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  7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-

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chantara
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MessageSujet: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeDim 11 Fév 2018 - 19:39

Nouvelle vie
j'ai travaillé à l'envers.
je sais , avec l'expérience des voyages dans mes vies antérieures, que j'ai vécu pendant la seconde guerre mondiale.
Donc en fonction de ma dernière incarnation connue
ELEANOR 1861 à 1912 Philadephie - USA
et en fonction de ma date de naissance 1961
j'avais une fourchette de date pour cette autre vie...  entre 1913 et 1945 puisque j'etais sure d'etre morte pendant la guerre.

(ma foi, cette démarche dans ce sens est exceptionnelle)

Donc, à tord je m'en apercevrai plus tard, j'ai pensé que je devais etre juive et morte dans les camps.
Et puis je discutais avec ma fille (Okcoral), et elle me dit , mais il n'y a pas que les juifs qui ont été exterminé. Il y a eu de nombreux massacres dans des villages francais et perpétués par les allemands.

La remarque me bouleverse. Mais oui, bien sur.
je commence donc a écumer internet pour rechercher la liste des massacres allemands pendant la guerre.
Il y en a beaucoup.
Et bien sur il y a le 10 juin 1944 et Oradour sur glane.
je commence à surfer sur différents sites qui reprennent les faits
et je tombe sur le site officiel du village martyr .
je clique sur la librairie et commence a regarder les ouvrages qui sont sortis sur le sujets et qui relatent les témoignages des survivants.

et ...   je vois
LE CARNET DE DENISE BARDET avec sa photo en couverture.
... mon coeur s'arrete et je repète plusieurs fois son nom : DENISE BARDET, DENISE BARDET, DENISE BARDET
la, c'est une évidence, c'est Okcoral ma fille. j'en suis certaine.

je lis donc les différents wikipédia sur Denise.
et je lis sa vie. Institutrice a Oradour sur glane est célibataire et à 24 ans.
A la date du 10 juin, alors que les allemands avancent vers l'lentrée du village et vont l'investir en tenaille. Denise Bardet est en classe avec ses élèves garcons de CE2.
Aujourd'hui c'est son anniversaire.

Voila ou j'en suis. Je suis certaine de l'identité de ma fille, mais je n'ai rien sur moi.
excepté deux choses.  Madame K. une voyante, que je connais bien, me livre 4 vies antérieures qu'elle a percu.
l'une d'elle  qu'elle décrit ainsi :
une fillette qui regarde sa maison bruler avec toute sa famille dedans...

c'est vague. Donc en dehors du fait que je suis une fillette, rien.

Donc je dois faire une regression;
Chose faite le 9 fevrier 2018 à 19h15.

...je suis sur une place de village. Il y a une vieille voiture noire de garée le long des maisons. Des soldats en vert regroupent les gens. Hommes et Femmes sur la place. Il y a des bousculades et du brouhaha. Je suis toute seule, je me mets à pelurer et j'ai peur.
les Hommes sont emmenés vers le nord du village et les femmes et les enfants sont entrainés vers l'église. Il y a pleins d'enfants qui trottent avec les femmes. On entre dans l'eglise. Les soldats nous enferment. Je continue de pleurer. Il y a plein de monde. Soudain je vois Denise. Denise ! Elle se retourne entourée par des petits garcons et me reconnait et m'appelle : Gisèle ! viens !
je me faufile parmi la foule et je me jette dans ses bras. Je pleure sans pouvoir m'arreter.
Elle me parle doucement , ne t'inquiète pas Gisèle, ca va aller.
...


Fin de la séance il est 19h42.

