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| 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon | |
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Nom : Agent Dana Scully Messages : 20935 Date d'inscription : 09/05/2009 Age : 63 Localisation : entre ciel et terre
| Sujet: 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon Sam 6 Juil 2013 - 16:35 | |
| 8 décembre 1980 tous les médias du monde annoncent l’assassinat du célèbre ex-Beatles le chanteur John LENNON abattu froidement de 5 balles tirées à bout portant par un fan fanatique le dénommé Marc David CHAPMAN. Tous les éléments portent à penser qu’il s’agit là d’un acte d’un déséquilibré qui détestait John LENNON pour ses engagements pour la paix. Mais quelque chose cloche dans cette histoire car en y regardant de plus près les lieux du crime, l’entrée du fameux et sulfureux DAKOTA BUILDING avait servi de décor pour le mythique film de roman POLANSKY Rosemary BABY daté de 1969 et parlant d’une histoire de diable et en reprenant l’album des BEATLES « Revolver » daté de 1966. Beaucoup d’indices laissent entrevoir une autre et obscure réalité : John LENNON a-t-il payé ses audaces d’avoir provoqué ouvertement le monde par ses fracassantes déclarations de 1966 évoquant que les BEATLES étaient devenus plus célèbres que JESUS ? A-t-il payé son engagement pour la paix et la lumière ? Je vais donc enquêter sur le vécu de John LENNON depuis son adolescence dans les faubourgs de LIVERPOOL jusqu’à son dernier jour sur la terre le lundi 08 décembre 1980 à New York. Car pour reprendre une affirmation de LENNONN datée de 1960il avait assuré à ses collègues des BEATLES qu’il était sûr du succès car il avait vendu son âme au diable pour cela ! Source image [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]08 décembre 1980 une journée hivernale comme une autre à l’autre bout du monde. Dans la ville qui ne dort jamais New York, un petit bonhomme joufflu, Mark David CHAPMAN, vient de se réveiller dans son hôtel, sa mission : entrer dans l’histoire en assassinant l’un des artistes les plus admirés au monde l’ex-Beatles John LENNON. Mon enquête sur cet horrible crime a débuté par un examen attentif des raisons qui ont poussé Mark D CHAPMAN à commettre cet acte irréparable et à qui profite ce crime ? Me voilà donc de retour psychiquement dans le vécu de John Winston LENNON que je retrouve au courant des années 1960. La personne qui se présente à moi n’a rien à voir avec celle sûr d’elle qui, accompagnée de son épouse Yoko ONO, prêchera la bonne parole pour « sauver la paix ». Je ressens en lui une forte haine envers la société, une folle envie de s’affirmer loin de LIVERPOOL. Je suis John LENNON dans ses pérégrinations et là je constate un fait passé sous silence et pourtant très important dans le parcours et la destinée de notre futur Beatles. Il fait nuit quand John LENNON sortant d’un pub où il vient d’avoir une violente altercation avec un groupe de voyous qui se prenaient pour des futurs Elvis PRESLEY. Sans s’en rendre compte, ces tristes individus qui, eux, finiront dans un total anonymat viennent de déclencher le processus qui va rendre mondialement célèbre John LENNON et 3 autres garçon de LIVERPOOL. A peine John LENNON a mis le pied au dehors du club qu’il est accueilli par toute une bandede loubards qui viennent lui administrer une sévère correction. Les coups pleuvent, John se défend comme un tigre mais il ne peut vaincre cinq adversaires à la fois alors que la situation devient franchement dramatique, un étrange personnage fait son apparition et d’un seul geste disperse l’attroupement libérant ainsi John LENNON lui évitant très certainement une triste fin dans une ruelle misérable des faubourgs de LIVERPOOL. Mais qui est cet homme ce sauveur sorti de nul part ? Pour le savoir, j’observe la scène qui suit et qui me