Du plus doux au plus féroce, tous les
animaux sont sacrés, tous les animaux ont besoin de notre amour. La
maltraitance animale et la désespérance qui l'accompagne sont la honte
de notre civilisation.
Après leur départ dans les sphères de la permanente Lumière, Léa et
Olivier, leurs enfants bien-aimés, se sont investis très vite dans cette
merveilleuse aventure qui consiste à renouer des liens spirituels avec
les anciens parents terrestres, afin de leur permettre de transmettre en
leur nom d'importants messages à l'humanité.
Au départ, ces messages étaient surtout d'ordre familial et personnel ;
mais ils ont peu à peu acquis une dimension bien plus large et
concernent désormais l'évolution du monde et de l'humanité.
Le premier livre de Jean lui avait déjà permis de transmettre
d'importantes révélations au grand public sur des sujets aussi divers
que les extraterrestres de la planète Kosmo, les dessous des cartes du
pouvoir politique, ou encore les véritables causes du décès de Daniel
Balavoine
Dans ce nouveau livre, les messages se veulent résolument universels et
prennent souvent la forme de mises en garde solennelles à notre humanité
:
« Somnolez, amis de la Terre : c'est votre droit.
Somnolez tranquillement ! Restez endormis et regardez se dérouler sous
vos yeux le massacre de la Terre et de ses habitants !
Ce n'est pas notre choix.
Ce n'est pas davantage le choix de nos parents
qui ont compris que l'urgence était là. Ce n'est pas non plus le choix
de nos amis Guides spirituels, élus du Seigneur.
Ce n'est pas, vous
l'avez compris, le choix de Dieu.
Essayez de comprendre le sens profond de nos messages. Certes, ils
seront dérangeants pour la plupart d'entre nous. Mais c'est notre choix,
un choix guidé par Dieu. »
Parmi ces messages, il en est un qui a tout particulièrement retenu
notre attention, à l'heure où l'ensemble de l'humanité semble menacé par
une pandémie massive de grippe aviaire.
Les médiums connaissent la véritable raison de cette menace : notre
Mère, la Nature, ne peut pas accepter indéfiniment que des êtres
vivants, même si ce ne sont "que" des animaux, soient considérés
uniquement comme des "produits" et élevés dans des conditions de
souffrance abominables avant d'être massacrés pour être dévorés.
Il est vrai que la plupart des animaux ne possèdent pas une conscience
individualisée comme celle de l'homme, mais ils ont un corps émotionnel
aussi développé que le nôtre et souffrent atrocement des conditions de
vie épouvantables qui leur sont infligées dans nos pays dits
"civilisés".
Le premier des 10 commandements de la Bible - « Tu ne
tueras point ! » - concerne TOUS les êtres vivants sans exception, à
commencer par nos petits frères, les animaux.
Aucun animal n'a jamais consenti librement à donner sa vie en pâture à
l'homme. Par conséquent, l'homme n'a aucun droit sur cette vie ; il n'a
aucun droit de transformer les animaux en cadavres et de s'en nourrir.
Tous les animaux - au moins tous les mammifères - devraient pouvoir
continuer à vivre et à évoluer librement.
En les privant injustement des
bonnes conditions d'évolution mises généreusement à leur disposition
par la Nature, l'homme se retrouve aujourd'hui confronté à un
inéluctable choc en retour.
Telle est la quintessence du bouleversant message transmis par l'âme d'Olivier à l'ensemble de l'humanité à travers son père...
Jean s'exprime en son nom avant de laisser la parole à son cher fils décédé.
Du plus doux au plus féroce, tous les animaux sont sacrés.
Tous les animaux ont besoin de notre amour.
« La maltraitance animale et la désespérance qui
l'accompagne représentent à nos yeux la grande honte d'une ère
civilisée, et le déshonneur absolu d'une humanité totalement
irresponsable et en situation de grand désarroi.
Pourquoi faisons-nous
payer nos erreurs ou nos difficultés à des êtres innocents sans défense?