Gisèle ! je m'appelle : Gisèle.
retour sur internet. et dans la liste des victimes d'Oradour sur glane classé par ordre alphabetique.
voila je l'ai : Gisèle BARDET.
Denise n'est pas ma mère, mais peut etre ma tante.
a creuser.
j'ai encore beaucoup d'informations a découvrir


Donc je le rappelle, cette méthode (à l'envers) n'est pas souhaitable , car trop aléatoire.
Il est préférable que les visions vous viennent avant de vous lancer dans des recherches. Celui ci sont déjà laborieuse avec des barrières, mais dans l'autre sens cela devient gigantesque.
Restez sur le mode classique et faites vos regressions au casque, dans un lieu protégé et pas trop éclairé, laissez les visions vous envahir....
A bientot


Dernière édition par chantara le Ven 7 Sep 2018 - 13:17, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeLun 12 Fév 2018 - 19:20

...massacre par les allemands du 10 juin 1944 a oradour sur glane

liste des victimes
http://static.blog4ever.com/2006/01/63466/artfichier_63466_75116_201004121714651.pdf

je cherche une enfant de 4 à 8 ans

Le massacre d’Oradour-sur-Glane est la destruction, le 10 juin 1944, de ce village de la Haute-Vienne, situé à environ vingt kilomètres au nord-ouest de Limoges, et le massacre de sa population (642 victimes), par un détachement du 1er bataillon du 4e régiment de Panzergrenadier Der Führer appartenant à la Panzerdivision Das Reich de la Waffen-SS. Il s'agit du plus grand massacre de civils commis en France par les armées allemandes, assez semblable à ceux de Marzabotto, ou de Distomo (ce dernier perpétré lui aussi le 10 juin 1944), qui transposent sur le front de l'Ouest des pratiques courantes sur le front de l'Est.

Ces événements marquèrent profondément les consciences ; leurs conséquences judiciaires suscitèrent une vive polémique, notamment à la suite de l'amnistie accordée aux Alsaciens « Malgré-nous » qui avaient participé au massacre. Depuis 1999, le souvenir des victimes est célébré par le Centre de la mémoire d'Oradour-sur-Glane, situé non loin des ruines du village à peu près conservées en l'état

Préparation de l’expédition et investissement du bourg

Le groupe de reconnaissance qui commet, le 9 juin, le massacre de Tulle, et deux régiments de Panzergrenadier, investissent la région de Limoges pour préparer le positionnement de la division dans le secteur afin de réduire les maquis. Le 1er bataillon du 4e régiment Der Führer, sous les ordres du commandant Adolf Diekmann, est cantonné autour de Saint-Junien, à 12 km d'Oradour.

Pour tarir le soutien de la population aux maquis et diminuer l'activité de ceux-ci par crainte de représailles, les SS préparent une action visant, selon Bruno Kartheuser, à produire un effet maximal de terreur31. Les raisons du choix d'Oradour pour cette action restent mal éclaircies et controversées, en raison de la disparition des personnes, du silence des documents36, ainsi que du caractère unique du témoignage disponible relatif aux réunions entre Allemands et miliciens. J.J. Fouché soutient cependant l'hypothèse selon laquelle « les SS ont construit leur justification du massacre avant même de le perpétrer », au contraire de G. Penaud qui affirme que cette « opération de désinformation » fut programmée par Diekmann juste avant de quitter les lieux.

Les 9 et 10 juin, le massacre fait l'objet d'au moins trois réunions de préparation réunissant des membres de la Milice, de la SIPO et de la 2e Panzerdivision SS Das Reich. D'après l'enquête menée par le commissaire Arnet en septembre 1944, le 10 juin au matin, convoqués par le général Heinz Lammerding, le sous-chef de la Gestapo de Limoges, l'Oberscharführer Joachim Kleist et son interprète, Eugène Patry, quatre miliciens, sous la conduite de Pitrud, rencontrent le Sturmbannführer Adolf Diekmann, à l'hôtel de la Gare à Saint-Junien : « C'est là, sur une banale table de café, dans la salle du rez-de-chaussée de ce petit hôtel […] que fut décidée et réglée la destruction d'Oradour, au cours d'une conversation qui dura plus d'une heure ». Vers treize heures trente, deux colonnes quittent Saint-Junien, la plus importante d'entre elles, qui comporte huit camions, deux blindés à chenilles et un motocycliste de liaison prenant la direction d'Oradour-sur-Glane ; elle est commandée par le Sturmbannführer Adolf Diekmann, qui prend la tête du convoi à bord d'un blindé à chenilles41. Trois sections de la 3e compagnie, auxquelles il fait ajouter la section de commandement de la compagnie et celle du bataillon, soit un total d'environ deux cents hommes munis d'armes légères — fusils, grenades, mitrailleuses (MG42), fusils lance-fumigène et lance-grenades — et une section de mitrailleuses lourdes, se dirigent vers Oradour. Au moment du départ, le chef de la 1re section, Heinz Barth, déclare : « Ça va chauffer : on va voir de quoi les Alsaciens sont capables46 ».

