Mes vies antérieures 1 "Pentaour" (okcoral)

bibliographie :
la veritable identité de Pentaouret le prince maudit.
par christian Leblanc egyptologue francais dans la revue d'Egyptologie.

http://poj.peeters-leuven.be/content.php?url=article&id=504255

parchemin de rollin acte d'accusation

Merci. Ce que tu me dis là est très gentil et me touche beaucoup.
Chevalier, oui, apparemment au mois d'octobre et sur demande du Grand-Maître à notre Commandeur, et en l'espace d'environ un an seulement, ce qui est loin d'être le cas pour tous. Tu peux m'en croire, j'ai été très surpris. J'avais été prévenu par là-haut que les choses allaient aller vite pour moi, j'étais loin de savoir à quel point...

J'ai donc commencé à bien préparer tout ceci. On m'a demandé certaines choses fort simples d'apparence mais qui ne le sont pas tant que ça lorsqu'on doit s'y mettre et... à chaque détail à préparer, si je te dis qu'énormément d'émotions sont remontées d'un coup, ont surgi du passé sans crier gare et m'ont mis en larmes tout aussi soudainement ?
Il m'a fallu choisir en pleine conscience mon nom de Chevalier, mais aussi un texte qui me décrive bien (soit en l'écrivant moi-même, soit un texte déjà écrit - j'ai choisi le poème "Si..." de Rudyard Kipling et qui accompagne ma vie depuis mes douze ans). Il m'a fallu aussi construire mon blason en respectant les règles de l'héraldique de ce temps-là. J'ai donc été obligé de me pencher sur la question et l'héraldique n'est pas simple, vraiment pas.
Aucun souvenir précis ne m'est revenu et, pourtant, les émotions à fleur de peau, souvent avec les larmes de paix, de me sentir en phase avec moi-même, de quelque chose de connu, de déjà vu...
Il me reste encore plusieurs étapes à franchir pour confirmer cette acceptation, de façon temporelle (ici et maintenant) et de façon spirituelle.
Et c'est vrai qu'avec tout ce que je fais déjà depuis longtemps, je me suis aperçu que la Chevalerie du Temple, autrefois, ne faisait pas différemment (hormis le côté guerrier que je ne fais pas et que le Temple ne fait plus non plus).

Vous allez continuer selon le même mode opératoire. Je crois que vous avez raison puisque il semble bien avéré que vous maîtriser cette façon de faire.
Et je veux bien en savoir plus lorsque vous en saurez plus vous-même, pour ma curiosité mais également pour le côté historique.

Aucun problème jean Luc ce n'est pas gentil mais mérité.


suite de l'expérience réalisée par moi le 23 aout vers 17h
Installée dans un canapé d'une chambre d'ami. les cartes du Jeu des vies antérieures sur les genoux
et la photo de la bague de Tiyi je commence a choisir les mots qui me parlent :
RICHE et PUISSANT
parfum
vin
desert
parents
bijoux et maquillage

Je vais appliquer les meme conditions qu'Okcoral utilisent (meme si pour moi mes capacités me montrent des flashs je ne suis pas sur que cela fonctionne)
D'ailleurs lorsqu'on part défaitiste, ca marche pas

Donc je me mets en etat de méditation. assise, détendue, dans le silence et la pénombre.
respiration, je fais circuler mes énergies.
je prends la photo de la bague de Tiyi que j'ai trouvé sur internet et imprimée
je la prends dans mes deux mains, yeux fermés.
je sens des fourmis à la racine de mes cheveux, je sens des frissons dans mon dos, sur mes épaules et tout autour de ma bouche .
derrière mes paupières tout est noire.
Puis un flash de 3/4 secondes
Tiyi debout dans une pièce en contrejour face à une fenetre, elle regarde face à elle et voit arriver une homme grand puissant en pagne blanc avec une grosse ceinture , torse nu et une coiffe bleue et or sur la tete , il marche fermement les pieds dans ses sandales. et viens vers "moi".
Je leve les yeux vers lui , il me prend les bras dans ses mains je pose les miennes sur son torse et il me parle (je n'entends rien, les images sont fous comme dans la brume, pas de sensation, pas d'odeur , par de bruit, une image courte et plate sans relief) ses lèvres bougent il sort de sa ceinture un objet, c'est une bague , il me la passe au majeur de ma main droite et sourit brièvement, puis il me lache...
c'est terminé.