Qu'avons-nous donc à leur reprocher pour faire subir un tel sort à
certains? Les animaux ne comprennent que la tendresse et l'amour,
contrairement à de nombreux humains pour qui ces sentiments ne
concernent que leur compte en banque et leurs intérêts financiers ou
bassement matériels.
Car c'est bien le commerce sous toutes ses formes
qui conduit aux excès et atrocités que nous connaissons.
Les trafics en
tout genre et la production industrielle sont passés et passent toujours
par là, avec la haute bénédiction de politiciens incapables ou
incompétents pour prendre les mesures qui s'imposent.
Produisez ! Produisez !.veaux, vaches, cochons, couvées... Nous n'avons
pas le temps d'attendre, la banque nous presse de rembourser nos dettes
et si nous n'y arrivons pas, c'est vous, animaux, qui en porterez la
responsabilité! Quand serez-vous donc capables de réduire la durée de
votre cycle de reproduction ? Bovins, pourquoi portez-vous des cornes?
Elles nous gênent ! C'est certainement une erreur de la nature à
laquelle nous devons remédier.
Nous allons aussi rechercher des
solutions scientifiques pour que votre croissance s'accélère, vous êtes
trop lents! Nous devons également vous entasser dans des hangars
luxueux, beaucoup plus modernes que vos étables ou poulaillers d'antan !
Il n'y a plus assez de place sur cette Terre pour vous élever
naturellement! Vous ne dormirez plus et grandirez très vite, sans jamais
manquer de nourriture, c'est promis !
Et peu importe si vous êtes
stressés, malades, blessés, ou même si vous vous entretuez.
Vous êtes nos
produits..et un produit ne souffre pas !
Il ne se plaint jamais !
Vous
n'êtes pas nés pour penser puisque vous êtes des bêtes !
Il est inutile de poursuivre la démonstration. Malheureusement, elle ne
se limite pas à cette catégorie d'animaux. Bien sûr, une prise de
conscience se fait jour et c'est tant mieux.
Mais pour l'instant,
l'action est éparse et il convient de la renforcer considérablement en
dénonçant tous les excès. S'agissant de ces exactions, Olivier et ses
amis ne font pas dans la dentelle.
Ils n'utilisent pas davantage la
langue de bois. Habituels d'un franc-parler qui déserte nos sociétés
depuis des années, ils assènent avec un naturel qui peut surprendre des
vérités qui font mal, très mal.
Les messages qui suivent, reçus les 19
juin 2003 et 5 février 2004, se passent de tout commentaire
supplémentaire. Ils sont surtout destinés à nous faire réfléchir, pour
très vite réagir !
" S'il est vrai que parfois, le bien peut être confondu avec le mal, il
n'existe pas de confusion possible lorsqu'il s'agit de maltraiter un
animal.
Je m'explique : Lorsqu'un humain agit en conscience pour une
ouvre quelconque au profit de ses concitoyens ou d'autres personnes en
difficulté momentanée, il pense à juste titre ouvrer pour le bien
d'autrui, et il est vrai que c'est la réalité. Cependant, n'oubliez pas
que vous êtes venus sur Terre pour vivre des épreuves que vous-mêmes,
très souvent, vous êtes assignées.
En conséquence, celui qui enlèverait
l'obstacle placé devant vous, agirait pour lui comme pour vous dans le
sens du bien, mais il n'est malheureusement qu'apparent.
Ce qui veut
dire que l'épreuve que vous deviez vivre est remise à plus tard.
Pourtant, il n'est pas inutile d'aider puisque c'est le sens de la
mission qui est la nôtre.
Aider, bien sûr, mais aider utilement et pas
seulement pour le bien-être matériel et physique.
Il faut aider mais
accompagner cette aide en mettant en valeur le sens spirituel de la
démarche.
Tu ne pourras aider ton prochain que s'il comprend que ton aide est
seulement ponctuelle et limitée au sursaut nécessaire à sa vie.
C'est à
dire que l'aide qui n'en finit jamais n'est plus une aide ayant pour but
de remettre sur rails l'être en dérive, mais devient une assistance
permanente incompatible et contraire à toute évolution.
