Ceci est une vie qui m’a été communiquée par la médium NB.
"Vous vous prénommez Terence et vous êtes né sur une île de la Mer des Caraïbes à la fin du 19ème siècle. Vos parents d’origine anglaise sont très pieux et je vois votre père prêcher dans une chapelle. Vous avez quitté cette île baignée de soleil assez jeune et vous êtes arrivé en plein hiver dans une grande ville ensevelie sous la neige. Vous étiez intelligent, adorant étudier, et passionné de géopolitique. Même si la guerre vous semblait un mal nécessaire, vous réfléchissiez en permanence aux mécanismes de Paix et vous y avez consacré une bonne partie de votre Vie".
Désireux d’en savoir plus, j’ai demandé à NB de creuser un peu plus dans l’espoir d’identifier ce Terence. Et j’en ai appris des choses!
"Vous êtes né en Jamaïque.
Vous avez vécu au Canada, où vous êtes mort en 1966.
Vous avez été enseignant puis, Vous avez vécu et travaillé dans plusieurs pays du Monde.
Votre mot d’ordre était « avant tout la Paix ».
Je pense que vous étiez diplomate, ou quelque chose d’équivalent.
Vous aviez une voix douce, assez basse, mais vous saviez vous faire entendre et respecter.
Vous avez eu deux filles et un fils, Arthur, qui était très différent de vous, un artiste, fou de musique, de piano, depuis son plus jeune âge.
Vous viviez un peu sur deux planètes différentes vous et lui, votre fils aimait bien vous rappeler que vous étiez né en Jamaïque, berceau d’une musique tout sauf classique.
Vous aimiez beaucoup votre fils, même si la vie vous a rapidement séparé au niveau géographique.
Vous étiez marié à une femme appelée Lella.
Vous êtes mince et toujours très élégant, ne supportant pas le moindre signe de laisser aller.
Vous fumiez le cigare.
Vous êtes mort alors que vous étiez encore en activité, vous aviez repris une chaire d’enseignant au Canada.
Je pense que vous êtes mort de maladie (cancer ?).
Terence aimait les repas de famille, les grandes tablées, même si les bavardages de ses enfants et petits enfants lui faisaient mal à la tète, et qu’il leur préférait le silence de son bureau qui donnait sur un grand parc".
A partir de cette information bien plus complète, j’ai pu retrouver Terence sans trop de difficulté en cherchant un peu sur Wikipedia:
Terence William Leighton MacDermot (né le 13 septembre 1896 – décédé le 29 avril 1966) était un diplomate et universitaire canadien. Né à Ropley, en Jamaïque, Mac Dermot a grandi à Montréal, au Québec. Il a fréquenté l'Université McGill de 1913 à 1916 et a obtenu une Licence en 1917 tout en servant dans la 7e batterie de siège canadienne pendant la Première Guerre mondiale. Chercheur à Rhodes, il a obtenu en 1922 une Licence et une Maitrise du New College d’Oxford. De 1922 à 1923, il enseigne à l'école Hotchkiss dans le Connecticut. Il revient à Montréal en 1923 où il enseigne au Lower Canada College et au département d'histoire de McGill. En 1929, il est nommé professeur adjoint. De 1925 à 1930, il a été rédacteur en chef du McGill News. En 1934, il est nommé secrétaire national de la Société des Nations au Canada. En 1935, il est nommé directeur du Upper Canada College. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a servi pour le Département des services de guerre puis comme examinateur en chef de l'armée pour le district de Toronto. En 1944, il rejoint le ministère des Affaires Etrangères. Il a été Haut-commissaire du Canada en Afrique du Sud (1950-1954), Ambassadeur du Canada en Grèce et en Israël (1954-1957) et Haut-commissaire du Canada en Australie (1957-1961). Il a enseigné les sciences politiques à l'Université de Bishop de 1961 à 1966, c’est-à-dire jusqu’à sa mort.
Il y a des similitudes très troublantes entre Terence et moi dont je parlerai. Mais avant cela, deux mots sur son “fils” dans cette vie passée, Arthur (dont a parlé NB). Il est apparemment très connu des amateurs de “musicals”. Voici encore une fois ce qu’en dit Wikipedia:
Arthur Terence Galt MacDermot (18 décembre 1928 - 17 décembre 2018) était un compositeur, pianiste et écrivain canadien-américain de théâtre musical. Il a remporté un Grammy Award pour la chanson "African Waltz" en 1960. Ses comédies musicales les plus réussies étaient Hair (1967; son album de distribution a également remporté un Grammy) et Two Gentlemen of Verona (1971). MacDermot a également composé de la musique pour des bandes originales de films, des albums de jazz et de funk, et de la musique classique, et sa musique a été échantillonnée dans des chansons et des albums hip-hop à succès. Il est surtout connu pour son travail sur les cheveux, et en particulier trois des chansons de l'émission; "Aquarius", "Let the Sunshine In", et "Good Morning Starshine", qui étaient tous les trois des tubes numéro un en 1969.
Tout cela ne me parle pas aujourd’hui car je me sens à des années lumières de ce monde du grand spectacle. Pourtant, à lire sa bio et des articles qui lui sont consacrés, Arthur avait l’air sympa, loin des dérives “drug, sex and rock and roll” qui sont le lot de nombreuses célébrités ayant un peu perdu la boussole. Arthur était quelqu’un de passionné, amoureux de son art et qui avait donné du plaisir aux gens. C’est important dans la vie. Et je dois avouer que j’ai eu un petit pincement au coeur en voyant que mon “fils” est décédé il y a moins d’un an et demi (décembre 2018) et que nous avons coexisté sur un même plan terrestre pendant 50 ans (je suis né en 1968), sans nous être revus, ni même avoir su qui nous étions. Voila pour la séquence nostalgie.
Passons maintenant aux coincidences déroutantes entre Terence et moi, aux synchronicités et autres détails qui interrogent:
• Terence travaillait pour la Société des Nations (SDN) - Je travaille pour son successeur: l’Organisation des Nations Unies (ONU).
• Terence a été Haut-Commissaire du Canada dans plusieurs pays - J’ai beaucoup voyagé et je travaille depuis plus de dix ans pour une organisation dont le dirigeant est un Haut-Commissaire.
• Terence et moi avons un statut diplomatique.
• L’épouse de Terence se prénomait Lella - j’ai une cousine au Canada (Toronto) qui s’appelle Nela.
• Mon deuxième prénom est Arthur, tout comme le fils de Terence.
Ainsi va la vie...