Pytha aussi c’est mon pote-en-ciel !

Ma légende personnelle, la mienne…

Je l'ai créée.
Je l'ai écoutée.
Je l'ai suivie.

Et même avec l'âge grandissant et mes moyens s'amenuisant tout doucement, je continue.
Si mes moyens peuvent parfois diminuer, ce n’est peut-être pas si grave dans la mesure où j’ai appris correctement.

La passion brûle tout sur son passage, mais la passion révèle tout au même moment.
La passion fait peur à ceux qui ne font que la regarder et elle enrichit ceux qui admettent que la peur, c’est aussi la vie.
La passion tue presque toujours, mais pour faire renaître à l'intensité de la vie.
Le feu sacré fait toujours la paire avec l'épée flamboyante.
Cette épée à double tranchants déchire le voile qui cache la poursuite du chemin et c'est un bien. Elle coupe aussi de son autre tranchant les attaches qui se trouvent derrière et c'est le même bien.
La passion n'attend pas et ne tolère que ses semblables.

Et lorsque, le souffle court, il arrive parfois que l'on prenne un peu de repos pour mieux repartir, alors on peut en profiter pour encourager celles et ceux qui n'ont pas été aussi vite ou n’ont pas pu comprendre le feu sacré, car rien n'est jamais perdu et, jusqu'au dernier moment, la passion peut surgir tel un ouragan magistral emportant tout sur son passage et nous propulsant avec l'envie de hurler sa joie au monde entier.

J’ai découvert que lorsque je suis dans la passion, je fais plein de rencontres merveilleuses de personnes qui, elles aussi, fabriquent et vivent leurs légendes personnelles et souvent, nous nous entre-aidons.

- Ben que t’arrive t’il mon frère ?
- Comment te dire ma sœur... Là j’arrête. Ça fait trop mal. Je ne peux plus.
- Et c’est toi qui me dis ça à moi ?
- Laisse-moi avec mes larmes et mes douleurs. Continue, toi.
- Allez, prend ma main et profite de ma vitesse pour reprendre la tienne.
- OK, mais c’est bien parce que c’est toi. Merci.
- Peut-être que ce sera toi qui sera là lorsque je me ferai démonter, car je me ferai démonter comme tout le monde.
- Si je suis là, alors tu prendras ma main. Tu verras qu’elle aussi est confortable. Si je ne suis pas là, il y aura quelqu’un et, de toute façon, nous avons tous une âme qui veille.
- Ah bon ? Parce toi aussi tu y crois à ces choses-là ?
- Pourquoi crois tu que je sois sur ce chemin, et que tu m’y as trouvé ? Parce que je suis ma bonne étoile, mon âme !
- Un petit coup de résilience pour une meilleure reliance ?
- Yes ! C’est reparti !

Au milieu de ce tourbillon fou, au milieu de la passion, tout va toujours beaucoup trop vite, mais qu'importe ?
Il importe seulement que l'on soit dans cette splendide vivance. Dedans, nous nous dirigeons vers notre complétude.

Le contrôle n'existe pas et plus rien n'est stable ?
C'est très exactement ce que l'on recherchait mais on ne le savait pas. C’est grisant à l’extrême.

Les outils ?
Aucune importance, on les inventera au fur et à mesure. Et on les abandonnera tout aussi vite car ils ne servent qu’une seule fois.

Dieu que je suis heureux d'avoir toujours privilégié mon rire et mes amours, d'avoir toujours cru que j'étais plus fort que mes épreuves.

Mais en fait, pourquoi suis-je en train de vous dire tout ça ?
Après tout, c’est ma vie et mon intimité !

Mon copain Pytha...

Peu avant 570 avant J.C. (non, moi je suis plus récent que ça, allons voyons !), une jeune femme qui se croyait stérile se rendit à Delphes pour interroger la Pythie. Celle-ci lui prédit qu’elle aurait un fils. Elle rentra chez elle et quelques poignées de mois plus tard mit au monde un fils qu’elle nomma, en grec puisqu’elle était grecque, « Celui qui a été annoncé par la Pythie ».
En grec, ça se dit Pythagore !
Ses épreuves tout au long de sa vie ont été ahurissantes de douleurs et de brutalité mais il en apprit beaucoup.
Il ne nous a pas laissé en héritage que les mathématiques (mot inventé par lui), ou la géométrie, etc. Il nous a laissé un enseignement spirituel particulièrement riche, avant de retourner à sa source quand il avait 85 ans. Cet enseignement pourrait se résumer un peu de cette façon (pour ce que j’ai compris).

