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 [RR3] Rencontre des époux Mozin - 1954 (France)

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MessageSujet: [RR3] Rencontre des époux Mozin - 1954 (France)   [RR3] Rencontre des époux Mozin - 1954 (France) Icon_minitimeDim 6 Jan 2013 - 14:31

Le 16 octobre 1954, Maubeuge Nord

Le fait s'est déroulé aux environs de Maubeuge, sur la R.N. 2 (Paris-Bruxelles), entre Avesne et Louvroil (Maubeuge), carte Michelin n° 53, pli 6, et à fait l'objet d'une enquête des ufologues Bigorne et Mathieu.

Un samedi de novembre 1954, les époux Mozin avaient visité un malade chez des parents à Dourlers. Vers minuit, ils se trouvaient sur la route du retour en direction de Maubeuge. La route était déserte, le temps sec, plutôt à la gelée et il faisait clair. Ils roulaient à bonne allure, quand M. Mozin a dit à son épouse: "Tiens, regarde les lueurs là-bas! Qu'est-ce que c'est? On dirait un accident grave!" La lueur était en haut d'une petite côte à environ 800 mètres de leur voiture.

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En roulant à 120 km/h, ils ont rapidement franchi cette distance et sont arrivés au sommet de la petite côte et de là ils ont vu à 100 mètres sur le bord droit de la R.N. 2, un engin posé avec une porte ouverte, et à l'intérieur de l'engin un "bonhomme Michelin" paraissant se déplacer lentement sur le seuil de cette porte.

L'engin avait la forme d'une sorte de gros obus et reposait sur des pieds. Il avait un aspect blanc métallique, du genre tôle galvanisée, et sur les parois des lignes verticales visibles, distantes entre elles de 10 cm.

L'être était haut de 1 m. 20 environ, très gros, avec des boudins autour des bras et des jambes. Chaussé de grosses bottes, il portait un casque volumineux, presque aussi large que ses épaules, qui lui faisait une grosse tête.

La lumière aperçue provenait de la porte ouverte, et se diffusait sur la route. L'intérieur était d'un blanc intense non éblouissant. Les deux témoins y ont aperçu ce qu'ils ont supposer être des tuyaux, ou des gros câbles, qui descendaient dans l'engin, avec des sortes de poignées ou de commutateurs.

Les époux Mozin ont pu commencer leur observation une centaine de mètres avant d'arriver près de l'objet, où ils sont passés à proximité immédiate, c'est-à-dire à 4 ou 5 mètres.

Les phares de la voiture ont cessé de fonctionner dès qu'ils se sont trouvés à une centaine de mètres, au moment où les témoins ont aperçu l'objet. Le moteur ne s'est pas arrêté. Le conducteur a alors freiné, et c'est plus lentement qu'il a croisé l'engin: à 70 km/h environ. Cent mètres après, les phares se sont soudainement rallumés sans son intervention. M. Mozin a stoppé dans l'intention d'aller voir de plus près l'objet insolite, mais devant l'insistance de son épouse effrayée, il a poursuivi sa route vers Louvroil et regagna son domicile de Maubeuge.

Le lendemain, un dimanche, se rendant à Reims pour assister à un match de football avec son ami M. Houssières (décédé, [en date de parution]), il s'arrêta à l'endroit de l'atterrissage pour rechercher des traces, et prouver à son ami incrédule qu'il n'avait pas rêvé. Trois empreintes étaient visibles, et au centre du triangle qu'elles formaient se voyait un rond carbonisé de 15 à 20 cm. de diamètre dégageant une odeur indéfinissable, rappelant la benzine. Les trois traces étaient disposées sur un cercle de plus ou moins 1 m. 40 de diamètre, étaient en forme de demi-cercle, profondes de 8 à 10 cm. L'écartement des traces semblait plus petit que le diamètre de l'engin évalué à 2 mètres. L'engin était posé sur un espace étroit entre le fossé et la route.

Tous les amis de M. Mozin ont bien ri de ce qu'ils pensaient être une farce énorme, et la gendarmerie n'est pas intervenue.

Les témoins n'ont jamais oublié cette nuit-là, elle est restée gravée pour toujours dans leur mémoire. Mme Mozin a souffert d'insomnie pendant huit jours, et elle revoyait toujours "le bibendum Michelin" au pied de son lit. Chaque fois qu'elle croise une station-service affichant la réclame Michelin elle rappelle à son mari leur étrange rencontre.

