La peinture du garcon qui pleure

Les histoires de possessions ou de fantômes sont souvent de vieilles histoires, d’il y a des dizaines voir des centaines d’années. Pourtant ici, c’est bien d’une histoire tout à fait contemporaine dont il s’agit.




Tout commence en 1985, lorsqu’un pompier retrouve une peinture dans les restes d’un violent incendie. Une peinture en apparence normale, représentant un petit garçon, l’air triste, une larme roulant sur sa joue. Le pompier reste stupéfait devant l’état du tableau, resté intact, alors que la maison et son contenu sont complètement en cendres. Il va même en parler au journal « The Sun », qui, rapidement, publie l’histoire. Le « Sun » va vite recueillir de nombreux témoignages expliquant des histoires fort similaires, toujours en relation avec la peinture… Et à chaque fois, l’habitation est complètement ravagée par les flammes, rien n’en réchappe, sauf la peinture du petit garçon.

Personne ne sait qui il représente, qui l’a peint… Les rumeurs commencent à enfler, on parle de tableaux hantés, de malédiction, le tableau devient une légende urbaine…

Et il y a de quoi… Des portraits d’enfants, pleurant à chaudes larmes ou au moins toujours une larme coulant sur la joue, qui suscitent malaises, troubles, sentiments inexplicables mais souvent dérangeants … De nombreux incendies, le plus souvent mystérieux et inexpliqués, laissant des maisons totalement détruites mais une peinture toujours intacte…

Après investigations, il apparait que ce, ou plutôt ces, tableaux aient été peints vers le début des années 50 par un peintre espagnol : Bruno Amadio, utilisant et peignant sous de nombreux pseudonymes. Il a peint plusieurs milliers d’exemplaires du « garçon en pleurs » ou « Niño llorando » parfois avec quelques variantes, parfois même ce sont des portraits de petits filles, mais toujours en larmes… La résistance au feu des tableaux pourrait s’expliquer par la matière sur laquelle ils sont peint, une matière particulièrement ignifugée.

Mais le mystère est-il pour autant résolu ? La matière utilisée suffit-elle à tout expliquer ? Pourquoi ces sentiments de malaises, ces termes de « malédictions » ? Et surtout, pourquoi tous ces incendies ? Coïncidences diront certains… Il n’en reste pas moins des phénomènes inexpliqués et surtout ces nombreux incendies. Pourquoi ces flammes si violentes et si ravageuses précisément là où sont les tableaux ? La question reste posée…






source : http://www.zonedouze.com/?p=1001

J'avais un tableau comme celui-ci étant petit, c'était un jeune garçon qui pleurait, et on pouvais distingué que ses vêtements étaient des habits qui me faisait penser à des vêtements de clown.
Je devais avoir 7 ans, et cela faisait depuis ma naissance que le portrait me regarder dormir, je les changé de place à cette age là, et depuis il est introuvable.

grenier ? cave ?