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 Italie : Une lettre “écrite par Satan” au 17ème siècle vient d’être décodée

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chantara
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Italie : Une lettre “écrite par Satan” au 17ème siècle vient d’être décodée Empty
MessageSujet: Italie : Une lettre “écrite par Satan” au 17ème siècle vient d’être décodée   Italie : Une lettre “écrite par Satan” au 17ème siècle vient d’être décodée Icon_minitimeJeu 5 Oct 2017 - 13:37

Italie : Une lettre “écrite par Satan” au 17ème siècle vient d’être décodée

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Une lettre qui aurait été écrite par Satan au 17ème siècle selon Sœur Maria Crocifissa vient d’être déchiffrée après plus de 300 ans de recherche.

RÉVEIL AVEC LA MYSTÉRIEUSE LETTRE DANS LA MAIN

Soeeur Maria Crocifissa della Concezione, née Isabella Tomasi en 1645, est une sœur au Couvent des Bénédictines situé dans la commune de Palma di Montechiaro en Sicile. Selon la légende, le 11 août 1676, la religieuse s’évanouie. À son réveil, elle fait une découverte surprenante. En effet, elle découvre plusieurs lettres qu’elle ne se souvenait pas d’avoir écrite. Sur le papier se trouvait un code étrange et indéchiffrable, ce qui l’a pousse à croire qu’elle a été possédée par un démon. Dans un mélange incompréhensible d’anciennes écritures, Sœur Maria pense avec ses semblables du couvent que les lettres sont un plan de Lucifer pour la convaincre de se détourner de Dieu.

LES CHERCHEURS ET SPÉCIALISTES DU DÉCODAGE DANS L’IMPASSE
Seule une des lettres de la Sœur en 1676 a survécu. Son texte avait mis dans l’impasse les chercheurs et les spécialistes du décodage. Effectivement, depuis plus de 300 ans, des scientifiques, des universitaires et des spécialistes des sciences occultes ont tenté de percer le mystère de cet alphabet inconnu, sans aucun résultat. C’est 341 ans plus tard qu’une équipe de chercheurs du Centre Scientifique Luduum en Sicile a déchiffré la lettre. Pour cela, ces derniers ont utilisé un algorithme trouvé dans le Dark Web et ont pu traduire une quinzaine de lignes. À la radio italienne 105, le directeur du centre, Daniele Abate explique :

On peut trouver de tout sur le dark web, de la drogue, de la prostitution, de la pédophilie, et aussi des programmes utilisés par les services de renseignement pour déchiffrer les messages secrets, comme celui que nous avons utilisé
Les scientifiques ont conclu que les lettres étaient un méli-mélo de langues et avaient été écrites par la Sœur Maria elle-même ; elle était devenue une linguiste experte lors de son séjour au couvent. Daniele Abate ajoute :

Nous avons préparé le programme avec du grec ancien, de l’arabe, l’alphabet runique et le latin pour déchiffrer certaines des lettres et montrer que c’est vraiment diabolique.



Une lettre qui aurait été écrite par Satan au 17ème siècle selon Sœur Maria Crocifissa vient d’être déchiffrée après plus de 300 ans de recherche.


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RÉVEIL AVEC LA MYSTÉRIEUSE LETTRE DANS LA MAIN
Soeur Maria Crocifissa della Concezione, née Isabella Tomasi en 1645, est une sœur au Couvent des Bénédictines situé dans la commune de Palma di Montechiaro en Sicile. Selon la légende, le 11 août 1676, la religieuse s’évanouie. À son réveil, elle fait une découverte surprenante. En effet, elle découvre plusieurs lettres qu’elle ne se souvenait pas d’avoir écrite. Sur le papier se trouvait un code étrange et indéchiffrable, ce qui l’a pousse à croire qu’elle a été possédée par un démon. Dans un mélange incompréhensible d’anciennes écritures, Sœur Maria pense avec ses semblables du couvent que les lettres sont un plan de Lucifer pour la convaincre de se détourner de Dieu.

LES CHERCHEURS ET SPÉCIALISTES DU DÉCODAGE DANS L’IMPASSE
Seule une des lettres de la Sœur en 1676 a survécu. Son texte avait mis dans l’impasse les chercheurs et les spécialistes du décodage. Effectivement, depuis plus de 300 ans, des scientifiques, des universitaires et des spécialistes des sciences occultes ont tenté de percer le mystère de cet alphabet inconnu, sans aucun résultat. C’est 341 ans plus tard qu’une équipe de chercheurs du Centre Scientifique Luduum en Sicile a déchiffré la lettre. Pour cela, ces derniers ont utilisé un algorithme trouvé dans le Dark Web et ont pu traduire une quinzaine de lignes. À la radio italienne 105, le directeur du centre, Daniele Abate explique :

On peut trouver de tout sur le dark web, de la drogue, de la prostitution, de la pédophilie, et aussi des programmes utilisés par les services de renseignement pour déchiffrer les messages secrets, comme celui que nous avons utilisé
Les scientifiques ont conclu que les lettres étaient un méli-mélo de langues et avaient été écrites par la Sœur Maria elle-même ; elle était devenue une linguiste experte lors de son séjour au couvent. Daniele Abate ajoute :

Nous avons préparé le programme avec du grec ancien, de l’arabe, l’alphabet runique et le latin pour déchiffrer certaines des lettres et montrer que c’est vraiment diabolique


LA SŒUR ÉTAIT SCHIZOPHRÈNE SELON LES SPÉCIALISTES
Leur interprétation de “la lettre du diable” est la suivante. “Dieu pense qu’il peut libérer les mortels. Le système ne marche pour personne. Peut-être que maintenant, le Styx est certain”, aurait donc voulu nous dire Belzébuth. Le texte décrit aussi Dieu, Jésus et le Saint-Esprit comme des “poids morts” et encourage donc la nonne à abandonner la religion selon le site du Times. Les chercheurs ont aussi conclu avec cette lettre que Soeur Maria avait pu souffrir de schizophrénie.