1 - Peu importe ce qu’il m’arrive. Tout est pour mon bien. C’est à moi qu’il appartient de faire en sorte qu’il ne m’arrive pas toujours les mêmes épreuves. L’erreur est humaine, certes, mais quand la gomme s’use plus vite que le crayon, c’est que j’exagère !

2 - Cette réalité temporelle dans laquelle je me trouve est celle que j’ai choisie pour m’incarner. Il est important que je sache que d’autres réalités existent mais, pour cette vie, seule celle-ci m’intéresse.

3 - Mes amours et mes amis ne sont là que pour m’aider à comprendre ma capacité à aimer. Comprenant ceci, je me sens encouragé à l’agrandir.

4 - Mes épreuves, mes ennemis, me font barrage seulement pour me permettre de comprendre ma capacité à résister et à combattre. C’est aussi grâce à eux que j’apprends à mieux me connaître. Je dois apprendre à résister face à ce qui ne me convient pas mais apprendre de mes ennemis et mes épreuves. C’est en les comprenant que je deviens plus fort. Je ne suis pas forcément obligé de combattre si je ne suis pas obligé de me défendre.

5 - Si je résume, j’ai donc choisi moi-même ma planète, ma période de temps, mon pays, mes parents, ma famille, mon corps, en fonction de tout ce que je voulais continuer d’apprendre pour me parfaire (mais pas mes bobos qui n’apparaissent que parce que j’apprends mal).

6 - Aussitôt que je prends conscience que tout ce qui m’entoure n’est rien d’autre que mon propre désir, il n’est plus question pour moi d’avoir un seul sentiment d’injustice, ni encore moins de m’en plaindre. Si je veux me couper de toute douleur, je dois me couper de tout désir. Mais si je me coupe de tout désir, alors je me coupe la possibilité d’avancer. Alors tant pis ! Faut faire avec !

7 - Même si d’autres ne me comprennent pas, je ne peux pas me sentir incompris. Ce sont leurs non-compréhensions à eux, pas les miennes.

8 - Lorsque je suis face à une épreuve, je dois toujours me demander en quoi mon âme a besoin de cette nouvelle épreuve pour que je puisse continuer d’avancer. Et je ne dois jamais oublier que je peux toujours demander à mon âme de m’aider à comprendre.

9 - Tout ce qui se trouve autour de moi, au fur et à mesure que j’avance, n’est là que pour me permettre d’apprendre encore et toujours plus, dans le seul et unique but d’avancer.
Et la cerise sur le gâteau !

10 - C’est que systématiquement dans chacune de mes nuits, durant un moment de l’un de mes sommeils paradoxaux, au petit matin, je vais quitter mon corps, et mon âme viendra l’habiter pour qu’il ne soit pas vide d’énergie et elle en profitera pour y engrammer des mémoires, afin que tout ceci me soit rappelé de façon permanente et que je n’oublie rien, tout en m’apportant les informations nécessaires à l’étape suivante, c’est à dire ce lendemain qui n’existe pas encore dans la réalité temporelle que j’ai choisie pour cette incarnation, mais qui ne va pas tarder à éclore (et durant ce lendemain, il peut arriver que j’ai des impressions de “déjà vu”).

11 - C’est parce que tout ce qui m’arrive m’arrive que je peux continuer d’évoluer.

22 - Et enfin, c’est parce que j’ai évolué que je peux aider, voire guider, mon prochain. Mais c’est une toute autre histoire...

Et là, je me dis quand même…
Mais étais-je crétin à ce point pour avoir eu besoin de ces épreuves ?
Enfin, me voilà moins crétin maintenant !

En suis-je aussi sûr ?

Attendons de voir si cette même épreuve se représente. Si elle ne se représente pas, alors oui, j’ai appris. Si elle se représente, alors je n’ai rien appris du tout car, non seulement je dois apprendre, mais je dois également mettre systématiquement à l’exercice ce que je viens d’apprendre avant de passer à la leçon suivante.