L'être qui se
trouve en difficulté doit s'aider lui-même, s'il désire obtenir une aide
de Dieu.
Je reviens maintenant au massacre que subissent des innocents que sont
les animaux.
Ils n'ont rien demandé d'autre, en venant sur Terre,
qu'être heureux et bien traités.
Même s'ils savent qu'ils servent
l'homme (cet ingrat qui n'a en général aucune reconnaissance pour eux,
et plus particulièrement pour les animaux qui le nourrissent) l'esprit
de l'animal sait ce qui l'attend.
Il n'est pas un objet ni une machine à produire ou à reproduire ; c'est ce que beaucoup d'hommes croient.
Mais ces gens ne sont (nous l'avons déjà dit mais il faut le répéter) que de simples esprits en tout début d'évolution.
Les animaux ont une âme, bien sûr.
Comment pourriez-vous imaginer un
seul instant que l'animal qui donne tant d'Amour à son prochain, puisse
en être dépourvu ?
Leur âme est pourtant très différente de celle de
l'humain.
Elle ne comporte pas en son sein de progrès personnel à
réaliser, ou d'accomplissement quelconque que l'animal porterait
consciemment.
Il n'en est rien.
Le jugement ne l'habite pas davantage,
l'âme en est dépourvue, et pour cause : Aucun animal n'est jugé dans
notre monde. Les animaux se prosternent tous devant Dieu dès qu'ils ont
franchi la porte de leur Paradis.
Le Paradis animal ressemble au Paradis
humain. Il est harmonieux en tous points et seul l'Amour règne en ce
lieu.
La condition animale est très différente de la condition humaine, même
si parfois elle s'en rapproche de façon étonnante.
Mais cela n'est
qu'apparence parce que l'animal est un être dépourvu de conscience au
sens humain du terme, même s'il sait parfois que son action n'est pas
toujours en harmonie avec l'attente de son maître.
Toutefois, c'est plus
la crainte de la correction plutôt que sa raison, qui le conduit à
adopter un comportement opposé à son instinct.
Je pense que vous aurez
tous compris.
Nos amis les animaux sont mus par cet
instinct, et par lui seul.
L'humain est pour eux un être reconnu mais
rarement pris en considération, sauf si celui-ci est débordant d'Amour.
Ils ne comprennent, sachons le reconnaître, que lui.
Il est vrai toutefois que le degré d'amour distribué sans compter de
leur part, est différent selon les races.
L'instinct animal vient
souvent contrarier ce sentiment exprimé par lui.
Ce qui veut dire que
l'animal peut être très affectueux et docile avec certaines personnes,
mais également indifférent, très agressif ou méchant avec d'autres. Cela
vaut également pour les animaux entre eux.
L'hypocrisie ne fait pas
partie de sa panoplie sentimentale, contrairement à l'humain qui ne sait
que tromper ou trahir en se voilant la face !
Certains se reconnaissent
et d'autres ne se reconnaissent pas.
C'est un peu le même mécanisme qui
est en jeu chez l'humain, à partir de l'instant où il a dépassé toute
notion matérialiste de la vie, et qu'il s'est installé dans le registre
le plus sincère des lois régissant les rapports entre les hommes. Il
s'agit pour l'humain d'un système de valeurs, d'une échelle qu'il gravit
progressivement au fur et à mesure de ses incarnations successives.
Nos animaux domestiques sont ceux qui donnent le plus
d'Amour.
Il suffit de les aimer pour qu'ils nous le rendent au centuple.
Parfois et même très souvent, ils aiment aussi ceux qui les
maltraitent.
Ils ont pour eux, de façon instinctive, une forme de pitié
parce qu'ils savent, même s'ils sont dépourvus d'intelligence au sens
humain du terme, que l'individu qui les frappe, les martyrise, les tue
sans égard, ou qui les fait volontairement souffrir pour sacrifier à des
rites ignobles, ridicules, et totalement dépassés, est un esprit faible
et primaire.
Nul esprit évolué ne peut faire de mal à l'animal, quel
qu'il soit.