le flash a duré a peine 4 sec , j'ai remarqué ses détails mais pas grand chose de plus. *
contrairement à mes reves qui sont en couleur et avec tous les sens de notre vie terrestre, mes flashs sont habituellement superposées a ma vie de tous les jours et je me fige le temps de voir et détaillé les deux images l'une sur l'autre sans son et sans émotion.


avec une autre carte, "parent" j'ai vu ceci :
pareil 3/4 secondes
dans une pièce claire baignée de lumière (mes appartements) sol et mur en pierre des voilages  blancs volent au vent par la fenetre deux couches en angle au centre de la pièce une table basse au milieu avec du vin et de la nourriture : fruits, gateaux, confiseries etc
je suis allangée sur le coté sur l'une des couches et pharaons est allongé sur l'autre , il est détendu et nous discutons en mangeant... je porte ma bague et je crois (au ressenti personnel) que je suis enceinte.
c'est terminé

Pas d'images claires et pas de film d'1 heure comme Okcoral. Juste une petit vidéo aux couleurs fondues de qq secondes. ou ilfaut faire vite pour mémoriser tout les indices.
pas de sensations , parfois une certitude me concernant .
comme lorsque que Ramses III m'a remis la bague nous etions plus jeune et je n'avais pas encore mes enfants...

Peu de choses et rien qui nous fait avancé, je ne sais pas qui est Ramses rien ne met venu.
a suivre

Lors de ma troisième séance, le 23 août aux alentours de 20h45, j’ai décidé de recommencer alors que j’avais dit que je n’allais plus le faire. Mais Chantara m’a montré ces recherches sur Tiyi, notamment la photo de sa bague et aussitôt mon rythme cardiaque s’est accéléré, mes mains se sont mises à tremblées comme à chaque fois qu’une certitude appartenant à Pentaour me parvient.
Lorsque je refoule ces sensations physiques je suis mal émotionnellement et physiquement jusqu’à ce que je cède puis libère l’énergie concentré dans mes mains et que je fasse une nouvelle régression.

Pour me mettre en condition et voir mes vies antérieures j’ai pour habitude de me reposer dans mon lit, mettre mon casque sur mes oreilles et écouter ça : https://www.youtube.com/watch?v=025L4HAPjFg
J’adore le son de la pluie et le hurlement des orages, quand certains en sont phobique, moi ça me détend.
J’avais avec moi la carte de l’ouïe avec le mot « Parent » et une photo de la bague de Tiyi mais aussi Chantara qui m’a tenu la main du début à la fin de la séance.

Comme lors de mes régressions précédentes, je vois avec les yeux de Pentaour comme si j’étais lui.
Il est en train de marcher dans un couloir, je précise qu’il ne s’agit pas du même couloir que celui que j’ai vu dans ma régression précédente. Je n’ai pas fait attention aux détails de ce couloir parce que son attention a été attiré par autre chose : une porte entrouverte.
C’est la porte des appartements de Tiyi qu’elle ne laisse jamais ouverte, qu’elle soit à l’intérieur ou pas.
C’est anormal alors il s’approche. Dans les appartements il y a sa mère et son père qui sont en train de parler à voix basse (dans une langue que je suis incapable de comprendre). J’ai la conviction que Pentaour devait surprendre cette conversation parce que Tiyi voulait qu’il entende ce que Ramsès avait à dire.
L’échange a duré environ deux minutes avant que Pentaour fasse demi-tour pour ne pas être surpris en train d’écouter aux portes par son père.
Quand les deux hommes se sont finalement croisés (dans le couloir), Ramsès lui est passé devant avec une souveraine indifférence et en regardant dans le fond des yeux du pharaon j’ai (okcoral) reconnu le regard de mon frère (=fleuryan).
Pentaour a regardé la silhouette de Ramsès s’éloigner et j’ai vu un hiéroglyphe auquel Pentaour a pensé à ce moment précis.