Un kilomètre avant l'arrivée au village, la colonne s'arrête pour la distribution des ordres aux officiers et sous-officiers. Un premier groupe de cinq à huit véhicules entre dans le village par l'est, en empruntant le pont de la Glane, vers 13 h 45 : à ce moment, l'encerclement du village est déjà effectué par 120 hommes environ. Selon un des témoins, Clément Boussardier, qui assiste au passage des camions et des automitrailleuses à chenilles, « les hommes étaient tous armés soit de mousquetons, de fusils mitrailleurs ou de mitraillettes. Ils dirigeaient leurs armes en direction des maisons. […] Les Allemands étaient en tenue bariolée et leur attitude de tireur, prêt à faire feu, avait impressionné ». Ce déploiement de forces ne suscite aucune panique, ni appréhension particulière : si le pharmacien et d'autres commerçants baissent leurs stores métalliques, le coiffeur va s'acheter du tabac pendant que son commis s'occupe d'un client. Les habitants du bourg, qui n'avaient pratiquement jamais vu d'Allemands, regardaient arriver les SS sans plaisir, certes, mais avec plus de curiosité que de crainte.

Cependant, « de nombreux habitants tentèrent de s'enfuir ou de se cacher », entre 130 et 15050, ce qui dénote un courage certain car « il fallait avoir une expérience de la peur et une motivation forte pour ne pas obéir aux ordres SS.

Rassemblement des habitants

Convoqué par le commandant Adolf Diekmann, le docteur Desourteaux, président de la délégation spéciale désigné par le régime de Vichy qui fait office de maire, fait appel au crieur public pour ordonner aux habitants et aux personnes de passage au bourg, particulièrement nombreuses en raison d'une distribution de viande et de tabac, de rejoindre le champ de foire ; la majorité de la population obéit aux ordres persuadée qu'il s'agit d'un contrôle de routine. L'inquiétude des habitants est encore mesurée pendant le rassemblement et avant la séparation des hommes et des femmes et des enfants : M. Compain, le pâtissier, dont le magasin donnait directement sur la place va jusqu'à demander à un soldat allemand s'il ne peut pas aller vérifier la cuisson de gâteaux qu'il venait de mettre au four et s'entend répondre, en français, qu'on va s'en occuper. Les SS forcent les habitants de la périphérie à aller vers le centre en direction de la place du champ de foire54. Le rabattage est systématique et concerne tous les habitants. Des survivants témoignent. Marcel Darthout, âgé de vingt ans et marié depuis dix mois55, tente de fuir par les jardins en direction de la Glane : « arrivé au bout du jardin, je me suis aperçu que les Allemands déployés en tirailleurs cernaient le bourg, ce qui m'a obligé à revenir à la maison. Peu de temps après, un Allemand est venu faire irruption dans notre cuisine. Il tenait un fusil à la main et, avec son canon, il nous a poussés dehors, ma femme, ma mère et moi, sans ménagement » ; Mathieu Borie, diffuseur des journaux clandestins du Mouvement de Libération Nationale, constate que « au fur et à mesure de leur avance, ils ont ramassé tous les habitants grands et petits, jeunes et vieux, d'Oradour pour les conduire place du Champ de Foire. Ils passaient dans chaque immeuble se trouvant dans le quartier de leur passage, défonçant portes et fenêtres si c'était nécessaire ». La rafle inclut également les quatre écoles de la commune, soit 191 enfants, 2 instituteurs et 5 institutrices : bien que l'on soit un samedi après-midi, les enfants sont rassemblés dans les écoles, en raison d'une visite médicale ; elle concerne également les habitants des fermes et maisons situées à l'extérieur du bourg. D'après Marcel Darthout, « des camionnettes apportaient sans cesse des gens des villages environnants qui avaient été appréhendés à domicile. C'est ainsi qu'il y avait là des agriculteurs des Brandes et de Bellevue ». Selon un autre témoin, Clément Boussardier, « les gens continuaient d'arriver de partout. […] Des coups de feu isolés ont été tirés aux alentours. Les automitrailleuses faisaient le va-et-vient dans le bourg. Une autochenille qui passait dans le champ ramenait de temps à autre les paysans qu'ils y avaient ramassés. Au bout d’une heure sont arrivés les écoliers avec les instituteurs et institutrices » ; Mme Binet, la directrice de l'école de filles [en congé de maladie] poussée à coups de crosse, arrive en pyjama et revêtue de son manteau. Les fuyards ou ceux qui ne peuvent se déplacer sont immédiatement abattus. Lors de son procès à Berlin-Est, en 1983, Heinz Barth reconnaît qu'il a personnellement donné l'ordre à l'un de ses subordonnés d'abattre, conformément aux instructions, une personne âgée incapable de se rendre sur le lieu du rassemblement général; selon A. Hivernaud, une vieille femme, courbée sur ses bâtons et qui n'avançait pas assez vite, fut abattue à coups de mitraillette. « Le rassemblement a été violent, avec de la casse, bris de portes et fenêtres, avec des coups de feu et des morts. Tout le monde n'a pas obéi » et si certains habitants réussissent à passer au travers des mailles du filet, la majorité de la population est rassemblée sur le champ de foire.