Apprendre encore et toujours sera toujours frappé d’infertilité si je ne mets pas à l’exercice ce que je viens d’apprendre. Et je ne peux pas non plus apprendre plusieurs leçons à l’avance... Je ne peux apprendre les leçons qu’une par une.

Ah bon ?
Parce que c’est ça la vie ?
Mais bon sang, mais c’est bien dur !
_______________________________________________
Quel que soit ton rêve, commence-le.
L'audace a du génie, du pouvoir et de la magie.
Prends pour outils l'amour comme épée et l'humour en bouclier.
Si tu crois en toi, alors l'Univers tout entier se pliera à ton désir.
Toujours plus haut.
Jean Luc Weil.

Quelle belle sagesse et comme je me suis retrouvée dans certaines réflexions. j'ai toujours franchi avec courage les épreuves que la vie n'a cessé de mettre sur ma route, mais en suis-je plus sage pour autant ? je ne le crois pas, parce que j'ignorais tant et tant de choses qu'elles ne me servaient pas. Je les franchissais c'est tout, parce que je suis une battante, mais elles ne me servaient pas de leçons, donc je les retrouvais sans cesse sous une forme ou une autre.
Maintenant je suis bien lasse, trop sans doute pour avoir envie de réagir, que de temps perdu... j'ai été une petite balle qui rebondissait sans cesse mais à mon avis elle doit être crevée maintenant car elle ne rebondit plus ou presque plus, elle subit le choc qui l'envoie encore plus près de la terre jusqu'au moment où elle y restera.

Souléou a écrit:

Maintenant je suis bien lasse, trop sans doute pour avoir envie de réagir, que de temps perdu... j'ai été une petite balle qui rebondissait sans cesse mais à mon avis elle doit être crevée maintenant car elle ne rebondit plus ou presque plus, elle subit le choc qui l'envoie encore plus près de la terre jusqu'au moment où elle y restera.

Je me reconnais un peu dans cette phrase qui me touche Souléou. Nous sommes fatiguées de toujours devoir nous battre, il arrive un moment où on lâche prise, et les plus belles phrases du monde n'y pourront rien changer.

Hélas Triskel, si c'était vraiment du lâcher-prise nous serions en pleine forme, or ce n'est que de la résignation, et cela nous démolit encore plus !  Le lâcher-prise donne de la force pas la résignation ! la nuance est subtile à comprendre, moi-même je n'y arrive pas souvent, hier quelqu'un me l'a fait remarquer avec justesse.

Je ne suis pas résignée, j'arrête seulement de me torturer le cerveau et je tente de vivre au jour le jour, et advienne que pourra!

Je vois là plusieurs commentaires à mon texte et qui sont convergents... et vous avez raisons !
Je voudrais insister un peu sur cette partie :

4 - Mes épreuves, mes ennemis, me font barrage seulement pour me permettre de comprendre ma capacité à résister et à combattre. C’est aussi grâce à eux que j’apprends à mieux me connaître. Je dois apprendre à résister face à ce qui ne me convient pas mais apprendre de mes ennemis et mes épreuves. C’est en les comprenant que je deviens plus fort. Je ne suis pas forcément obligé de combattre si je ne suis pas obligé de me défendre.

Si vous êtes capables d'écrire ce que vous avez écrit, c'est alors que vous avez d'ores et déjà amorcé, et peut-être accompli, la notion de COMPRENDRE.
Et par ailleurs, il est tout aussi important d'assimiler le fait que JE NE SUIS PAS FORCEMENT OBLIGE(E) DE COMBATTRE.

Cette notion de combat non obligatoire est très importante en ce sens que reconnaître que l'on n'est pas forcément de taille à lutter pour ou contre quelque chose et déjà faire preuve de sagesse.
Et dès l'instant que cette compréhension est faite, alors rien ne nous empêche de continuer d'avancer sur notre chemin... sans avoir combattu, mais avancer tout de même.