glace le sang ! John s’adresse à son sauveur le remerciant du coup de main. Celui-ci lui répond que cela n’est pas gratuit et qu’il y a un prix à payer ! L’étrange personnage propose à John un marché, il lui donnera célébrité et richesse pour 20 ans en contrepartie d’un service et voilà le pacte scellé John LENNON créera un groupe musical qu’il nominera THE BEATLES qui sera l’anagramme de SEAL THE BEST et qui devra par son rayonnement planétaire « diffusé » le message de la bête ! Incroyable ! Mais quel est le prix à payer pour John ? Je continue mes recherches en me déplaçant dans le futur en stoppant au courant de l’année 1966 car là débute le pacte souscrit entre LENNON et l’étrange individu par une déclaration totalement inappropriée du leader des Beatles en affirmant que les BEATLES sont plus populaires que JESUS ! Ce qui déclenche de violente contestation contre le groupe et John LENNON en particulier mais qui réjouit l’initiateur du pacte. Mais quelque chose subitement a changé dans l’esprit de John LENNON, je ressens en lui une envie de retrouver le bon chemin celui de la rédemption et de rompre le pacte, il décide depuis ce moment-là, en accord avec les autres Beatles, de renoncer au concert public et surtout de dédier le restant de sa vie dans un combat pour la paix mondiale. Et pour actualiser son nouveau projet, il décide de dissoudre le plus fameux groupe du monde mais cela est une erreur fatale car en dissolvant le groupe, il rompt le pacte passé des années précédentes et il devra en payer le prix ! A partir de ce moment-là, je perçois une « forte coalition » qui s’organise pour contrer les projets de paix de John LENNON. Car ce dernier a l’audace de porter ses plans de paix et de contrecarrer ceux de l’obscurité sur son propre terrain dans la ville qui abrite la « nouvelle Babylone » New York City ! Depuis ce moment-là, je visualise que le piège se referme sur John LENNON car sans en rendre compte, il vient de se placer dans « la gueule de la bête » en achetant un appartement dans le fameux DAKOTA BUILDING qui est « rempli » d’ondes maléfiques depuis le tournage en 1968 du fameux film d’épouvante de Roman POLANSKI THE ROSEMARY BABY qui aura des conséquences très funestes sur plusieurs vies dont celle de John LENNON. Me voici arrivé au bout du voyage : nous sommes le lundi 08 décembre 1980, il est 22h40 PM Je perçois Marck David CHAPMAN qui, caché sous l’arcade de l’entrée du DAKOTA BUILDING, attend son « moment ». Je sonde son esprit : je localise en lui une force inouïe, une haine décuplée contre John LENNON ; il est littéralement endoctriné ! Il est « hypnotiquement » préparé à commettre son crime. Dans son esprit, l’image de John LENNON est totalement déformée ! Ce n’est plus l’artiste de talent et engagé pour la paix qui se présente mais un être dépourvu de scrupule, mesquin et menteur qui apparait. Il tient dans sa poche droite un revolver chargé de 5 balles « explosives », il est encore temps de renoncer. CHAPMAN hésite mais il est comme « aimanté » par une énergie invisible qui rode sous l’arcade gothique et le pousse à commettre l’irréparable. Je perçois dans les alentours le portier de nuit du DAKOTA BUILDING José PERDOMO qui a perçu la présence « familière » de CHAPMAN, ce fan venu d’ HAWAI qui souhaitait tellement obtenir un autographe de John LENNON. Mais que fait- il encore ici à cette heure avancée de la nuit ? Il s’apprête à intervenir quand un « clochard » sorti de nulle part l’aborde, je reconnais en lui la présence maléfique de l’être qui a conclu le pacte plus de 20 ans dans le passé avec LENNON. Il « hypnotise le portier l’empêchant d’aborder CHAPMAN. Alors que je perçois au loin la limousine de John et Yoko LENNON qui arrive. Il est maintenant 22h49 PM, à l’intérieur de la limousine, John LENNON est inquiet, il ressent au fond de lui qu’il va arriver