vaisseau ARV

L'Advanced Re-entry Vehicle ou ARV (en français « Véhicule de Rentrée Avancé ») est un projet de vaisseau cargo spatial lancé en novembre 2008 par l'Agence spatiale européenne et développé à partir de l'ATV. Contrairement à l'ATV, qui après avoir ravitaillé la Station Spatiale Internationale, est détruit lors de son retour sur Terre, l'ARV peut effectuer une rentrée atmosphérique.
L'objectif de ce développement est de disposer d'un véhicule permettant de reprendre en partie le rôle de la navette spatiale américaine après l'arrêt de celle-ci pour le retour sur Terre de fret depuis l'orbite basse. La mise au point d'un vaisseau spatial capable d'effectuer une rentrée atmosphérique doit constituer également une étape dans la réalisation d'un vaisseau spatial européen capable de transporter des astronautes.

Présentation
L'ATV développé dans le cadre du programme spatial européen et dont le premier vol remonte à 2008 est un cargo spatial sans équipage conçu pour ravitailler la Station Spatiale Internationale en consommables (ergols, oxygène, ravitaillement…) et permettant de rehausser l'orbite de la station. L'ATV n'a pas été conçu pour être récupéré une fois sa mission accomplie.

Pour capitaliser sur la réussite de ce développement, l'Agence Spatiale Européenne a lancé un projet de cargo spatial récupérable composé du module de service de l'ATV (partie assurant le contrôle de l'orientation, la propulsion) et d'un nouveau module, qui se substitue au module de fret pressurisé de l'ATV, doté d'un bouclier thermique pour pouvoir effectuer une rentrée atmosphérique. L'ARV doit pouvoir ramener sur Terre plusieurs centaines de kilogrammes de fret. Si le projet aboutit, il est prévu que le cargo soit opérationnel à compter de 2015.

Le projet est développé par le principal industriel qui a conçu l'ATV : la filiale allemande de EADS Astrium.
Le projet, entré en « Phase A » en juillet 2009, doit utiliser le résultat de plusieurs études et prototypes développés précédemment dans le cadre du programme spatial européen en particulier l'ARD (Advanced Re-entry Demonstrator) un démonstrateur qui a effectué une rentrée atmosphérique réussie en 1998.


source : Wikipédia

ce n'est pas pour demain encore. la fission nucléaire et son controle et surtout le cout de l'opération.
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je pense que les hommes travaillent la dessus a cause de la conquete de Mars et audela encore
Mais il y a des enjeux politique et economique