Parce qu'il sait qu'en se rapprochant de Dieu, il se
rapproche aussi de toutes les créatures de l'univers qui sont bien sûr,
tel que François d'Assise le proclamait haut et fort : Ses frères, ses
sours ou ses parents !
Les animaux
savent pourquoi ils sont venus sur terre, et chacun joue son rôle. Ils
n'ont besoin de personne pour dicter leur conduite.
Ils ont tout
simplement besoin, eux aussi, d'exemple : Cet exemple dont leurs parents
ne sont pas dépourvus, et qu'ils leur enseignent selon leur propre
condition animale.
* Pourchassez-les ! Éliminez-les ! Martyrisez-les ! Continuez vos sévices !
Défoulez-vous sur eux !
En agissant ainsi, c'est sur Dieu, leur
Créateur, que vous agissez !
Alors, réfléchissez bien et posez-vous la
question de savoir lequel d'entre vous deux est le plus féroce des
prédateurs ?
Tout doit être fait pour éviter de faire souffrir les
animaux.
Ce mal n'est pas un mal nécessaire, mais bien un mal inutile.
Il ne fera grandir ni le bourreau, ni sa victime, et pour cause :
L'animal n'est pas sur terre pour progresser spirituellement.
En
conséquence, tous les individus qui se livrent à des actes barbares sur
les animaux quels qu'ils soient, auront un lourd tribut à payer.
Il
serait bien qu'ils s'en rendent compte dès maintenant et qu'ils cessent
leurs brutalités.
Mais l'argent.encore lui.toujours lui, les rend
sourds et aveugles.
Ils ne voient plus ce qu'est un animal.
Ils
n'imaginent plus que c'est un être sensible qu'il faut aimer et surtout
protéger pour la sauvegarde des espèces.
Ces êtres sont ignobles, et je
leur demande une seule chose : Qu'ils puissent une seule fois dans leur
vie se mettre à la place de ceux qu'ils font gratuitement souffrir !
Qu'ils organisent, par exemple, un convoi parcourant des milliers de
kilomètres. Qu'ils prennent place debout, serrés comme des sardines dans
la remorque, sans le droit de s'asseoir, ni de boire, ni de bouger pour
se délasser les jambes.
Je viens d'évoquer le sort que subissent des millions d'animaux partout
dans le monde.
Il n'est pas nécessaire de leur faire subir de telles
atrocités.
Oh! bien sûr, ils ne se plaignent jamais, ils souffrent en
silence.
Et c'est ce qui fait jouir, d'ailleurs, certains êtres malsains
heureux de se défouler sur eux.
Maintenant, je citerai un second exemple : Prenez un éleveur d'oies ou
de canards. Faites-lui subir pendant des semaines le même gavage que
celui qu'il se permet de faire à des bêtes innocentes qui n'ont rien
demandé, et surtout pas qu'on fasse grossir démesurément leur foie pour
le seul luxe de la cuisine raffinée.
Je n'irai pas au-delà dans
l'exemple, pourtant, ils sont nombreux.
Je
dirai simplement ceci : Tous les actes de violence gratuite à l'égard
de tous les animaux de la planète seront sévèrement jugés au moment des
aveux.
Poursuivez maintenant votre lecture avec ce message qui parle de vivisection et autres "réjouissances" du même ordre.
La vivisection animale, les tests et autres expériences
pratiqués sur les animaux, quelle que soit leur race, ne sont rien
d'autre que les mêmes atrocités commises sur les humains lors de la
dernière guerre mondiale, par les médecins de l'horreur.
Tous les
praticiens qui se livrent à de tels actes, ne sont pas différents dans
leur démarche à ceux que je viens d'évoquer.
Ils s'imaginent peut-être
que parce qu'il s'agit d'un animal, leur action n'est pas si grave.
Ils
se trompent et feraient bien de réfléchir à deux fois, à la finalité
objective de leurs expériences barbares.
Ils ouvrent, soi-disant,
au nom de la santé humaine.
Mais ils ouvrent réellement au nom des
puissances de l'argent, des puissances de la grande industrie
pharmaceutique, sans scrupule lorsqu'il s'agit de gagner de l'argent, y
compris au nom de la maltraitance animale.