une tragédie : il a peur mais peut-on échapper à son destin ? Il souhaitais s’arrêter souper dans un restaurant mais Yoko a inexplicablement refuser. Voilà maintenant la limousine qui s’arrête devant l’entrée du DAKOTA BUILDING, le chauffeur se retourne vers ses passagers, à ce moment JOHN LENNON perçoit dans ces yeux cette étrange lumière qu’il a déjà aperçu tant d’années auparavant lors de sa funeste rencontre avec l’être énigmatique. Tout ce joue en une fraction de seconde, YOKO, sans attendre, descend de la limousine John ne peut que la suivre dans sa tête, une seule pensée : courir auprès de son fils SEAN le protéger contre toutes ses forces maléfiques. Il est 22h50 PM : Yoko a déjà franchi la distance qui la sépare de la loge du concierge. John LENNON avance a son tour, il passe devant la présence fantomatique de CHAPMAN le prenant pour un clochard qui recherche quelque sous. A cet instant, Mark David CHAPMANadresse avec une voix qui n’est pas la sienne : quelques mots “MR LENNON THE PACTENDEDMUSTPAY THE PRICE “ et immédiatement après se met en position de tir en utilisant son revolver Smith & Wesson : cinq coups de feu à bout portant mettent un terme à la vie d’un des plus fabuleux musiciens du XX siècle. Tout est terminé à jamais : de mon enquête ressorte trois faits capitaux : l’assassin de John LENNON a été « manipulé ». John LENNON représentait un « danger » pour les forces obscures depuis son retour de veste de 1966 et son engagement pour la paix. La rupture du pacte de 1960 a entrainé sa perte mais l’engagement étant de 20 ans souscrit en décembre 1960, il se terminait donc en décembre 1980 ! Mark David CHAPMAN était le « pantin » des forces obscures, il avait certes à la base une haine envers John LENNON mais celle-ci a été multipliée et manipulée par les même forces qui avaient créé le fantastique succès de John LENNON et des BEATLES. source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Dernière édition par chantara le Dim 7 Juil 2013 - 9:28, édité 1 fois | |
| | | Triskel Retraité
Messages : 9230 Date d'inscription : 23/02/2012 Localisation : Avalon
| Sujet: Re: 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon Sam 6 Juil 2013 - 19:10 | |
| Je crois comprendre où tu as pris cette histoire, bien que j'ai oublié le nom du soi-disant voyant en question. Ah oui, j'édite: Michel Genovese! | |
| | | chantara Founder & Team Manager
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| Sujet: Re: 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon Dim 7 Juil 2013 - 9:26 | |
| absolument ! cet homme est inépuisable et heureusement que tu me le dis, car j'ai oublié de mettre ma source. moi aussi j'édite. | |
| | | Quinqua Retraité
Messages : 5540 Date d'inscription : 23/03/2013 Age : 62 Localisation : Sud-est
| Sujet: Re: 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon Dim 7 Juil 2013 - 10:17 | |
| Et ce voyant est digne de confiance? :roll: | |
| | | Triskel Retraité
Messages : 9230 Date d'inscription : 23/02/2012 Localisation : Avalon
| Sujet: Re: 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon Dim 7 Juil 2013 - 10:19 | |
| Pas pour moi, désolée. | |
| | | Quinqua Retraité
Messages : 5540 Date d'inscription : 23/03/2013 Age : 62 Localisation : Sud-est
| Sujet: Re: 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon Dim 7 Juil 2013 - 10:22 | |
| Hé bien, je te fais confiance parce que ce récit m'a semblé être plus un roman qu'autre chose... | |
| | | chantara Founder & Team Manager
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| Sujet: Re: 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon Lun 8 Juil 2013 - 8:22 | |
| sincerement, je ne crois tres farfelu... il a l'art de raconter les choses avec beaucoup d'arrangement avec la réalité. | |
| | | chantara Founder & Team Manager