(Problème de scanner a l'envers)

Et c'était terminé.

J’ai griffonné approximativement le hiéroglyphe tout de suite après ma régression.
Chantara et moi-même allons essayer de traduire et comprendre ce qu’il signifie.

J’ai, en tant qu’okcoral, un sentiment de culpabilité vis-à-vis de fleuryan alors que je ne devrais pas. Aujourd’hui ma relation avec mon frère est très bonne, mais dans cette vie-là, il était mon père et son amour paternel était inexistant.
Il faut que je réfléchisse et que je digère cette information capitale.

lorsque la séance à commencé. Okcoral respirait tranquillement avec son casque sur la tete.
Détendue, je me concentrais sur Tiyi et sa bague, nous nous tenions par la main.
en à peine 5mn sa main dans la mienne s'est mise à chauffer et je sentais des tréssaillements dans son bras contre moi. on est resté immobile pendant presque 20mn sans bruit extérieur juste cette chaleur incroyable venant e sa main et des frissons qui lui parcourraient le corps, comme lorsque l'on reve
puis elle à parler :
une voix profonde calme et un ou deux octaves plus bas que d'habitude.
" Je n'arrive pas à le voir, il est toujours de dos"
de nouveau 10mn ce sont écoulés dans le silence et un ou deux profonds soupirs.
puis ... aspiration de surprise, un énorme sanglot et elle dit : "C'est Fleuryan" , les larmes coulent brièvement de ses yeux.
Une intense émotion me submerge , mes yeux se mouillent et je pense "évidement".
sa respiration est saccadée elle reste avec des frissons encore 2mn puis sans crier garde,
elle se redresse attrape un stylo sur sa tete de lit s'empare d'une feuille de papier et dessine.

un hieroglyphe

voila, elle est complétement retournée ses yeux sont tristes, ses joues sont encore humide
.. Maman j'ai tué mon frère... !

Analyse:
Ma fille et mon fils d'aujourd'hui font partie de mon groupe d'ame avec lesquelles je me réincarne.
Il y a 3.000 ans Okcoral etait mon fils et Fleuryan etait mon mari dans l'égypte ancienne
Troublant, interessant. L'amour pour mes enfants , comme beaucoup de mère j'ai le sentiment de pouvoir "tuer" pour eux ou d'"etre tuée", me confirme dans mes impressions premières. Mes enfants sont mes ames soeurs. A confirmer si je revis d'autres vies antérieures.

Fleuryan/ramses III maintenant c'est une évidence, pas pour sa violence ou son indifference, mais pour sa stratégie et ses capacités diplomatiques (un leader).

Citation :

Petit rappel :
la différence entre les ames soeurs et les flammes jumelles.
La première différence fondamentale existant entre les âmes sœurs et les flammes jumelles est la suivante. Contrairement aux âmes sœurs, les flammes jumelles ont été séparées dès le début, c’est ce que l’on appelle la « séparation originelle ».

Cette séparation originelle a laissé une empreinte karmique, une mémoire vibratoire très dense, la séparation a été vécue comme une réelle déchirure très douloureuse sur le plan émotionnel.

Avant de se retrouver, les flammes jumelles ont vécu des milliers de vies CHACUNE de leur côté. A aucun moment, durant leur séparation, elles ne se sont revues. Cette séparation est nécessaire à leur apprentissage et leur parcours initiatique.

Les âmes sœurs, quant à elles, se sont croisées dans plusieurs vies. C’est en fait tout l’inverse des flammes jumelles. Elles partagent beaucoup de vies communes, et font un bout de chemin ensemble de manière répétitive.

L’amour des âmes sœurs est très fort, passionnelle, voire romantique, mais cela s’arrête là. La force de leur amour peut permettre une connexion particulière, ce qui explique un certain sentiment de compréhension mutuel et télépathie.

Mais… cette forme d’amour reste similaire à un schéma d’amour conditionnel classique au niveau terrestre.

Les flammes jumelles, vivent un amour inconditionnel, hors norme, qui ne rentre dans aucun schéma d’amour classique.

