporter une notion concrète supplémentaire de cette loi des 40.

Même lorsque nous nous croyons seuls, et même en sommes nous persuadés, nous ne le sommes jamais. Nous avons tous, chacun d’entre nous, un double dont le seul but est de nous rendre heureux pour la simple raison que parce qu’il vit dans notre futur, et nous dans son passé, la seule façon pour lui de vivre heureux et de nous rendre heureux. Il n’a pas d’autre choix. Mais attention, il n’a pas non plus et en même temps d’autre choix que de répondre à nos demandes. N’oubliez pas ! il faut toujours rester positif et dans la joie avec la certitude que vous n’êtes pas seuls.

L’erreur n’existe pas. Ce n’est que pure invention humaine.
Quel que soit votre choix, donnez vous la peine d’aller jusqu’au bout de votre choix et mettez tout en œuvre et dans la joie. Croyez en vous. La vraie FOI commence par celle que vous avez en vous. Seule celle-ci pourra vous amener à une autre FOI, la plus grande.

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Quel que soit ton rêve, commence-le. L'audace a du génie, du pouvoir et de la magie. Prends pour outils l'amour comme épée et l'humour en bouclier.
Si tu crois en toi, alors l'Univers tout entier se pliera à ton désir.

Jean Luc.

synchronicité étonnante.
je vais m'employer a vérifier dans ma propre vie cette loi des 40 pour voir si cela fonctionne.
je ne connaissais pas. Merci
je ne sais pas si tu trouveras ce que tu cherches sur Minuit , mais je suis ravie que tu viennes enrichir notre base de données avec tes magnifiques expériences.
ce qui va nous permettre ( Triskel et Moi meme) d'apprendre encore...
“Vis comme si tu devais mourir demain. Apprends comme si tu devais vivre toujours.”

Dans la mesure où tu es intéressée par plus de précisions encore au sujet de la loi des 40, je te propose de te rapprocher des travaux de Jean-Pierre Garnier-Mallet.
J'avais déjà observé et compris pas mal de choses, surtout dans la positivité que j'utilise depuis longtemps, mais j'avoue qu'il a finit de me faire comprendre la précision de ce domaine, mais principalement le pourquoi de ce fonctionnement. Certes, ça part quelque peu dans la physique quantique mais présentée par lui, ça reste tout de même relativement accessible. Et l'on comprend que la synchronicité n'a même plus sa place. Le résultat est obligé.
L'ancien mécano et technicien que je sis accepte très bien de mettre des pourquoi pas à la place de ses pourquoi, mais j'aime bien comprendre les fonctionnements.

j'espère que c'est accessible car je reconnais que j'ai un peu de mal.
avec Triskel des fois on lache un peu...
comme ici avec Jean57 qui nous a fait par d'une remarque qu'il a étudié...
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heu... et également comme ici [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



je vais regarder cela

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et ca
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le temps de lire et je vais revenir

Compliquées ces histoires de temps, ça m'a toujours interpellée mais j'ai du mal à comprendre.

je connais, un peu Jean-Pierre G-M, et j'adore la physique quantique quand j'arrive à y comprendre quelque chose je vais donc aller regarder tranquillement dans la journée la vidéo. Mais je sais aussi qu'il en a fait d'autres, alors j'ai du pain sur la planche, enfin sur l'écran !

Je ne connaissais pas non plus. Mais la symbolique est là puisqu'on retrouve les 40 jours dans le désert, Pentecôte 40 jours après Pâques...

Est-ce que tu t'es intéressé au décodage biologique au cours de ta maladie ? Bien que la réponse au pourquoi ait pu te parvenir sous d'autres formes, d'autres signes.

Pourquoi pas ? C'est une expression que j'aime beaucoup car elle ouvre au tout possible. Une autre: et si c'était vrai ? C'est un peu pareil si on envisage le "vrai" comme une vérité relative.

Non, je ne me suis pas intéressé au décodage biologique du cancer qui n'est plus chez moi.
Oui, j'ai pu avoir sa compréhension par d'autres chemins.

En fait, la première question que je me suis posé, mais ai répondu tout de suite non, ayant vu une de nos filles partir de l'autre côté, j'ai pensé à un moment très court que c'en devait être la raison.
J'ai tout de suite écarté cette hypothèse car si j'avais du en développer un à cause de cet accident, j'en aurai eu un au niveau de la prostate ou testicule. Ce n'était pas le cas. Celui que j'avais était colorectal et plus exactement au colon ascendant.
Là, j'ai cherché un moment sans trop comprendre, sachant déjà au prime abord que je n'avais pas réglé un conflit avec l'autorité. Le colon, sur un domaine psychosomatique, c'est le siège du père (à comprendre dans le sens de l'autorité).
C'est une autre personne qui m'a mis sur la piste en me disant qu'il s'agissait de mon domaine professionnel et que comme le colon évacuait les déchets du corps, j'avais stocké une crasse énorme que l'on m'avait fait sur un domaine professionnel. Là, j'ai tout de suite compris de quoi il s'agissait. Puis peu de temps plus tard, une autre personne a croisé on chemin et m'a permis, grâce à un état modifié de conscience, de me replonger dans ce moment pour l'expurger de mon corps.
Peu de temps plus tard, une amie est venue me rendre visite et après que j'ai eu refusé les protocoles de chimiothérapie, pour m'expliquer qu'elle venait d'assister à une conférence où un maître à longtemps parlé du fait que l'erreur n'existe pas. Là, j'avais le message final qui mettait un terme à cette maladie.
La suite... il me manque un morceau de tuyauterie et je continue d'apprendre à vivre sans.

Mais dès l'instant où j'ai compris ce que j'avais dans le ventre, bien avant que la médecine me le confirme, je me suis placé dans le résultat déjà obtenu et serein par le fait que je continuai ma vie avec les miens alors que la maladie était derrière moi et, j'ai abandonné la réponse à l'Univers Infini et mon Ange-Gardien (chacun ses méthodes).

Le jour de l'opération, juste avant que l'infirmier du bloc déclenche l'injection d'anesthésique, j'ai interpellé tout le monde puis me suis adressé au chirurgien (que j'admire beaucoup) en lui disant de toujours avoir conscience du fait qu'il m'opérait comme un vivant qui entendait bien continuer de l'être. Là, j'ai pu voir beaucoup de bienveillance dans son regard.

La loi du 40. Je la connaissais mais c'était assez vague et brumeux à l'époque. Ce n'est que par la suite que j'ai pris conscience du développement de ma guérison.