La pyramide russo-maçonnique du Kamtchatka

Si vous prenez une cathédrale orthodoxe russe, vous aurez vite fait de constater qu’elle recèle une structure pyramidale qui appartient à la fois à ce monde et à celui de l’au-delà. Une église conventionnelle de ce type arbore toujours sur son toit cinq bulbes dorés, le bulbe d’en-haut symbolisant Jésus Christ et les quatre autres les évangélistes – Saint Mathieu, Saint Luc, Saint Marc et Saint Jean.

Reliez maintenant dans votre esprit par les lignes les cinq sommets formées par les croix de ces bulbes. Vous retrouverez immédiatement un tétraèdre c’est-à-dire une figure géométrique composée de quatre triangles se touchant par leur sommet. Ainsi l’église russe reprend l’ancienne magie des temples égyptiens.
Les ecclésiastiques qui ont poussé leurs études assez loin, vous diront même que les sommets de la pyramide orthodoxe sont visibles parce que formés par les croix des bulbes dorés, mais les lignes appartiennent déjà à l’infini, marquant le point de passage vers Dieu.

Ce petit aperçu de sens mystique de l’architecture chrétienne orientale vous permettra de comprendre pourquoi il y a tant de pyramides dans les steppes slaves, s’étendant de la Serbie jusqu’au Kamchatka.
Oui oui ! Je ne me suis aucunement trompée : j’ai bien dit le Kamchatka. Nous avons déjà passé en revue les grandes pyramides de la Crimée, puis celle de la bourgade de Vissoko localisée en Serbie méridionale et plus haute que ses consœurs égyptiennes, soit 222 mètres.  
Et maintenant nous tournons résolument le dos à la vieille Europe pour traverser l’infini russe et baigner nos pieds dans le Pacifique, sur la péninsule du Kamtchatka. La colonne vertébrale de cette presqu’île est composée de la chaîne de montagnes ayant le nom de Sredinny, ce qui veut dire celui du milieu.
Alors, quelle ne fut la surprise des géologues américains à la découverte d’une pyramide aux proportions idéales apparaissant au beau milieu des montagnes. Ceci ne peut pas être un jeu de la nature, car les côtés sont parfaitement rectilignes et la forme respectée. Mais ce qui tétanise au point de rester bouche bée, c’est la taille de l’édifice, car nombreux sont ceux qui affirment avoir déjà les preuves de l’origine artificielle de cette montagne pyramidale.
Comme toujours sagement orientée selon la boussole, comme toujours avec le sommet pointant Sirius dans sa position sur la carte stellaire vieille de 10.000 ans, la structure stéréométrique semble se moquer de toutes les hypothèses que génèrent les cerveaux surchauffés des savants ahuris.
L’adresse exacte pour visiter est le village d’Ossora, presque sur la ligne côtière et l’honneur de la découverte appartient aux chercheurs américains de l’Institut AGI. La découverte fut rendue possible par la fonte des glaces éternelles après le réchauffement climatique dû à l’effet de serre.

Alors nombreux sont les têtes brûlées qui avancent que les Russes descendent des Atlantes qui façonnèrent le monde un peu à leur image posant des jalons… pyramidaux, pour leur cadastre antédiluvien.
C’est vrai que le russe fait partie des langues vivantes les plus proches du sanscrit, protolangue indo-européenne. Il est également crédible que les pyramides servaient à un objectif pratique et peut-être religieux à la fois. C’est qu’on parle de plus en plus des soi-disant ondes de forme qui influencent l’état d’esprit des êtres humains.
Si vous ne me croyez pas, allez contempler les HLM de Nanterre si vous habitez à côté et dites-moi l’effet que ça vous ferait d’habiter sur le quai du Louvre ou rue de Rivoli. Le paysage qui vous entoure influence fortement votre côté psychique et il se peut que cette influence soit encore plus profonde que nous le croyons. Il est également de notoriété publique que les Russes éprouvent un entichement tout à fait certain pour ces structures.
Les siècles passent : les cathédrales et les églises aux formes pyramidales que l’on a évoquées, côtoient les pyramides à proprement parler que les descendants de la civilisation aryenne construisent de nos jours.

Si vous roulez votre bosse au 38ième kilomètre de l’autoroute Nouvelle-Riga en partant de Moscou, vous tomberez sur une pyramide bâtie en matériaux « écologiquement purs » en 1993 par l’ingénieur Golod. Elle est juste à côté de la voie rapide et vous n’auriez aucun mal à la repérer. Les Russes sont nombreux à la visiter en famille. On m’a même raconté lorsque je me suis choisi un collier de cristaux au pied de cette colline triangulaire que tels des phares, les pyramides de Golod se dressent aux quatre coins de la grande plaine Est-orientale. Il s’agit peut-être des petites sœurs de la pyramide du Louvre aux origines mitterrando-maçonniques.

Le mystère est à portée de la main ; Chaque jour, nous passons, indifférents, à côté, ne voulant pas voir ce qui est parfaitement perceptible : les origines de notre continent plongent vraiment dans le temps des pharaons. Et il ne s’agit pas que de l’Egypte

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