Des scientifiques britanniques ont créé plus de 155 embryons hybrides (homme-animal) en laboratoire. Les hybrides ont été produits secrètement au cours des 3 dernières années par des chercheurs pour, disent-ils, "regarder les traitements possibles pour un large éventail de maladies".
Cette révélation intervient quelques jours après que le journal britannique Daily Mail ait rapporté les propos atterrants d’un comité de scientifiques ayant récemment sonné l’alarme sur ces expériences menées en secret…
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]illustration sculpture de patricia piccinini
Maintenant, le Daily Mail explique que ces 155 embryons hybrides sont les résultats d’un croisement génétique inusité humain et animal, sans toutefois préciser de quel animal il s’agit!
La mise au point de ces créatures humanoïdes a débutée en secret dès 2008.
(Cette légalisation de la création d'une variété de véhicules hybrides, y compris un ovule animal fécondé par un spermatozoïde humain; « cybrides », dans lequel un noyau humain est implanté dans une cellule animale, et « chimères », dans laquelle les cellules humaines sont mélangées avec des embryons d’animaux…)
C'est expériences ont été produites par des scientifiques déraisonnables au Royaume Uni, avec l’approbation entière du gouvernement, sous l’égide de la Loi sur l’embryologie pour la fécondité humaine.
Trois laboratoires du Royaume-Uni ont obtenu la permission de jouer à Dieu avec ces embryons mi-humains mi-animaux.
Les chercheurs qui ont entrepris ces expériences discutables déclarent (comme souvent) que c’est pour développer des cellules souches servant à « traiter des maladies incurables ». Ils n’osent pas dirent les vraies raisons…
Une des raison, c’est que des compagnies pharmaceutiques veulent développer en secret des « humanoïdes de culture », des humanoïdes hybrides qu’on pourrait garder en cage comme des animaux et sur lesquels on pourrait récolter de précieuses cellules souches...
Des compagnies pharmaceutiques qui songent à offrir ces précieuses cellules souches à leurs riches patients pour environs 100 000 dollars par traitement.
Il semble que certains scientifiques repoussent les frontières de l’éthique au profit d’une « quête du profit ».