Les auteurs précisent que le crédit à accorder à ce récit paraît total. Les époux Mozin sont connus dans le voisinage pour "leur gentillesse et leur bonne tenue morale et intellectuelle. Ce sont des gens simples pour qui une vache est une vache; et une S.V. une S.V. Ils jouissent d'une très bonne vue et n'ont jamais eu de maladie grave.

Seize ans après, jour pour jour, les témoins ont revécu leur aventure pour les enquêteurs, qui indiquent que leur récit a des accents de sincérité qui seraient bien difficiles à imiter. Ils redeviennent étonnés, curieux ou craintifs et, à l'opposé, de son mari, son épouse affirme qu'elle ne voudrait plus revoir cela, tellement elle en fut effrayée.



Jean-Marie Bigorne, un ufologue de terrain mènera l'enquête peu après les faits, et ira revoir les témoins 16 ans plus tard pour s'assurer de ce que leur récit n'ait pas changé. Il n'avait pas changé. Il a publié un rapport sur le cas dans la revue ufologique française "Lumière dans la Nuit." Son rapport donne les informations ci-dessous.

Entre Avesne et Louvroil, aux environs de Maubeuge sur la Route Nationale 2 qui joint Paris à Bruxelles, le 16 octobre 1954, vers minuit, M. et Mme Mozin revenaient en voiture d'une visite chez des parents à Dourlers. La route était vide, le temps était proche de la gelée et sec, le ciel était clair, ils roulent à 120 km/h.

M. Mozin attire l'attention de son épouse sur des lueurs dans la campagne, en haut d'une petite côte, à une distance qu'ils ont estimée à 800 mètres d'eux. M. Mozin indique à son épouse qu'il pense qu'il y a eu un accident.

La distance est rapidement franchie par la voiture et quand ils sont au sommet de la côte, ils découvrent à 100 mètres d'eux sur le côté droit de la route un engin posé au sol, qui a une forme cylindrique faisant dans les deux mètres de diamètre avec un cône de faible hauteur au sommet.

Les témoins en voiture ont pu voir cela quand leur voiture était encore à une centaine de mètres de l'objet, et à ce moment, les phares de la voiture se sont éteints spontanément tandis que le moteur à continué à fonctionner normalement. M. Mozin a toutefois freiné à ce moment et la vitesse de la voiture est ramenée à 70 km/h. En continuant à rouler, ils sont arrivés à quelques quatre ou cinq mètres de l'objet.

De cette distance, ils peuvent voir que l'objet repose sur des pieds. Les pieds semblent avoir une trentaine de centimètres de haut. Il a un aspect blanc comme de la tôle galvanisée et des lignes verticales espacées de 10 centimètres sur sa paroi.

L'engin a une large ouverture, et dans l'encadrure de cette ouverture, qui semble dépourvue de porte, une silhouette qui paraît se déplacer lentement et qui évoquera pour eux la silhouette bien connue du "bonhomme Michelin." Cet être leur semble haut de un mètre vingt, très gros, large de 0m90 à 1 mètre, avec des boudins autour des bras et des jambes, chaussé de grosses bottes et portant un casque volumineux presque aussi large que ses épaules. Son visage n'est pas apparent. Il semble se déplacer légèrement et très lentement, comme pour se préparer à sortir, en traînant ses pieds qui paraissent chaussée de lourdes bottes. Ses mains ne sont pas distinguées.

La luminosité de l'ouverture se diffuse jusque sur la route, l'intérieur de l'engin semble d'un blanc intense non éblouissant. Des sortes de conduits ou de gros câbles descendent dans l'engin en son intérieur et des sortes de poignées ou commutateurs sont vus.

Quand la voiture a dépassé l'objet d'une centaine de mètres, ses phares se rallument spontanément. M. Mozin arrête alors la voiture, décidé à aller voir l'objet de près à pied, mais son épouse apeurée l'en dissuade et ils reprennent la route et gagnent leur domicile à Maubeuge. Ils n'assistent donc pas au départ de l'engin.