Mais… l’accès à cet amour inconditionnel à un prix. Ne croyez surtout pas qu’il s’agit d’un parcours de santé de tout repos, loin de là. Une fois la fusion réussie, oui c’est que du bonheur. Mais le parcours pour y arriver est semé d’embûches, de beaucoup d’obstacles.

Je pense que comme tout ceux qui font des regressions il faut maintenant qu'on s'approprie ces vies qui etaient les notre en d'autres temps.
et qu on prenne la distance nécessaire pour assimiler nos anciennes vies.
Tiyi c'est moi, je suis Tiyi , mais qu'il faut se distancer de nos actes fait en d'autres temps et d'autres lieux , dans des circonstance radicalement différentes et à l'encontre de gens etaient et agissaient différement.

ce qui revient à dire aujourd'hui :
Mais on ne peut pas dire cela, car à aucun moment
les circonstances etaient autres, il ne peut pas y avoir comparaison ou amalgame !

pour plus de concret
l'homme inconnue de la momie E

et tres certainement pentaour apres maintes analyses
pentaour réalisé par un artiste d'apres description et ossature de la momie

sanctuaire ou est entreposé la momie deir el bahari




Tiyi seconde épouse de ramses III
image retirée car ce n'est pas la bonne...
(en recherche)




Ramses III

sarcophage de Ramses III exposé au Louvre

Je mets mon grain de sel car cette Tiyi n'est pas la bonne, celle-ci est la mère d'Akhénaton.
RIEN A VOIR.

Merci de ta précision triskel. Okcoral m'a dit que ses yeux c'etait ca, mais que ses cheveux etait plus lisse et plus mi long.
je vais rechercher pour ne pas laisser une erreur.
:queen:
Pour le moment pas de représentation de la seconde epouse de ramses III , mere de pentaour.
Okcoral me signal qu'elle a contacté :
christian Leblanc l'egyptologue francais du Caire
pour obtenir un texte qu'il a écrit et paru dans une revue d'egyptologie en 2010 et impossible a obtenir.
je vous tiendrai au courant
à suivre.

Je lis avec plaisir les avancées de ces recherches.
Clairement, pour l'écrivain que je suis, il y a là matière à écrire un livre, romancé sous la forme d'une intrigue. Vous avec, à vous deux, la possibilité de bien documenter l'ouvrage.
Et si vous l'écrivez, je vous ferai de la pub.

Mais quittons le siècle pour retourner dans le spirituel (le siècle est une expression du Moyen-Âge désignant la nature temporelle du monde, a contrario du spirituel).

L'évolution de vos recherches me semble de plus en plus fine et documentée.
Mais pour bien comprendre les tenants et les aboutissants de cette tragédie, il faudrait pouvoir comprendre les enjeux géopolitiques de cette époque et en ce lieu, en plus de comprendre les enjeux intrafamiliaux. Car c'est en ce sens que tu as tué.

Tu as tué ton frère pour exécuter un ordre reçu, lequel a été donné par ta mère. Le lien d'affection était donc suffisamment lourd pour que tu ne puisses pas échapper à l'exécution de cet ordre.
Certes, tu as tué et ce crime en est un fratricide. Si le crime se présente toujours comme quelque chose de très simple, la raison du crime est autrement plus complexe.

Pour ma part, je suis totalement convaincu que tu n'avais pas une claire conscience de la portée de cet acte au moment où tu l'as fait. Ta tradition culturelle familiale, mêlée à ta tradition culturelle de société et aussi sous l'influence d'une politique, quelle qu'elle soit, a semé très certainement beaucoup de confusion en un brouillard sûrement assez épais.
Après cette vie-là, tu en as eu d'autres et ces autres vies t'ont amenée à une compréhension nettement plus juste de la portée de ton acte d'autrefois.

Okcoral, ici et maintenant, qu'es tu prête à faire pour continuer d'avancer ?

Il faut bien faire la différence entre un échec et une erreur car, en finalité, si le mauvais résultat découle de chacun des deux, le cheminement est fondamentalement différent pour l'un comme pour l'autre.