Le combat, quelle qu'en soit la forme, possède toujours de la noblesse.
Pourquoi ?
Peut-être tout simplement parce qu'il s'agit de défendre une idée, mais à condition toutefois de défendre la sienne et non celle d'un autre.
Ne pas combattre, voire éviter le combat, peut receler bien de la noblesse aussi.

Vous vous dites vous trouver en désillusion.
Je l'ai longtemps cru moi aussi mais j'ai changé ma façon de comprendre, un peu. En tout cas j'essaie de me parfaire.

Pour ma part, l'âge avançant, les années s'accumulant, est aussi une aventure.
Je ne me sens plus du tout la vaillance d'autrefois. J'en suis même fort éloigné.
Je ne me sens pas du tout invincible non plus. Les épreuves se sont chargées de me le faire comprendre.

Alors quoi ?
Alors je m'économise.
Et pour pouvoir le faire, j'apprends la bienveillance envers moi-même. J'apprends que je ne suis pas infaillible et que si je suis là, c'est justement pour cette raison.

Est-ce que je me sens plus rassuré pour autant ?
Non, bien sûr.

Est-ce que je me sens moins endolori ?
Non, pas moins, mais pas plus non plus.

Si les douleurs sont là, c'est aussi que je dois apprendre d'elles.
Il y en a que je dois combattre, encore et toujours, avec mes moyens s'amenuisant.
Il y en a que je peux ne pas combattre, parce que je peux agir tout simplement sur une nouvelle compréhension, ou un nouveau mode de vie.

En somme, ce que je décris, c'est tout simplement la guerre sainte.
Me combattre moi-même pour me parfaire, tout en sachant que je ne toucherai jamais la perfection, en tout cas ici-bas. Là-haut, c'est une toute autre histoire. Et comme je sais que, de façon infaillible, j'irai là-haut, j'en profite pour prendre tout mon temps avant de m'y trouver.

Mais c'est vrai, vous avez entièrement raison, ni l'époque, ni l'environnement ne nous aide à être enclins à l'amour, la bienveillance, ni encore moins la sagesse qui semble avoir déserté quelque peu cette planète.

Mon occupation favorite du moment ?
Je regarde à la télévision les contes de Noël chaque fois que je le peux.
Je ne suis plus un perdreau de l'année, je le sais bien. Je ne crois plus au Père-Noël depuis bien longtemps non plus. Mais regarder du bonheur, ça me fait du bien. Et quand je me suis fait du bien, et que parfois j'ai pleuré parce que les émotions ont été chamboulées, je me sens de nouveau ragaillardi.

Et puis je tombe...
Et puis je me relève...
Et puis je tombe...
Et puis je me relève...

Et puis... à chacun des pas que je fais, j'accumule les victoires.
Oh, il n'y a jamais de grandes victoires, ou si peu.
Ce sont les toutes petites qui sont les plus méritantes.

Quand je vois partout à l'approche de Noël tous ces messages artificiels d'amour universel, "aimons nous les uns les autres, l'amour sauvera le monde, prions le Seigneur " etc. et que je regarde les infos avec en plus du reste cet attentat à Berlin, sincèrement tout ça me sort par les yeux, c'est devenu insupportable de naïveté, de stupidité pour moi.
Il m'arrive aussi de regarder des contes de Noël à la télé et tous ces bons sentiments d'amour et d'amitié me font pleurer aussi.
Qu'y a-t-il  à comprendre dans ce monde pourri? Je m'interroge sur mon karma et je ne peux pas y échapper, certaines situations sont récurrentes et il n'y a pas moyen de lutter contre ça. Je continue d'avancer, mais je ne sais pas pourquoi.

Mais tu continues d'avancer. Même sans savoir pourquoi, tu continues.
Au fond de toi, toi aussi tu sais que la vraie notion à retenir est l'amour, même dans ce monde qui nous semble si pourri.

Il ne nous est jamais possible de comprendre la raison d'une épreuve forte au moment où nous sommes dans l'épreuve. Souvent beaucoup de temps est nécessaire pour en avoir une bonne compréhension.

Tout comme toi, j'avoue que ça me fait défaut.
J'ai beau comprendre et savoir tout ce que je comprends et je sais, je ne vois toujours pas l'utilité d'un tel pugilat.