Le lendemain, M. Mozin, tout en se rendant à Reims pour assister à un match de football avec son ami M. Houssière, s'arrête à l'endroit où il a vu l'objet la veille pour vérifier s'il y a des traces, espérant prouver à son ami qu'il n'a pas rêvé. Dans un espace étroit entre un fossé de un mètre de large et 50 centimètres de profondeur et la route, trois empreintes en demi cercle et profondes de 8 à 10 centimètres étaient visibles avec au centre du cercle imaginaire de environ un mètre quarante formé par ces trois empreintes, un rond carbonisé de 20 centimètres de diamètre dégageant une odeur que le témoin a rapproché de celle du benzène. La voiture a du nécessairement passer à entre trois et cinq mètres de l'objet.

La gendarmerie n'a pas effectué d'enquête et les amis de M. Mozin se sont moqués de lui, estimant que c'était une farce, mais les témoins n'ont jamais oublié l'incident. Mme Mozin a souffert d'insomnie pendant huit jours et imaginait le "bibendum" Michelin au pied de son lit la nuit.

J.M. Bigorne a revu les témoins 16 ans après les faits. Il note que les témoins avaient tout deux une bonne vue, ne souffraient d'aucune maladie et étaient favorablement connus dans leur voisinage pour leur gentillesse et bonne moralité. M. Mozin reste très maître de lui à propos de cet événement, tandis que Mme Mozin ne voudrait pour rien au monde revivre cette expérience.






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Dernière édition par chantara le Dim 6 Jan 2013 - 14:35, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: [RR3] Rencontre des époux Mozin - 1954 (France)   [RR3] Rencontre des époux Mozin - 1954 (France) Icon_minitimeDim 6 Jan 2013 - 14:32

Interview sur la Radio France inter

M. et Mme Mozin ont été interviewés par André Darcheville pour une émission de radio diffusée sur la radio nationale France Inter en 1974.
[Voix] - "Nous allons commencer l'approche des humanoïdes, grâce à des témoins retrouvés, qui ont bien voulu confier leur fantastique aventure an micro de France-lnter. Ainsi, M. et Mme Mozin qui racontent à l'un de nos reporters, André Darcheville, ce qu'ils ont vu en novembre 1954..."

[M. Mozin] - "Je revenais de Montournère. Arrivé à la "Belle Hôtesse", en haut de la côte, j'ai vu des lumières très vives sur le bord de la route. Pour moi, c'était un accident. J'étais à deux kilomètres environ de ces immenses lumières: j'ai donc accéléré. J'ai descendu la côte très vite, pour voir l'accident. A une centaine de mètres, soudain, mes phares s'éteignent! Je roulais à 120 km/h. C'est alors que j'ai vu le bonhomme."

[A. Darcheville] - Comment était-il?"

[M. Mozin] - "Il ressemblait au bibendum de la publicité Michelin. Un grand casque, de grands gants, des bottes, un homme moyen de taille. Sa silhouette se découpait dans une porte qui faisait à peu près un mètre quatre vingt de haut. Derrière le bonhomme j'ai vu comme des commandes, des sortes de tiges et des fils électriques. Il faut dire que tout était parfaitement éclairé, très blanc. On y voyait comme en plein jour. Je suis donc passé devant l'engin. Cinquante mètres plus loin, la lumière est revenue dans la voiture. Les phares ont à nouveau fonctionné normalement. Un peu plus loin, je me suis arrêté car je voulais faire demi-tour. A cette époque, j'avais un revolver à bord. Je me suis dit: "On verra bien." Ma femme a commencé à crier: "Non, je ne veux pas y aller!" Alors, j'ai continué. Le lendemain, je devais aller l'assister à une rencontre ne football, à Reims. J'étais président de l'U.S.M., ici à Maubeuge. Je devais m'y rendre avec un ami buraliste. Il est mort depuis, sinon il témoignerait. Avant de partir je lui dis: "Hier soir, j'ai vu une soucoupe!" Il me répond: "C'est pas vrai!" "Bon, puisque tu ne me crois pas, je vais te montrer en allant à Reims." On prend la route, et arrivé à l'endroit dans la cuvette, nous descendons. Je lui montre le sol. Effectivement, il y avait des traces. "Regarde: il y a trois pieds nus, un là et un autre là et au milieu c'est brûlé!" Mon ami n'en revenait pas. "C'est vrai, c'est moi qui ai perdu!" m'a-t-il répondu."

[A. Darcheville] - "Vous aviez fait un pari avec lui?"