L'erreur est ce qui t'a amenée à un mauvais résultat alors que tu n'avais pas toute la pleine compréhension pour aboutir sur la réussite. En bref, tu n'avais pas toutes les données du problème en main.
L'échec est ta volonté, et parfois ton entêtement, à continuer alors que tu en as toutes les données et la pleine compréhension. Malgré cela, tu t'es obstinée en forçant, persuadée que tu es de réussir à passer en force et, au final, tu te plantes. Là, c'est un échec.

Selon tout ce que j'ai pu lire plus haut et en fonction aussi de mon ressenti, il m'apparaît que tu as vraisemblablement été manipulée d'une certaine façon pour en arriver à une telle extrémité.
S'il est vrai que Pentaour avait un état d'esprit différent, et peut-être aussi mal tourné, en aucun cas tu n'aurais eu envie, de ton propre chef, de commettre cet acte irréparable. Pour que tu en arrives à le faire, il a fallu que quelqu'un d'autre te force la main en te persuadant que ton acte serait un acte salutaire.
Il semble que la force de persuasion a été ta mère de cette époque.
Mais ta mère de cette époque, elle aussi, était inféodée à toutes ses traditions culturelles, forcément très lourdes à porter car lorsqu'on est de lignée royale, j'imagine que la vie ne doit pas toujours couler de source.
Quant à Pentaour, s'il avait l'envie tenace de devenir pharaon, il avait peut-être aussi des plans tout aussi tenaces et sans aucun doute contraires à ceux qui étaient en place.

Si par le passé tu as eu une erreur catastrophique, c'est par le présent que tu adoucis ton futur. Et c'est très exactement ce que tu fais, d'autant qu'il t'est donnée la possibilité de comprendre ton passé. Cette compréhension n'est là que pour "couper" les liens d'attachements conscients et inconscients de ton passé. Ces liens coupés, le nocif reste derrière tandis que devant ne reste plus que l'Amour.

[J'ai update mon poste sur ma dernière régression parce que à la relecture il me paraissait manqué cruellement de détails]

Merci pour ces compliments sur l'écriture


J'en suis arrivé à la même conclusion que toi Jean-Luc en n'en parlant avec Chantara. Les actes du passé doivent être repositionnés dans le contexte géopolitique de l'époque. Ils doivent servir comme expérience à mon évolution dans mon présent mais ils ne doivent pas impacter le futur.

Qu'entends-tu par "refermer les portes" après une régression ?

Oui, il me semble évident que comprendre le passé éloigné requiert obligatoirement beaucoup de recul, de tolérance, de patience, de bienveillance, d'observation et de réflexion.

Je dis souvent que je peux très bien comprendre un criminel, y compris dans le dysfonctionnement qui l'a amené à tuer. J'accepte très bien son fonctionnement. Mais si j'accepte son fonctionnement, ça ne vaut absolument pas dire que j'accepte pour bonne chose ce qu'il a fait.
Je comprend qu'il l'a fait. Je comprends pourquoi il l'a fait. Je refuse de le cautionner.

Lors d'hypnose dans le but de faire une régression, il arrive qu'un hypnothérapeute ne fasse pas correctement ou complètement le travail et ramène le consultant à l'ici et maintenant sans pour autant s'être assuré que le passé est resté dans le passé. Ceci fait, le consultant rame, parfois terriblement, par la suite et ça peut durer très longtemps car, subconsciemment, il reste des charges émotionnelles partagées entre les deux époques. Je note, ces dernières années que ce nombre de cas tend à bien diminuer, en fonction de ceux qui viennent m'en parler.

Une régression sous hypnose, mais aussi comme tu la pratiques, doit être faite en comprenant bien que là où on va dans le passé, on ne peut y aller qu'en tant que spectateur et surtout pas acteur.
Apparemment, tu t'en sors très bien et c'est tant mieux. D'autres ne s'en sortent pas toujours aussi bien.

Je suis loin d'être capable de faire ce que tu fais mais il m'est arrivé de faire ça à une petite échelle. Lorsque je l'ai fait, je me suis mis dans une "bulle" pour effectuer mon voyage, en m'interdisant d'en sortir, sous aucun prétexte. De cette façon, je n'ai rien ramené d'inconfortable avec moi.

