la carte
d’Hadji Ahmed datée de 1559 qui représente une cartographie très moderne des Amériques et surtout de leurs côtes ouest. La forme actuelle des Etats-Unis y est parfaitement reproduite. Cette perfection ne sera atteinte que deux siècles plus tard. Cette carte représente également une bande de terre large de plus de 1 500 km, reliant l’Alaska à la Sibérie. Ce pont a bel et bien existé (actuel détroit de Behring) mais il a été submergé par la montée des eaux à la fin de la dernière période glaciaire.
Ibn ben Zara (1487) et Benincasa (1508), cartographes arabe et portugais montrent l’Europe du Nord recouverte d’un glacier ressemblant à celui qui existait 12 000 ans avant notre ère.
La liste des cartes existantes serait trop longue à détailler. Une chose est certaine, ces cartes ne sont pas le fruit du hasard et ont toutes la même source.Ces cartes sont connues et répertoriées par les organismes spécialisés. On les trouve également dans des atlas, comme celui de Nordenskjöld de 1889. La falsification a été écartée par les scientifiques mais ils préfèrent malgré tout ignorer le sujet. Le seul qui s’y est penché est Paul Emile Victor quand il s’est aperçu en 1950 que la carte de l’italien Zeno avait plusieurs siècles d’avance sur ses découvertes en montrant le sous-sol rocheux du Groenland.....
Alors pourquoi la communauté scientifique se montre t-elle aussi sourde et aveugle devant des preuves irréfutables ?
La réponse est simple : admettre l’existence de ces cartes signifie remettre totalement en cause l’évolution de l’espèce humaine.
Comment, en effet, expliquer, que des hommes aient pu explorer le globe il y a au moins 10 000 ans, à une époque où l’Europe n’était qu’au stade préhistorique ?Pire encore, le bras de mer reliant les mers de Ross, Weddell et Bellingshausen, représenté sur plusieurs cartes anciennes, prouve que ces cartes ont été établies alors que l’Antarctique était totalement dépourvu de glaces. Les géologues sont affirmatifs. Ce continent n’a été entièrement libre de glace qu’à une date très reculée estimée à des millions d’années.
Alors imaginez qui a pu établir ces cartes ? Je vous pose la question
Qui étaient ces mystérieux cartographes ?Le jour où les scientifiques admettront officiellement que ces cartes existent, ils devront également admettre que la théorie de Darwin est fausse.
Pourtant, les preuves fossiles existent. Toumai, Orrorin, les australopithèques ont bien existé. Tous les fossiles nous prouvent que l’homme était très peu évolué il y a seulement 3 millions d’années.
Pour reprendre les conclusions d’Hapgood, l’Antarctique a été visité et peuplé par l’homme à une époque où il n’était pas censé exister.
En résumé, on peut dire que :
L’Antarctique jouissait d’un climat chaud à une époque où il était situé à environ 3 000 km au nord du cercle antarctique actuel. (Fait prouvé par les découvertes récentes).
L’Antarctique n’a trouvé sa position actuelle que sous l’effet du déplacement de l’écorce terrestre. Le glissement de l’Antarctique vers le sud a provoqué un refroidissement progressif ainsi que la formation d’une calotte glaciaire.
Albert Einstein a parfaitement résumé le processus :
"Un dépôt continuel de glace s’opère dans les régions polaires. Cette glace ne se répartit pas de manière égale autour du pôle. La rotation de la Terre agit sur ces dépôts dissymétriques imprime une force centrifuge qui agit sur la croûte rigide de la Terre."Les conséquences d’un tel déplacement ont dû être considérables sur l’ensemble de la planète : extinctions massives d’espèces animales, séismes, inondations, changement radical de climat sur les continents … Sans être alarmiste, si un tel déplacement devait à nouveau se produire, il ne resterait rien de notre civilisation.
En 1953, A.Einstein écrivait : « Le mécanisme du déplacement de la croûte terrestre aurait pour effet de déplacer les régions polaires vers l’équateur ».
Si on rassemble toutes ces preuves, on ne peut qu’en déduire qu’une civilisation technologiquement avancée a existé bien avant la nôtre. Cette civilisation semble s’être développée vers 13 000 ans avant notre ère pour disparaître ensuite. Toutes les parties du monde ont été cartographiée entre environ – 13 000 et – 4 000 ans.
A ce jour, le seul continent qui n’a pu être exploré à cause de la couche de glace qui le recouvre est l’Antarctique.
Est-il possible que sous cette glace se cache les vestiges de cette civilisation ? Peut-être mais ce continent dont la superficie est d’une fois et demi celui de l’Europe est recouvert d’une couche de glace pouvant aller jusqu’à 6 km d’épaisseur. Cette glace recouvre des montagnes aussi hautes que les Alpes. Autant dire que l’exploration des sous-sols demanderait des moyens colossaux....
la
carte de Mercator. Mercator lui-même, dans son Atlas de 1569, montre l'Antarctique avec des éléments encore plus précis que ceux d'Oronte Fine.
Sa description de l'Antarctique est plus précise que celle de l'Amérique du sud et de l'Afrique du sud, pourtant élaborée à partir des rapports de ses contemporains, et jugée plus fiable.
Les travaux de Mercator devaient populariser la théorie de l'existence d'un passage par le nord-ouest.