Les mystères du site d'Angkor

Les mystères du site d'Angkor


Le site d'Angkor est sans aucun doute les plus beaux et mystérieux sur terre. Il refoule encore de nombreuses zones d'ombre et c'est pourquoi une équipe d'archéologie Franco-Khmer a décidé d'y établir un périmètre dans lequel elle a effectuer des fouilles. Le complexe est fouillé depuis des dizaines d'années et les archéologues et autres historiens en savent désormais beaucoup sur cette civilisation, ainsi que sur ses constructions. Aujourd'hui, il espèrent en savoir plus sur leurs coutumes, leurs rituels et leur approche aux divinités. C'est donc à Prasat Prei que des fouilles ont été entreprises.

Le sol a été scanné, c'était la façon la plus précise de sonder ce dernier. Une statue découverte en 1933 est pour les archéologues là preuve que le site est riche en trésors antiques. C'est une pièce qui a été sculptée dans le grès et il faut bien avouer qu'elle a perduré dans le temps et qu'elle est magnifique. Elle a été retrouvé profondément enterrée aux pieds d'un sanctuaire. La statue représente une divinité Khmer et ce dernier était sans aucun doute vénéré dans le temple. Mais était-ce la seule divinité qu'ils vénéraient ?

Aujourd'hui encore, la population locale vient aux temples se ressourcer. Tous sont très importants pour eux mais malheureusement, certains ont été saccagés. D'autres temples n'ont pas été achevés, allez savoir pourquoi les constructions n'ont pas abouties. Sans doute à cause du prix très élevé qu'elles coûtaient ? Bref, les fouilles n'a pas été de tous repos mais les hommes ont pu accéder à un savoir jusque-là enfoui. Ils ont en effet compris que les hommes pratiquaient l’élevage et qu'ils se nourrissaient donc de leurs animaux. Il cueillaient, chassaient et pêchaient.

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Plus de 200 peintures ont récemment été découvertes dans le grand temple religieux d’Angkor Vat au Cambodge. Invisibles à l’oeil nu pour certaines, ce sont des photos retouchées qui ont permis de rendre visibles les diverses représentations. Le mystique temple religieux d’Angkor Vat, figure emblématique du Cambodge, est l’un des sites les plus visités du pays, attirant des millions de touristes chaque année. Bien connu pour ses sculptures en bas-relief et ses fresques représentant des scènes religieuses, le temple est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, mais aujourd'hui, il dévoile de nouveaux secrets. Grâce à la photographie numérique et un logiciel de retouche d’images, ce sont plus de 200 peintures - pour certaines invisibles à l’oeil nu - qui ont été mises au jour. Les nombreuses images retouchées numériquement révèlent des peintures murales détaillées qui exposent diverses représentations : animaux, bateaux, bâtiments, divinités et figures mythologiques recouvrent imperceptiblement les murs d’Angkor Vat. D'après les spécialistes, les peintures élaborées pourraient être la preuve d’une tentative de restauration du temple qui fut abandonné au XVe siècle. Une découverte surprenante Ce sont des traces de pigment rouge qui ont attiré l’attention de Noel Hidalgo Tan, un chercheur en art rupestre de l’Université nationale australienne à Canberra. En 2010, alors qu’il réalisait des fouilles archéologiques à Angkor Vat, l’archéologue a décidé de prendre plusieurs photos des taches rougeâtres, en prévoyant de les retoucher par la suite. "Je ne savais pas que les images seraient autant détaillées, j’étais naturellement surpris" raconte-t-il. Retouchés, les clichés dévoilent d’extraordinaires fresques représentant des éléphants, des lions, des temples, des personnes sur des chevaux et même un dessin du mythique Roi Singe. En 2012, Noel Hidalgo Tan est retourné sur le site afin d’entreprendre des recherches plus approfondies en compagnie de chercheurs cambodgiens de l’APSARA (Autorité pour la protection et la gestion d’Angkor et de la région de Siem Reap). "Les peintures présentent une variété de couleurs et de styles artistiques, qui apparaissent comme des silhouettes solides et des traits (dessin) à la fois en rouge et en noir", explique Tan et son équipe. Un logiciel pour voir l’invisible Pour rendre les représentations visibles, le chercheur a utilisé un outil de traitement destiné à l’amélioration des images d’art rupestre. En effet, le logiciel DStretch est capable de rendre visibles des pictogrammes presque imperceptibles à l’oeil nu, il détecte les différences de teintes et les met en évidence. Le programme fonctionne à partir d’images codées en RGB (rouge vert bleu) que l’on retrouve dans les appareils photo numériques. Cette méthode marche particulièrement bien pour les pictogrammes de couleur rouge ou jaune pâle. Devenu un outil incontournable dans la recherche en art rupestre, son traitement d’images permet de redonner une seconde vie aux dessins "délavés". Il a même été utilisé pour améliorer les images prises de la surface de Mars par le rover Opportunity de la NASA afin de mettre en évidence les différentes couleurs du paysage martien. Date de création inconnue Le temple d’Angkor Vat a été construit dans la première moitié du XIIe siècle par le roi Suryavarman II (1113-1150) pour honorer la divinité Vishnou (Hindouisme). Cependant, si les chercheurs connaissent la date de construction du temple, ils ne savent pas exactement quand les peintures récemment découvertes ont été réalisées. Noel Hidalgo Tan émet l’hypothèse que les œuvres d’art les plus soignées ont pu être commandées par le roi Ang Chan du Cambodge afin de restaurer le temple pendant son règne entre 1528 et 1566. Pendant cette période du XVIe siècle, les sculptures inachevées du temple ont été achevées et Angkor Vat a commencé à devenir un lieu de pèlerinage bouddhiste. Les nouvelles peintures mises au jour témoignent de nombreuses iconographies bouddhiques et pourraient bien aider les archéologues à éclaircir cette période peu connue de l’histoire du Cambodge.

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merci Chantara

peut étre que,ce peuple,bien en avance sur les autres peuples du moment a été obligé de quitter
de quiter les lieux a cause du climat,qui avait changé
il y a sur terre d'autres peuples qui ont été obligé de quiter leurs lieux a cause du climat changeant

alors,plus de nourriture pour le peuple,je pense

les anciennes civilisations connaissaient la peinture en couleur , c'est juste le temps qui les a passée et c est pour cela qu aujourd'hui on pense qu'ils peignaient en monochrome