Le rassemblement des habitants achevé vers 14 h 45, un des Waffen-SS alsaciens traduit aux 200 à 250 hommes présents52 les propos du commandant Diekmann : les SS ont entendu parler d'une cache d'armes et de munitions à Oradour et demandent à tous ceux qui possèdent une arme de faire un pas en avant. On les menace de mettre le feu aux maisons afin de faire sauter le dépôt clandestin62. Selon Marcel Darthout, devant l'absence de réaction, l'officier demande au maire de lui désigner trente otages, qui lui répond qu'il ne lui est pas possible de satisfaire une telle exigence, assure que les habitants du bourg n'ont pas connaissance d'un tel dépôt et se porte garant pour eux. Selon l'un des survivants, Robert Hébras, alors âgé de dix-huit ans65, le commandant demande au maire de le suivre et ils font un aller-retour à la mairie. De retour sur le champ de foire, M. Desourteaux maintient son refus et se propose comme otage avec, le cas échéant, ses plus proches parents. À cette proposition, l'officier s'esclaffe et crie « beaucoup de charges68 ! » Vers 15 h, les femmes et les enfants sont conduits dans l'église après des scènes d'adieux déchirantes69. L'interprète réitère la demande de dénonciation et déclare : « nous allons opérer des perquisitions. Pendant ce temps, nous allons vous rassembler dans les granges. Si vous connaissez quelques-uns de ces dépôts, nous vous enjoignons de les faire connaître ». Selon Marcel Darthout, « aucun dépôt ne fut signalé et pour cause, il n'y en avait pas dans le village qui était parfaitement tranquille et où chacun s'occupait uniquement de son petit commerce ou de la culture de ses terres ».

Après une heure d'attente, les hommes sont conduits dans divers locaux repérés par les SS. Vers 15 h 40, une motrice de tramway en essai arrive de Limoges, avec trois employés à bord, et stoppe peu avant le pont sur la Glane. Une cale doit être placée afin de maintenir l'engin immobile. L'un d'eux descend au moment où passe un groupe d'hommes raflés dans les hameaux alentour, groupe encadré par quelques soldats. Cet employé qui est descendu est immédiatement abattu et son corps jeté dans la rivière. Les deux autres sont emmenés auprès d'un officier qui, après examen de leurs papiers, leur ordonne de rejoindre leur machine et de retourner à Limoges. Certains auteurs, pour expliquer le meurtre de cet employé qui n'était pas en service (il venait à Oradour pour voir un artisan), avancent qu'il aurait pu esquisser un geste ou un mouvement vers ses collègues.