[M. Mozin] - "J'avais parié une bouteille de champagne et un dîner. Et j'ai gagné."

[A. Darcheville] - "Revenons à cette fameuse nuit. L'engin que vous avez vu avait quelle forme?"

[M. Mozin] - "Cela avait la forme d'un cigare de trois mètres de diamètre. La porte dans laquelle se découpait le bonhomme faisait à peu près un mètre quatre-vingts de hauteur. Il restait un espace d'environ cinquante centimètres entre le sommet de la porte et la tête du bonhomme. Ce bonhomme, je l'ai vu marcher. Il allait sortir au moment où j'arrivais. Il marchait comme ça. Il éprouvait de la peine à se déplacer. Pour moi, les objets qu'il avait sur lui étaient très lourds."

[A. Darcheville] - "L'intérieur était fortement éclairé je crois, et vous l'avez bien vu?"

[M. Mozin] - "L'intérieur était éclairé avec une force exceptionnelle. Blanc, très blanc, comme les chaises là-bas."

[A. Darcheville] - "Pendant combien de temps l'avez-vous vu?"

[M. Mozin] - "Ça s'est passé très vite, environ cinquante secondes."

[A. Darcheville] - "Mme Mozin, quelle impression avez-vous retirée?"

[Mme Mozin] - "J'ai eu peur! Tout ce que je puis dire, c'est que j'ai eu peur! Au début, j'ai cru à un accident, un terrible accident tellement les lumières étaient fortes. Mais quand j'ai vu le bonhomme, j'ai eu peur! Je n'en ai pas dormi!"

[A. Darcheville] - "Et c'est vous qui avez vu le bonhomme avec le maximum de détails puisque vous étiez du côté droit de la voiture, c'est-à-dire de l'OVNI?"

[Mme Mozin] - "Oh! oui je l'ai bien vu. Je le vois encore en fermant les yeux!"

[A. Darcheville] - "Mais, au début de votre vision, lorsque vous vous êtes rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un accident, à quoi avez-vous pensé?"

[Mme Mozin] - "J'ai pensé à une soucoupe volante! On en parlait à l'époque. Un garde-barrière de la S.N.C.F. avait vu atterrir une soucoupe sur une voie de chemin de fer [Voir Quarouble 10 sept.]. J'ai donc pensé à une soucoupe."

[A. Darcheville] - Pourquoi n'avez-vous pas voulu que votre mari fasse demi-tour?"

[Mme Mozin] - "Oh! non, je n'ai pas voulu! Je ne savais pas ce qui allait se passer. Surtout que les lumières de la voiture s'étaient brusquement éteintes! Après, quand les lumières de la voiture sont revenues, j'ai dit: "Non, non! Pas question de faire demi-tour!"

[A. Darcheville] - M. Mozin, votre moteur s'est remis à tourner à quel moment?"

[M. Mozin] - "- Il ne s'est jamais arrêté de tourner!"

[Mme Mozin] - "- Non, seuls les phares se sont éteints."

[A. Darcheville] - Pendant combien de temps?"

[M. Mozin] - "C'est difficile à dire. Pendant soixante-dix à quatre-vingts mètres. J'avais une nouvelle Aronde. Elle roulait vite!"

[A. Darcheville] - Sans vos phares, l'éclairage était suffisant?"

[M. Mozin] - "Oh! Bien plus fort que si j'avais eu mes phares!"

[A. Darcheville] - Etiez-vous seuls sur la route? Pas d'autres voitures?"

[M. Mozin] - "Non. J'étais seul à ce moment-là. A minuit, il n'y avait pas beaucoup de voitures qui roulaient, surtout à cette époque, où il y avait beaucoup moins d'autos que maintenant. C'était il y a vingt ans! Mais on aurait aimé rencontrer un autre véhicule, croyez-moi!"

[A. Darcheville] - Que faisiez-vous, à l'époque, M. Mozin?"

[M. Mozin] - "J'étais boucher."

[A. Darcheville] - Que faisiez-vous si tard sur une route déserte?"

[M. Mozin] - J'étais allé rendre visite à une parente qui venait d'accoucher. Nous étions partis de Maubeuge après mon travail, vers 10 heures du soir. Nous sommes revenus vers 11 heures et demie, minuit. C'est au retour que nous avons vu la "chose"."

Source: Jean Marie Bigorne & Fernand Legarde
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