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| Sujet: Re: 1980, l'assassinat d'un heros John Lennon Lun 8 Juil 2013 - 8:24 | |
| source wikipédia L’assassinat de John Lennon, musicien britannique ayant acquis une réputation mondiale avec les Beatles puis à travers sa carrière solo et son engagement politique, s’est produit dans la soirée du lundi 8 décembre 1980, à l’entrée du Dakota Building de New York. Il a été perpétré par Mark David Chapman. Lennon revient d'une session d'enregistrement aux Record Plant Studios avec son épouse, Yoko Ono et se trouve à l'entrée de l'immeuble où il réside, lorsque Mark David Chapman vide sur lui le barillet de son revolver .38 Special. Le chanteur, âgé de 40 ans, est déclaré mort à son arrivée au St. Luke’s Roosevelt Hospital Center. Peu après l’annonce de la mort par les radios locales, des foules se massent devant l'hôpital et le Dakota Building. John Lennon est incinéré le 10 décembre 1980 au cimetière de Ferncliff à New York. Les cendres sont remises à son épouse, qui décide de ne pas célébrer de funérailles. La mort de Lennon a un fort impact dans le monde. De nombreux hommages lui sont témoignés, notamment par Paul McCartney, George Harrison et Ringo Starr, les autres Beatles. Des monuments lui sont également dédiés, tels que l’aéroport de Liverpool, sa ville natale. Deux films sont également consacrés à l’événement. Dernière journéeLe matin du 8 décembre 1980, la photographe Annie Leibovitz se rend à l’appartement de Lennon et Ono pour une séance de photos destinées au magazine Rolling Stone. Elle avait promis à Lennon qu’une photographie de lui et de son épouse seraient en couverture mais tente, dans un premier temps, d’obtenir une photo de Lennon seul. Leibovitz précise que « personne ne voulait d’elle [Ono] en couverture ». Lennon insiste pour que sa femme et lui soient en couverture et, après la séance, la photographe quitte l’appartement. Ensuite, Lennon donne ce qui se révèle être sa dernière entrevue, à un DJ de San Francisco, Dave Sholin. À 17 heures, Lennon et Ono partent enregistrer Walking on Thin Ice, une chanson d’Ono dans laquelle Lennon tient la guitare solo, aux Record Plant Studios4. Alors que Lennon et Ono marchent jusqu’à leur limousine, plusieurs personnes s’approchent pour leur demander un autographe, ce à quoi ils sont habitués. Parmi elles se trouve Mark David Chapman. Chapman, un agent de sécurité originaire d’Honolulu (Hawaï) et âgé de 25 ans, était venu une première fois à New York, en octobre, pour tuer Lennon, mais il avait changé d'avis et était rentré chez lui. Il tend silencieusement à Lennon un exemplaire de son album Double Fantasy, et le musicien le lui dédicace. Après l’avoir signé, Lennon lui demande poliment : « C’est tout ce que vous désirez ? », et Chapman répond d’un signe de tête affirmatif. La scène est immortalisée par un photographe fan de Lennon, Paul Goresh, qui prend une photo de la rencontre. Les Lennon passent plusieurs heures au studio Record Plant, avant de rentrer au Dakota Building vers 22 h 50. Lennon a décidé de ne pas diner en ville, pour être chez lui à temps afin de dire bonne nuit à son fils Sean, âgé de cinq ans, avant qu’il ne se couche. De plus, il aime satisfaire les fans qui l’attendent devant chez lui. De fait, ils quittent leur limousine garée sur la 72e rue, juste devant l'immeuble, alors que Lennon aurait pu la ranger dans la cour intérieure, plus sécurisée Agression Le portier du Dakota, Jose Perdomo, et un chauffeur de taxi ont vu Chapman attendre dans l’ombre de l’arche. Yoko Ono entre la première sous l'arche. Alors que John Lennon la suit, Chapman tire sur lui, à cinq reprises, avec un revolver 38 Special Charter Arms. Nombre de récits de radios, télévisions et journaux de l’époque ont rapporté qu’avant de tirer, Chapman a appelé « Mister Lennon » et s’est mis en « position de combat », mais cela n’a pas été confirmé