Les femmes et les enfants
Parmi les 350 femmes et enfants enfermés dans l'église, seule Marguerite Rouffanche, âgée de 47 ans, parvient à s'échapper ; son mari, son fils, ses deux filles et son petit-fils âgé de sept mois font partie des victimes57. Son témoignage est unique, mais il est corroboré par les dépositions de plusieurs SS lors du procès de Bordeaux ou de sa préparation. La première personne à recueillir à l'hôpital le récit de la blessée est Pierre Poitevin, un membre éminent des Mouvements unis de la Résistance : « elle raconte ce qu'elle a vécu, calmement, posément, sans jamais varier ses déclarations. Si elle omet un détail et qu'on le lui rappelle, elle répond simplement oui, j'oubliais de le dire88 ». Le 13 juin, le préfet de Limoges reçoit également son témoignage, dont il fait un résumé. Ce récit est repris dans une note du 10 juillet adressée à la Commission d'Armistice franco-allemande de Wiesbaden par le secrétaire d'État à la défense

Marguerite Rouffanche renouvelle son témoignage en novembre 1944 :

« Entassés dans le lieu saint, nous attendîmes, de plus en plus inquiets, la fin des préparatifs auxquels nous assistions. Vers 16 hh, des soldats âgés d'une vingtaine d'années placèrent dans la nef, près du chœur, une sorte de caisse assez volumineuse de laquelle dépassaient des cordons qu'ils laissèrent traîner sur le sol. Ces cordons ayant été allumés, le feu fut communiqué à l'engin dans lequel une forte explosion se produisit et d'où une épaisse fumée noire et suffocante se dégagea. Les femmes et les enfants à demi asphyxiés et hurlant d'épouvante affluèrent vers les parties de l'église où l'air était encore respirable. C'est ainsi que la porte de la sacristie fut enfoncée sous la poussée irrésistible d'un groupe épouvanté. J'y pénétrai à la suite et, résignée, je m'assis sur une marche d'escalier. Ma fille vint m'y rejoindre. Les Allemands, s'étant aperçus que cette pièce était envahie, abattirent sauvagement ceux qui venaient y chercher refuge. Ma fille fut tuée près de moi d'un coup de feu tiré de l'extérieur. Je dus la vie à l'idée de fermer les yeux et de simuler la mort. Une fusillade éclata dans l'église. Puis de la paille, des fagots, des chaises furent jetés pêle-mêle sur les corps qui gisaient sur les dalles. Ayant échappé à la tuerie et n'ayant reçu aucune blessure, je profitai d'un nuage de fumée pour me glisser derrière le maître-autel. Il existe dans cette partie de l'église trois fenêtres. Je me dirigeai vers la plus grande qui est celle du milieu et, à l'aide d'un escabeau qui servait à allumer les cierges, je tentai de l'atteindre. Je ne sais alors comment j'ai fait, mais mes forces étaient décuplées. Je me suis hissée jusqu'à elle, comme j'ai pu. Le vitrail était brisé, je me suis précipitée par l'ouverture qui s'offrait à moi. J'ai fait un saut de plus de trois mètres, puis je me suis enfuie jusqu'au jardin du presbytère. Ayant levé les yeux, je me suis aperçue que j'avais été suivie dans mon escalade par une femme qui, du haut de la fenêtre, me tendait son bébé. Elle se laissa choir près de moi. Les Allemands, alertés par les cris de l'enfant, nous mitraillèrent. Ma compagne et le poupon furent tués. Je fus moi-même blessée en gagnant un jardin voisin. »

Selon les dépositions de plusieurs participants au massacre, la charge explosive qui doit faire s'effondrer l'église n'est pas suffisante pour atteindre son objectif86. « La destruction de la voûte de l'église échoua. La suite du massacre releva-t-elle d'un ordre ou d'une initiative de sous-officiers SS ? Vraisemblablement de la conjonction d'un ordre et d'initiatives individuelles : les récits des exécuteurs décrivent quelque chose proche d'un délire du champ de bataille, lorsque des hommes libèrent toute leur violence, avec l'autorisation de leur hiérarchie. Mais il n'y a pas eu de bataille ». Toujours selon les dépositions des assassins, après l'explosion de la charge, des SS « entrent à l'intérieur de l'église où ils ont tiré des rafales de mitraillettes, tandis que d'autres SS ont lancé des grenades à main à l'intérieur du même édifice, sans aucun doute pour achever la population » ; « au moment où le feu a été mis à l'église, on entendait toujours des cris à l'intérieur, mais moins qu'au début, ce qui prouve que, lorsqu'on y a mis le feu, des personnes étaient encore vivantes ou agonisantes.
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeLun 12 Fév 2018 - 19:23

dans la liste des 642 victimes, je retire les hommes, les femmes et je garde tous les enfants de 4 à 8 ans (a cause de leur année de naissance, audela de 1936/37 je suis encore Eleanor widener...)

