Des scientifiques du Centre d’Astrobiologie de Buckingham ont découvert un minuscule orbe qu’ils croient d’origine extraterrestre. Cela suit la découverte selon laquelle l’ADN est capable de s’insérer dans les créatures vivantes et que la reproduction existe dans les conditions difficiles de l’Espace.
Un minuscule « plasmide », un brin d’ADN circulaire utilisé en génie génétique, a été envoyé dans l’espace depuis la Suède en 2011 à l’extérieur d’une fusée TEXUS-49. Après avoir enduré une température de 1000° C, il a été découvert encore intact et avec ses propriétés biologiques lors de son retour sur Terre.
Le mystérieux orbe qui est à peu près de la taille d’un cheveu humain comporte une vie filamenteuse sur son enveloppe extérieure et a aussi un étrange tissu biologique qui coule de son noyau.
Le scientifique qui dirige l’équipe qui a découvert l’entité biologique affirme qu’il a pu être envoyé par une civilisation extraterrestre intelligente possiblement dans le but d’ensemencer la Terre avec une vie extraterrestre.
Le professeur Chandra Wickramasinghe, directeur du Centre d’Astrobiologie de Buckingham dit que c’est une est une nouvelle preuve de vie extraterrestre. Cependant la dernière constatation, par le professeur Milton Wainwright et son équipe de l’Université de Sheffield et le Centre d’Astrobiologie de l’Université de Buckingham, pourrait révéler un but beaucoup plus sinistre. Il pourrait avoir été délibérément conçu et envoyé sur Terre pour infecter la planète.
Le Professeur Wainwright dit que la structure est faite à partir des métaux titane et vanadium avec un suintement de liquide biologique « gluant » à partir de son centre. Il a dit qu’il y a plusieurs théories quant à l’endroit d’où il est venu, la première étant ce est un micro-organisme complet programmé pour propager la vie extraterrestre sur Terre.
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