Jean-Luc, tu écris " Me combattre moi-même pour me parfaire...," alors là je ne suis absolument pas d'accord, mais je respecte ton opinion quand même Pour moi, il ne s'agit pas de se combattre, mais d'activer ce qu'il y a de bon et de beau en nous, c'est cela qui nous aidera à aller vers la perfection - moi non plus je ne suis pas naïve et j'ai quelques tours de compteur de plus que toi, je ne l'atteindrai sûrement pas dans cette vie - combattre est inutile, voire peut être néfaste en induisant une mauvaise image de soi chez beaucoup. " je suis nul/le, je ne comprends rien, j'y arrive pas, etc..."

Ceci dit je ne regarde pas la TV. Pourtant j'aime bien les contes de Noël !

Respect et remerciements pour toute cette vérité Jean-Luc

Souléou a écrit:

Quelle belle sagesse et comme je me suis retrouvée dans certaines réflexions. j'ai toujours franchi avec courage les épreuves que la vie n'a cessé de mettre sur ma route, mais en suis-je plus sage pour autant ? je ne le crois pas, parce que j'ignorais tant et tant de choses qu'elles ne me servaient pas. Je les franchissais c'est tout, parce que je suis une battante, mais elles ne me servaient pas de leçons, donc je les retrouvais sans cesse sous une forme ou une autre.
Maintenant je suis bien lasse, trop sans doute pour avoir envie de réagir, que de temps perdu... j'ai été une petite balle qui rebondissait sans cesse mais à mon avis elle doit être crevée maintenant car elle ne rebondit plus ou presque plus, elle subit le choc qui l'envoie encore plus près de la terre jusqu'au moment où elle y restera.

Bonsoir ou bonjour Souléou,

J'ai tenté de t'envoyer un message en MP, mais, visiblement, je ne suis pas douée!

Je viens de te lire.

Au travers de tes écrits , je te sens découragée et fatiguée.
Cela m'attriste beaucoup.

Alors, je me permets juste de te dire que j'espère sincèrement que la chaleur, la joie , l'enthousiasme et de nombreuses autres choses positives vont réinvestir rapidement et durablement ton cœur.

Courage!

Souléou a écrit:

Jean-Luc, tu écris " Me combattre moi-même pour me parfaire...," alors là je ne suis absolument pas d'accord, mais je respecte ton opinion quand même Pour moi, il ne s'agit pas de se combattre, mais d'activer ce qu'il y a de bon et de beau en nous, (...)

Je reconnais que ce mot "combattre' est mal choisi et je t'en présente mes excuses.
Cela dit, je ne vois pas comment je pourrai tourner ma phrase...

"Je reconnais que ce mot "combattre' est mal choisi et je t'en présente mes excuses.
Cela dit, je ne vois pas comment je pourrai tourner ma phrase..."

Cher Jean-Luc, tu n'as pas d'excuses à me présenter, chacun donne son avis ici et c'est bien ainsi. je suis parfois abrupte dans mes commentaires ou réponses car je réagis trop souvent au quart de tour, mais c'est sans méchanceté ni pour prouver une supériorité que je ne me reconnais pas.
Quant à ta phrase, ce n'est pas un "combat" que tu mènes contre toi, et qui d'ailleurs si tu agissais ainsi ne te mènerait à rien, mais une étude attentive de ce que tu veux améliorer en toi, donc encore une fois insister sur tous tes points positifs, les autres s'élimineront d'eux- mêmes. C'est en fixant son attention sur la Lumière que les ombres se dissipent.

Merci Gipsy pour ton adorable petit message. j'en ai été très touchée vraiment
Je t'envoie un MP comme cela tu n'auras pas de mal à me joindre.

Souléou, pas de problème pour moi.

Oui, j'ai noté que tu réagis... plutôt rapidement

Tu as raison, la guerre sainte est quelque chose qui ne peut être qu'intérieur.
En effet, c'est en utilisant nos bons côtés que nous pouvons nous débarrasser des moins bons.

Se positionner contre ce qui est contre... ça n'a jamais rien fait d'autre que d'accentuer ce contre quoi nous voudrions être contre.
Mais on peut être pour ou contre...
Par contre, j'adore jouer sur les mots.

Je vois et cela m'amuse d'ailleurs beaucoup.