43 noms et je suis dedans.....


marie Aliotti 2 ans
andre bardet 4 ans
gisèle bardet 8 ans
daniel bardet 6 ans
hubert bardet 7 ans
claudine beyne 7 ans
marie boutaud 6 ans
camille chauzat 7 ans
therese dagoury 4 ans
yvonne delavault 3 ans
maryse deschamps 6 ans
ginette desroches 7 ans
odile desvignes 7 ans
renée fauchet 5 ans
jeannie girard 7 ans
josette godfrin 3 ans
aline granet 7 ans
huguette haas 7 ans
michelle henry 2 ans
anne marie juge 3 ans
monique lacroix 1 an
marie therese lamaud 4 ans
germaine lamige 6 ans
jeanne lanot 7 ans
genevieve laurence 7 ans
lucette pister 3ans
danielle poutaraud 2ans
odette poutaraud 4ans
yvette poutaraud 7ans
josiane rambert 5 ans
anne marie ratier 6ans
irene raynaud 7 ans
annie renaud 4 ans
bernadette renaudin 7 ans
marcelle roby 6 ans
armonia serano pardo 3 ans
bernardette texier 4 ans
anne thomas 5 ans
michele vauchamps 7 ans
gilberte vevaud 7ans

je suis dedans bien sur.
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeLun 12 Fév 2018 - 19:27

 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- 68ix

Okcoral (ma fille dans l'IRL)
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeVen 16 Fév 2018 - 21:19

C'est peut-être une idée mais je trouve qu'il y a une certaine ressemblance avec toi ! (j'ai vu des photos sur fb...) C'est plutôt normal si vous aviez déjà des liens familiaux à l'époque.

Sinon concernant le procédé de recherche à l'envers, c'est vrai qu'il y a un risque à cause de la possibilité de se faire influencer par ce qu'on lit. Dans une régression on a déjà parfois l'impression d'imaginer ce qu'on voit. Et si on fait une recherche sur quelque chose qu'on a déjà lu (biographie ou autre) il est d'autant plus possible que cette connaissance influence la régression. C'est le problème que j'ai parfois avec ma vie de Corot. A présent j'ai lu beaucoup de choses sur lui, et du coup en régression j'ai un peu peur d'être influencé par ça. Il n'y a que quand je "vois" quelque chose que j'ignorais et que je peux vérifier après que je suis rassuré sur le contenu de la régression.

Donc attention, surtout pour les débutants en régression, de bien recouper les informations lues et les régressions quand on retrouve des traces concrètes d'une vie antérieure. Il est facile de se tromper, et ça arrive. A part mes propres vies j'essaie aussi de récapituler les vies de mes proches que j'ai côtoyés dans le passé, et il m'est arrivé de revenir sur des conclusions à propos de leurs vies passées et de corriger après avoir eu de nouvelles informations.
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeSam 17 Fév 2018 - 9:57

oui , c'est cette impression , meme cette certitude d'avoir vécu la 2ème guerre mondiale, et toujours cette evidence d'etre une femme. Apres mes premieres regressions et surtout celle Eleanor elkins widener née en1861 et morte en 1937 , je me suis dit qu'entre cette date et ma naissance d'aujourd'hui en 1961, Je pouvais bien avoir eu une vie.
Mais mon orientation partait mal puisque je pensais aux juifs exterminés dans les camps...
Sans ma conversation avec ma fille et se remarque pertinente (et mon ressenti fort après la verbalisation de sa pensée) je me serai égarée.

Okcoral a écrit:
- il n'y a pas que les camps, il y a eu aussi beaucoup de massacre de population en France à cette époque troublée...


Mais le chemin dans ce sens est beaucoup plus difficile, car comme tu le dis on a le risque d'etre influencée par ce qu'on lit.