Les esprits étroits de ces individus vont un jour connaître le même sort
que celui de leurs victimes.
Ils seront, sans aucune excuse acceptable,
dépecés à leur tour. Bien sûr, il n'y aura rien de physique dans cette
intervention, mais elle sera, qu'ils le sachent dès maintenant, beaucoup
plus douloureuse.
Le dépeçage dont il est question concernera chaque
cellule spirituelle de leur âme. Il leur faudra se justifier entre elles
pour le bien mais surtout le mal qu'elles auront fait subir à
l'innocence.
Par cette lutte intestine, l'esprit concerné souffrira
terriblement, et le seul moyen pour lui de racheter ses fautes sera
celui de revenir sur Terre afin de rendre par l'Amour aux animaux, la
dette de sa cruauté.
Les animaux, quels qu'ils soient, et en particulier ceux qui sont les
plus familiers de l'homme, ne sont pas venus sur Terre pour subir ces
sévices, y compris au nom de la santé humaine ou de sa "beauté". Rares
sont les humains qui se préoccupent du triste sort de ces bêtes
encagées, qui subissent quotidiennement la douleur physique et morale.
Les hommes qui pratiquent de telles monstruosités en seront un jour
redevables. Ils seraient bien inspirés de s'en rendre compte dès
maintenant.
Les animaux n'ont pas à subir la domination des hommes assoiffés de
pouvoir et d'orgueil.
Les animaux sont des êtres sensibles, ils doivent à
ce titre mériter le plus grand respect.
Laissez-les
vivre en paix.
Donnez-leur les meilleures conditions de vie, surtout à
ceux qui vous nourrissent. Élevez-les naturellement, sans les heurter et
en les aimant.
Ils vous le rendront des milliers de fois au
cours de leur vie, et ne seront jamais épuisés par l'Amour !
Ils ne
réfléchissent pas sur ce qui est bien ou mal : Ils aiment !!
La sauvagerie animale est une conséquence de la
sauvagerie humaine.
Tous les animaux sont des êtres sensibles qui ne
demandent qu'à aimer.
Il est tout de même assez paradoxal que les apprentis-sorciers - ceux
qui jouent avec la santé publique en ne respectant pas les lois de la
nature - soient les mêmes qui, plus tard, se torturent l'esprit pour
trouver l'antidote de leurs propres erreurs.
La vache est folle !! En
êtes-vous si sûrs, messieurs les éleveurs et autres vétérinaires
complaisants et souvent complices ?
Arrêtez de leur infliger les pires
sévices.
Ne croyez pas un seul instant que ces actes gratuits et
violents seront sans conséquence.
Il vous faudra un jour en rendre
compte.
Assassiner un animal après l'avoir fait volontairement souffrir, est un acte aussi grave que l'assassinat d'un humain.
Libérez-le d'une maladie incurable s'il n'est plus
possible de le soigner, parce que contrairement à l'humain, il ne
progressera pas spirituellement par la souffrance. Dans ce cas, il vous
est permis de le faire.
Mais ne martyrisez jamais ces êtres sensibles et
très intelligents, qui sont uniquement sur Terre pour vous aider dans
votre propre évolution.
Or, avec ce que nous voyons de la
souffrance animale, nous sommes obligés de crier avec force :
STOP !
Halte au massacre !
Halte à la violence gratuite et non fondée !
Halte
aux expériences inutiles !
Halte à la destruction des espèces animales !
Lorsque tous les animaux auront disparu de la surface du globe, les
hommes gémiront, se plaindront, et reconnaîtront enfin qu'ils se sont
mal conduits vis à vis de ces créatures sensibles.
Alors, ils pleureront
sur leur sort et admettront leurs erreurs.
Mais il sera trop tard,
leurs crimes seront définitivement achevés. »
extrait de : Olivier et ses amis de l'au-delà
Extrait de "Vers un Monde d'Amour" de Jean Pernin et Marie-Madeleine Jacob (Éd. Louise Courteau - 2006).
ÈRE NOUVELLE - Mars 2006