Dieu créa l’homme ET la femme. Nom de dieu !

Dieu créa l'homme et fit la femme à partir d'une côte de l'homme.

Mensonge.

C'est à partir de ce moment précis que l'homme a du perdre son sens de l'humour car il est difficile de rire quand on a côtes en long...

Tant qu'il y aura des gens pour continuer de le penser, il me semble que la bêtise continuera d'avoir de l'avenir !

Selon les écritures sumériennes :
qui ont servi aux égyptiens pour les leurs ;
qui ont servi à leur tour aux hébreux pour les leurs ;
qui ont servi ensuite aux chrétiens des premiers jours (les romains) ;
qui ont été reprises après le concile des cinq sages ;
puis de nouveau falsifiées à partir du concile de Nicée ;
puis interprétées par le vati-cancan...

Selon les écritures cunéiformes (je mets un pluriel car il y a plusieurs types d'écritures cunéiformes relevant de plusieurs périodes), Dieu à créer l'homme ET la femme (à partir de l'argile).
Et ces textes remontent à bien des millénaires.

Tiens donc !
Avant nous ont savait écrire et on était intelligent ?
Comment est-ce possible ?
Comment ce fait-ce ?

C'est à partir des hébreux que ça a commencé à dérailler ferme.

Il est probable que le premier traducteur hébreu avait des problèmes avec la gente féminine et sans doute même avec l'autorité car les femmes ont disparu du devant de la scène et Dieu ne pouvait plus se vivre que dans la crainte.

Et avec ça, ayez confiance et aimez-moi !

D'autant que, toujours selon ces anciennes écritures sumériennes, la sexualité était prônée, pourvu qu'elle se vive dans la joie et pour la procréation.

Je ne peux pas accepter que la femme ne prenne que le second rôle puisque l'homme ne peut devenir homme qu'après être sorti du sexe de la femme. Et pour en sortir, encore faut il que la femme ait d'abord accepté de partager les jeux du sexe avec l'homme.
Tout un programme à respecter et qui, malheureusement ne l'est pas.

On nous prend pour des cons.

A ce propos, le mot "con" n'est devenu vulgaire que bien après le Moyen-Âge car autrefois, c'était un mot courant, pas du tout grossier et qui avait ses lettres de noblesse puisqu'il était le seul à désigner le sexe de la femme.

Je continue d'être persuadé que les curés et les nonnes, de quelque hiérarchie qu'ils soient, devraient commencer par se marier et procréer avant d'enseigner des domaines qu'ils ne risquent pas de connaître pour de simples raisons de manque d'expérience.
Je ne sais comment leurs faire rentrer cette compréhension dans... la tête (et quand je parle de tête, je m'élève).

Et enfin, je comprends très bien que la femme recherche la notion de parité après tant d'abus immondes venant des hommes. Cependant, elle devrait ne surtout pas oublier qu'en aucun cas elle ne pourra être l'égal de l'homme.
Elle est différente de l'homme et sûrement pas inférieure ou supérieure.
Elle est seulement différente.
Et la cerise sur la gâteau, c'est justement sa différence qui fait la complémentarité de l'homme sans laquelle l'homme n'est rien, au même tire que la femme sans l'homme n'est rien.

Pour le moment et ici bas, on a pas encore résolu le problème de la parthénogenèse chez l'humain, ce qui finirait de pérenniser les mariages homosexuels sans aucun coup médiatique politique (ne croyez pas que je suis contre l’union homosexuelle).

Ce type de mensonge honteux est du même ordre que celui de la confession.
Se confesser !

Il n'y a nul texte ancien qui en parle, pas même dans les évangiles du nouveau testament.

La confession a été inventée par l'Inquisition afin de, politiquement, pouvoir contrôler le peuple et savoir ce qui se disait jusque dans le secret de l'alcôve.

Et des âneries comme ça, on en a une belle collection.

Il n’y a qu’un seul mot qui soit à l’origine de tous les maux sur notre terre.
C'est le mot MENSONGE.