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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeJeu 8 Mar 2018 - 18:40

Mais alors comment deux vies peuvent elles avoir les memes traits physiques ?
Notre ame est à nous, mais notre enveloppe charnelle on la choisi en fonction de sa future destinée pas de ses caractéristiques physiques. Donc comment est ce possible ?
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeVen 9 Mar 2018 - 11:31

Bonne question ! J'avais vu sur internet des cas de réincarnation bluffant ou les visages sont très ressemblants. En régression je ne vois pas forcément nettement les visages, ou ce que j'en ai vu ne m'avait pas fait noter de ressemblance flagrante.
En parlant de ça sur twitter, j'ai eu une réponse de quelqu'un qui me disait que l'âme influence l'expression des gênes, et peut comme ça modeler son corps lorsqu'il se développe, en quelque sorte.

C'est vrai que les gênes ne définissent pas complètement l'apparence physique. Ils peuvent s'exprimer de plusieurs manières. Par exemple, j'avais vu que des animaux clonés sur le même modèle ne sont pas identiques physiquement au final. Les gênes sont les mêmes mais ils s'expriment différemment.

Bref, je pense qu'en réincarnation la ressemblance d'une vie à l'autre n'est pas une règle mais une possibilité.
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeVen 9 Mar 2018 - 16:32

tres interessante réponse en tout cas, merci guillaume
je vais voir s'il y a possibilité de récuperer toutes les physionomies et de les mettre cote à cote pour comparer, ca pourrait etre drole.
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeMar 28 Jan 2020 - 17:51

complément d'expérience :

Sans savoir pourquoi j'ai depuis longtemps la certitude que mon beau fils T. fait partie de cette régression.
(mais dans le camp adverse) j'ai fait des recherches depuis un moment et j'ai ressenti une drôle d'impression en voyant cette photo .

 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- 2h6n

Adolf Diekmann né le 18 décembre 1914 à Magdebourg et mort le 29 juin 1944 en Normandie, est un militaire allemand de la Seconde Guerre mondiale. Sturmbannführer-SS, commandant du 1er bataillon du régiment Der Führer de la 2e division SS Das Reich, il est responsable du massacre d'Oradour-sur-Glane

Ma fille a ressenti des effets physiques en voyant cette photo
et moi j'ai été frappé ... de la ressemblance avec aujourd'hui. les 2 memes jeunes hommes.
tout bonnement incroyable.
Pour le moment, c'est une possibilité mais pour le vérifier, il faudra régresser pour avoir possiblement une confirmation.
Je suis sure que Denise et Gisèle, on "vu" cet homme à Oradour.
a suivre
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MessageSujet: Re: 7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre-    7 GISELE - Mes vies antérieures -oradour sur glane pendant 2ème guerre- Icon_minitimeSam 5 Sep 2020 - 19:20

voila un complément sur l'identité et la famille de Gisèle

Gisèle était la fille d’Arthur Léonard Bardet* (né le 1er octobre 1910, à Oradour-sur-Glane) cultivateur, (fils de Jean et de son épouse Marie née Senon*), et de son épouse Yvonne née Gendraud* (née le 22 avril 1913, à Cieux), gantière. Ses parents s’étaient mariés le 22 avril 1933 à Oradour-sur-Glane.
Elle a avait un frère cadet, Daniel* (né le 29 mars 1938, à Oradour-sur-Glane).

Au recensement de 1936, elle était domiciliée avec sa famille à la Croix du Bois de Loup, en 1944, à la Villa André aux Brandes, à Oradour-sur-Glane.

Elle fut victime du massacre perpétré par les SS du 1er bataillon du 4e régiment Der Führer de la 2e SS-Panzerdivision Das Reich et brûlée dans l’église avec sa mère, son frère, sa grand-mère et une partie de sa famille et l’ensemble des femmes et des enfants d’Oradour-sur-Glane. Son père et une partie de sa famille furent mitraillés puis brûlés dans l’une des six granges dans lesquelles les hommes furent massacrés.


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Gisèle Bardet obtint la mention « Mort pour la France » par jugement du tribunal de Rochechouart du 10 juillet 1945.
Son nom figure sur le monument commémoratif des martyrs du 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane.
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