Interessant Jean Luc, cette bulle .
le visionnage des regeressions ce n'est pas du reves lucides. on ne peut pas agir dessus.
On a juste la possibilité de voir ce qui c'est passé il y a longtemps, si ca ne c'est pas passé on ne verra rien. Donc rien ne sert de s'attendre à voir quelque chose.

On peut guidér la regression vers un point precis, comme : un lieu ou une periode ou une personne, mais ensuite on ne voit que ce qu'il s'est passé en d'autres temps.

En ce qui concerne l'avancé des recherches.
3 pistes pour le moment.

la première : Le fond géopolitique de cette période entre -1180 et -1150 qui couvre environ tout le regne de ramses III

la deuxième : le hieroglyphe qu'a dessiné Okcoral

le troisième : le contact demandé avec Monsieur Christian Leblanc Archéologue Egyptologue Francais au Caire.

Tes remarques sur la bulle, oui, tu as raison.

recherches sur le fond géopolitique de la XXème dynastie egyptienne

La XXe dynastie pharaonique est une dynastie « thébaine » dans le sens où la transition avec la XIXe dynastie s'est jouée au cœur de la cité du dieu Amon.
Sethnakht, alors général des armées du pays, prend le pouvoir, évinçant les derniers prétendants au trône de la famille de Ramsès II dont les dernières années avaient particulièrement été troublées. Sans doute, l'anarchie menaçait l'équilibre des pouvoirs et déjà de véritables dynasties de courtisans avaient embolisé le fonctionnement de l'État. Les prêtres avaient acquis encore une fois un pouvoir considérable, gérant à leur profit d'immenses terres qui étaient rattachées aux grands domaines divins. Une caste militaire s'était formée avec l'intégration progressive dans cette société impériale, notamment, de mercenaires, comme les medjaÿ déjà enrôlés à la XVIIIe dynastie, mais également les shardanes depuis Ramsès II puis des Libyens à partir de Mérenptah.

Sethnakht et son fils, le futur Ramsès III appartenaient à cette société militaire et comme Séthi et Ramsès près d'un siècle avant eux, avaient alors repris le pays en main et mis en place une politique énergique pacifiant la Nubie et reprenant l'initiative au Proche-Orient.
Jusqu'à Ramsès IV, le pouvoir fut garanti par l'administration royale qui est renforcée et se déploie sur tout le territoire à travers de nombreuses fondations et les dons fait aux principaux temples des métropoles du pays.

L'activité architecturale est alors concentrée sur la Basse-Égypte, poursuivant l'œuvre de Ramsès et de son fils et successeur Mérenptah à Héliopolis, Memphis, Bubastis et Pi-Ramsès et Ramsès III fonde un nouveau palais à Tell el-Yahoudieh non loin d'Héliopolis.
Thèbes n'est pas pour autant abandonnée et le temple jubilaire de Ramsès III à Medinet Habou sur la rive ouest de l'ancienne capitale devient la fondation dynastique par excellence. Ce temple devait former une nouvelle ville avec le Ramesséum alors encore en activité et dont il s'inspire sur le plan architectural. La vallée des rois reste la nécropole royale et c'est à cette période que le village de Deir el-Médineh atteint sa plus grande extension avec le doublement des équipes et un art funéraire digne des meilleurs artisans de Thèbes.

Mais c'est aussi sous Ramsès III qu'eut lieu la première grève de la confrérie ouvrière de la Vallée des rois, premier indice de changements dans la société égyptienne qui vont s'accentuer aux règnes suivants.

Ramsès III arrête une nouvelle invasion terrestre et maritime venant des Balkans, d'Asie mineure et du Levant vers -1180 : c'est la migration égéenne. Ce sont les « Peuples de la mer » des documents égyptiens parmi lesquels on compte des Troyens (Thekker) et des Philistins (Peleset) qui finirent eux aussi par s'installer dans les grandes villes d'Égypte comme Memphis ou Pi-Ramsès. Ces peuplades vont balayer les anciens royaumes et cité-État qui s'étaient développés le long de la côte égéenne de la Turquie, en Syrie et au Liban portant en quelque sorte le coup de grâce à un ancien monde dont l'Égypte garda le souvenir. Ces bouleversements géopolitiques laissèrent la place à de nouvelles puissances qui se reconstituèrent plus tard à partir de l'Assyrie, de l'Elam et de la Médie, tandis qu'à l'occident une nouvelle thalassocratie voyait le jour depuis Mycènes et occupa peu à peu le terrain du commerce de la Méditerranée que les Crétois par leur disparition complète et les Phéniciens sous le coup d'invasions incessantes abandonnèrent à leur profit.