Je crois que la religieuse avait une bonne maîtrise des langues, ce qui lui a permis d’inventer le code, et elle a pu souffrir d’une pathologie comme la schizophrénie, ce qui lui faisait imaginer des dialogues avec le Diable. Cela n’a pas empêché de nombreuses sectes sataniques intéressées de me contacter depuis que j’ai publié nos conclusions
a déclaré Abete au Times.

Ma théorie est qu’il s’agit d’un alphabet précis, inventé par la nonne avec beaucoup de soin, en mélangeant des symboles qu’elle connaissait. Chaque symbole est bien pensé et structuré, il y a des signes qui se répètent, et cela montre une initiative soit intentionnelle, soit inconsciente. La vie dans le monastère était sans doute très stressante.

Ajoute-t-il.

La lettre du diable, le travail et le décodage (comme nous l'avons fait parler le diable)
Nous nous sommes rapprochés de ce travail, avec le plus grand respect pour le chemin religieux et sûr que la science et la foi sont des choses bien séparées, découvrir une vérité scientifique à notre avis ne porte pas atteinte à la foi. Cela étant dit, nous avons abordé le défi de la manière la plus laïque possible en vérifiant soigneusement chaque passage technique.
Lorsque vous faites le travail de décryptage historique, vous ne pouvez pas faire abstraction d'une structuration du profil psychologique de schär. Nous avons examiné avec soin des recherches historiques les connaissances sémantiques de schär et de la raison pour laquelle il avait choisi l'écriture comme moyen d'expression de sa communication.
Souvent, la personne qui déclare avoir des visions mystiques, lorsqu'elle passe à l'écriture, fait un passage vers quelque chose de plus structuré, donc une opération tout à fait banale et évidente, en fait, il doit s'approprier le code vivificandolo, proiettandovi des parties de lui-même pour donner une existence Au code qu'aux parties de lui-même. Dans le cas d'Isabella Tomasi la lenteur de l'écriture est liée au geste de la main qui trace les marques sur la feuille, et la pensée de cette façon peut se, du moins en principe, selon des modalités moins automatiques, plus élaborées, moins chaotiques, plus structurées , qui est également favorisé par la géométrisation imposée par les signes linguistiques, alignés l'un à côté de l'autre et disposés sur la page en lignes parallèles. La permanence du signal peut avoir une retombée émotionnelle ambivalente, en effet, d'une part, le texte écrit, qui ne s'disparaît pas immédiatement après avoir été produit comme la voie orale, peut être vécu comme un miroir qui reflète des parties de soi que l'auteur préférerait ne pas voir , comme une réalité matérielle, concrète que l'on ne peut ignorer ; d'autre part, le texte, comme le produit de sa propre pensée, peut être retracé, observé, évalué, critiqué et restructuré par des interventions de diverses natures. Nous avons donc imaginé la création d'un vocabulaire nouveau en utilisant l'alphabet grec, le latin, le (des anciennes populations) et celui des yazidi, le peuple considéré adorateur du diable qui habita le sinjar irakien avant l'apparition de l'Islam. Des notions que sœur Maria Crucifiée de la conception pouvait posséder, tout comme nous avons supposé que le résultat était en vulgaire.

Le logiciel
Le réseau y compris le deep web met à disposition de bons logiciels de décryptage, mais selon notre théorie, il fallait un logiciel qui interpréter l'alphabet inventé de façon court par la nonne, nous avons donc programmé l'un des meilleurs logiciels disponibles en fonction de cela. Nous avons testé notre logiciel avec quelques decriptazioni standard stenografismi (Italiques, géométriques et mixtes) dans différentes langues. Nous avons analysé la répétition des syllabes et graphisme dans la lettre afin d'identifier les vocales ou les couples et nous avons développé et perfectionné l'algorithme de décryptage. En fait, nous n'avions pas de grandes attentes sur le résultat et nous pensions que nous au maximum quelques mots de sens. Mais, bien sûr, le chemin de l'esprit était bien structuré et le message était plus accompli que prévu. Le travail a prévu un engagement de trois personnes pour trois mois de travail (en fait non continue).

Le résultat complet est le suivant :
" il y a des symboles que je Hoimè, ristorami. Servir personne c'est système ballast sont les trois, un Dieu que j'entends libérer les mortels xi sont pour cela toujours."
Nous n'avons pas l'impression d'interpréter ce texte, mais pour nous, le défi était gagné, nous avions résolu l'énigme centenaire et nous étions satisfaits de celui-ci.
Publié le post sur notre page de façon ludique comme il est dans notre style, nous ne pensions pas à susciter cette attention internationale, mais vous savez le diable fait les casseroles et pas les couvercles.
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Italie : Une lettre “écrite par Satan” au 17ème siècle vient d’être décodée
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