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Quel que soit ton rêve, commence-le. L'audace a du génie, du pouvoir et de la magie. Prends pour outils l'amour comme épée et l'humour en bouclier. Si tu crois en toi, alors l'Univers tout entier se pliera à ton désir.
Jean Luc Weil

Je suis absolument d'accord avec toi Jean Luc, et Chantara nous a fait de beaux résumés sur les textes Sumériens d'après les tablettes décryptées par Anton Parks.
On peut aussi penser à une mauvaise traduction, la femme étant sortie du côté d'Adam et non pas de sa côte. Car il est dit dans d'anciennes légendes que l'être humain était hermaphrodite et que les dieux décidèrent de les séparer en deux.

Ca me fait penser aussi aux textes qu'on avait écrit sur le célibat des prêtres:
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Je déplace ton sujet, merci beaucoup.

Encore une traduction faussée depuis le départ ! Dieu n'a pas tiré la femme d'une côte d'Adam, mais il a créé, l'Homme avec sa part féminine, son Adama. Encore aujourd'hui peu de gens savent qu'en l'homme de tous les jours il y a une part féminine ( bien peu l'écoutent d'ailleurs ) et que dans la femme il y a une part masculine. C'est pourquoi j'ai mis un H majuscule à Homme, car il était à la fois homme et femme.
toute la Bible n'est faite que de textes à interpréter et non à lire au premier degré, sans compter le nombre incalculable de mauvaises traductions !
Si on veut aller plus profond dans la compréhension, lire les livres d'Annick de Souzenelles c'est édifiant !

Merci Soléou.

Avec plaisir Jean-Luc

Selon Annick de Souzenelles, Dieu créa Adam, "mâle et femelle Il le créa". Ce n'est que lorsque Dieu vit que Adam ne voulait pas reconnaître sa part féminine intérieure qu'Il lui créa un double féminin.
On est bien loin de la traduction communément acquise.

Mince ! j'avais pas vu ce message .


Absolument d'accord également avec ton post.
Mais ne penses tu pas qu'a force de considérer que la parité de la femme est a cultiver, on finit par faire de la discrimination positive !
Comme tu le dit l'homme et la femme sont différents et complémentaires (pour notre plus grand plaisir) et c'est la magie de la nature et du grand équilibre.
le noir et le blanc,
le jour et la nuit
le bien et le mal
etc
on fait partie du grand Tout.

Ce n'est pas seulement la partie de la femme à cultiver, comme tu le soulignes, pour un homme, mais aussi la partie masculine pour une femme.

regarde la société aujourd'hui : combien d'hommes sont macho et fiers de l'être ?
combien d'hommes sont à l'inverse complètement efféminés ?
combien de femmes singent les hommes en faisant fi de leur féminité ?
combien de femmes sont complètement dépourvues de leur côté masculin ?

Je vois ainsi que "l'autre côté" d'un individu est complètement exclu, alors qu'un être qu'il soit homme ou femme, doit être entier les deux faces étant aussi importantes.
Ainsi homme et femme pourront enfin être égaux et sur cette base se compléter mutuellement dans l'harmonie retrouvée.

Oui Chantara, je pense qu'on tente de donner du paraître(la parité notamment) au lieu prendre les choses dans la profondeur.

En étudiant les droitières/droitiers, gauchères/gauchers, j'ai appris qu'il y a plusieurs degrés de féminité et de masculinité. Les cas de féminité à 100% et de masculinité à 100% ne sont pas légion. Ce sont les hyperféminines et les vrais machos. Deux positions difficiles à vivre.
La civilisation semble retourner à un état androgyne, probablement celui qui existait au départ, et qui était de nature adamique. Mais si tel était le cas, ce serait dramatique. Pourquoi ?

Parce que cet état devrait s'accompagner d'une démarche intérieure, d'un mariage intérieur entre notre féminin et notre masculin. Or ne sommes-nous pas là encore en train de nier l'autre partie de nous, comme l'a fait Adam au départ ?

Si le féminin avait conscience de sa puissance, et utilisait son intuition, le monde irait beaucoup mieux. Car l'intuition ne ment pas, elle est message de l'autre monde, lien entre le spirituel et la matière.

Dans de nombreux pays la femme a pris les initiatives pendant que l'homme joue aux cartes et boit un ... enfin... quelques coups au bar. bref, le passif est "devenu" masculin et l'actif féminin. En règle général, cela devrait être le contraire (je parle du féminin droitier surtout). Le féminin délivre le message de l'intuition et le masculin agit en fonction de ce message.

Or quand le masculin nie sa part féminine, il l'oppresse, la viole, la tue, et c'est ce que nous connaissons: le b...l !