La victoire de Ramsès III est le point d'orgue de son règne et il cherchera à imiter en tout l'illustre Ramsès II, y compris dans le choix des noms de ses fils dont le nombre était aussi très honorable. Il voulut ainsi garantir la succession et consolider la dynastie, mais l'absence de choix d'une première grande épouse royale au profit d'une politique de harem eut raison de ses aspirations.
Ainsi dès le début de la XXe dynastie les éléments qui vont constituer le déclin de l'empire des Ramsès sont déjà en place. Les différentes classes qui se partagent le pays vont peu à peu le transformer réveillant les oppositions naturelles entre les Deux Terres depuis des millénaires et que seul Pharaon pouvait maintenir en équilibre.

Après Ramsès IV, la crise dynastique s'installe et les différentes branches de la famille royale se disputent l'héritage de Ramsès III, qui lui-même meurt à la suite d'un complot ourdi depuis le harem royal, à Thèbes même.

Tous les successeurs chercheront à imiter leur glorieux ancêtre en adoptant son nom de couronnement, mais aucun n'arrivera à freiner les modifications profondes qui s'opéraient alors.
La fin de la dynastie est marquée par les scandales des pillages de la nécropole thébaine, dont la vallée des rois et des reines sous Ramsès IX puis sous Ramsès XI. Sans doute l'éloignement de la cour royale qui s'était désormais installée en Basse-Égypte participa à l'insécurité grandissante de la région thébaine de plus en plus menacée par des incursions des nomades libyens. Le pouvoir royal, n'étant plus assuré et garanti, favorisa ainsi la montée du clergé thébain qui étendit alors son emprise sur toute la Haute-Égypte, annonçant la rupture inévitable qui conduira à l'effondrement de la dynastie et de l'empire.

La suite de la XXe dynastie voit le début de la IIIe période intermédiaire avec notamment l'ascension des grands prêtres d'Amon qui n'hésitent pas à se faire représenter sur les murs du temple d'égal à égal avec Pharaon, ou à inscrire leur nom dans un cartouche formant ainsi quasiment une titulature royale.

C'est la fin du Nouvel Empire, âge d'or de l'art égyptien. La littérature est toutefois peu originale et se contente de recopier les œuvres du Moyen Empire. À mentionner cependant : le livre des Morts. La langue parlée à cette époque est le néo-égyptien dans laquelle est composée une nouvelle littérature, notamment amoureuse.

ramses III a regné de -1184 à -1153       sa tombe se trouve  dans la Vallée des rois (pillée) : tombeau KV11 puis Deir el-Bahari, DB320., intacte aujourd'hui au musée du Caire.

Etude génétique

Selon une étude scientifique menée par Zahi Hawass et ses collègues et publiée en décembre 2012, Ramsès III et sa lignée patrilinéaire appartenaient à l'haplogroupe du chromosome Y E1b1a, que l'on trouve principalement en Afrique subsaharienne.

Invasions
L'Égypte fut souvent menacée au cours de la période du règne de Ramsès III par des forces extérieures.
En l'an V de son règne, dans l'ouest du delta, il vainc des tribus libyennes dont il intègre une partie des troupes dans son armée. Il les affronte et les vainc une nouvelle fois, six ans plus tard, en l'an XI de son règne. Les vaincus, marqués au fer rouge sont emmenés, avec femmes et enfants, et sont à l'origine des communautés libyennes installées dans le pays.
En l'an VIII, le pharaon arrête les vagues dévastatrices des peuples de la mer auxquelles se sont joints des Philistins. Leur flotte est anéantie dans une bataille navale relatée sur les murs de son temple funéraire de Médinet Habou. Les conflits vont durer pendant presque onze ans, souvent remportés par Ramsès III.