par les audiences et les dépositions de témoins. Chapman a, pour sa part, déclaré ne pas se souvenir d’avoir appelé le nom de Lennon avant de lui tirer dessus. Un coup passe au dessus de la tête de Lennon et touche une fenêtre du Dakota, puis deux balles atteignent Lennon au côté gauche du dos et deux autres pénètrent dans son épaule gauche. Les quatre balles infligent de graves blessures, une au moins perforant l’aorte de Lennon. Lennon chancelle sur les marches qui mènent au poste de sécurité, déclare « Je me suis fait descendre » et s’effondre. Le concierge Jay Hastings couvre la victime avec son uniforme et lui enlève ses lunettes ; il alerte ensuite la police. À l'extérieur, le portier Perdomo fait tomber l'arme de la main de Chapman et la repousse du pied vers le trottoir11. Chapman retire ensuite son manteau et son chapeau en attendant l'arrivée de la police, afin de montrer qu'il n'a plus d'arme sur lui, et s'assoit sur le bord du trottoir. Perdomo lui crie : « Tu sais ce que tu as fait ? », ce à quoi Chapman répond calmement, « Oui, je viens de tuer John Lennon ». Les premiers policiers sur les lieux sont Steve Spiro et Peter Cullen, qui se trouvaient à l'intersection de la 72e avenue et de Broadway, quand on leur a signalé les coups de feu tirés au Dakota. À leur arrivée, ils trouvent Chapman assis « très calmement » sur le trottoir. Ils ont rapporté que le tueur avait laissé tomber son revolver sur le sol et tenait un livre de poche, L'Attrape-cœurs de J. D. Salinger. Chapman avait écrit un message sur la page de garde : « Pour Holden Caulfield. De Holden Caulfield. Voici mon témoignage. » Il a par la suite déclaré que sa vie faisait écho à celle de Holden Caulfield, personnage principal du livre, que les réponses se trouvaient dans ce livre et que son seul but était dorénavant de le faire connaître À l'hôpitalAprès la fusillade, Lennon a gravi les marches (au fond à droite) avant de s'écrouler dans le poste de sécurité. Une deuxième équipe, composée des officiers Bill Gamble et James Moran, arrive quelques minutes plus tard. Ils portent immédiatement John Lennon dans leur voiture de patrouille et se rendent à toute vitesse au Roosevelt Hospital. Selon Moran, ils ont placé Lennon sur la banquette arrière. Moran lui a demandé : « Savez-vous qui vous êtes ? » Les récits divergent sur la suite. Selon une version, Lennon a approuvé silencieusement et tenté de parler, mais n'a pu produire qu'un grognement, et il perd connaissance. Le docteur Stephan Lynn reçoit Lennon en salle d'urgences. À son arrivée, Lennon n'a plus de pouls et ne respire plus. Lynn et deux autres médecins s'affairent pendant 20 minutes, ouvrant sa poitrine et tentant d'opérer un massage cardiaque pour relancer la circulation sanguine, mais les dommages causés aux vaisseaux proches du cœur sont trop importants. Lennon est déclaré mort à 23 h 15 par le docteur Lynn, mais 23 h 7 est parfois mentionné comme une heure possible. La cause de sa mort est une hypovolémie, causée par la perte de plus de 80 % de son sang. Selon le docteur Elliott M. Gross, médecin légiste en chef, personne n'aurait pu survivre plus de quelques minutes avec de telles blessures par balles. Lennon a été touché par des munitions conçues pour se dilater lorsqu'elles touchent la peau et déchirer davantage de tissus en traversant la cible ; ainsi, les organes atteints ont été pratiquement détruits lors de l'impact. Ono, pleurant « Oh non, non, non, non... dîtes-moi que ce n'est pas vrai », est emmenée au Roosevelt Hospital, qu'elle quitte en état de choc après avoir appris la mort de son mari25. Le lendemain, elle fait une déclaration : « Il n'y aura pas de funérailles pour John. John aimait et a prié pour la race humaine. S'il vous plaît, faîtes en autant pour lui. Merci, Yoko et Sean | |
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