Les guerres

L'Égypte fut souvent menacée au cours de la période du règne de Ramsès III par des forces extérieures. D'une part, par les incursions répétées de tribus Libyennes, puis à l'Est par les Peuples de la mer, dont le Pharaon arrêtera par deux fois les vagues dévastatrices (Bataille de Djahy et Bataille du Delta). Leur flotte fut anéantie par des forces navales et terrestres à l’entrée d’un bras du Nil. Ce haut fait est relaté sur les murs de son temple de Médinet Habou. Les conflits vont durer pendant presque onze ans, souvent remportés par Ramsès III.

Selon plusieurs égyptologues, dont Nicolas Grimal, le souverain mena deux guerres à l'Ouest du Delta contre des troupes d'une coalition Libyenne : Les Libous et Méchouech (ou Meshwesh ou Mâchaouach), en l'an 5/6 et fin de l'an 11. Ces derniers, qui avaient été repoussés par Mérenptah (1213-1203), refirent des apparitions dans le Delta occidental. Ils furent vaincus par Ramsès III qui intégra une partie de leurs troupes à l'armée Égyptienne au cours de l'an 5/6. Le Pharaon lança donc une deuxième offensive, six ans plus tard. Elle fut montée pour les maintenir en Marmarique.

Elle se solda par l’écrasement total des ennemis. Ceux-ci furent emmenés en captivité, dont leur Roi, Kaper et son fils. Des communautés Libyennes se constituèrent alors dans le pays et progressivement "s'égyptianisèrent". Elles se regroupèrent en chefferies qui vont prendre au fil du temps de plus en plus d'importance et qui s'empareront plus tard du pouvoir lorsque l'Égypte sombrera de nouveau dans l'anarchie. Le coût élevé de ces batailles épuisa lentement la trésorerie de l'Égypte et contribua à la diminution progressive de l'Empire Égyptien en Asie.

Ramsès III laissa aux Philistins le littoral Palestinien, mais ils devinrent vassal. Il partit en campagne en Asie, en l'an 12 de son règne, pour protéger les possessions Syriennes et pour imposer l’autorité Égyptienne sur la région. Les Thekker (ou Tjeker ou Tjekker ou Tyekker) une tribus des Peuples de la mer, qui semble t-il ont gardé la ville de Dor en Phénicie jusque vers 1000 av.J.C. aurait attaqué l'Égypte et le Levant vers l'an 1175 (Bataille du Delta, selon les égyptologues 1178/1177 ou 1176).

Ils sont documentés comme une tribu vaincue par Ramsès III en l'an 5, 8 et surtout 12 de son règne. Bien qu'il ait affirmé avoir "anéanti" les Thekker, les documents suivants cette période les décrivent comme résidants dans certaines villes du Nord de Canaan, dont Dor. Soit le scribe exagéra dans le style habituel des inscriptions pharaoniques, ou alors il voulut signifier que le Pharaon avait fait campagne contre eux plusieurs fois.

Bien que les Égyptiens avaient une réputation de piètres marins ils se battirent avec acharnement. Ramsès III teint les rives du Nil avec des rangées d'archers qui couvraient de volées de flèches en continu les vaisseaux ennemis lorsque ceux-ci tentèrent d'accoster. Ensuite, la marine Égyptienne attaqua en utilisant des grappins pour se transporter dans les navires ennemis.

Le Papyrus Harris fait largement état de ces faits. Ces victoires de Ramsès III furent illustrées sur les murs du deuxième pylône dans la première cour de son temple funéraire à Médinet Habou. Le Pharaon conserva quelques bases en Canaan, il pacifia les Bédouins Édomites (ou Iduméens) et la Palestine. Le pays connaîtra, à l'issue de cette période guerrière, une nouvelle ère de prospérité.

La politique intérieure

Toutefois, l’incroyable puissance et la richesse du clergé d'Amon affaiblirent le pouvoir du Pharaon. Le puissant clergé contrôlait, les grands temples de Karnak et de Médinet Habou, les districts d'Héliopolis et Memphis qui étaient riches de terres, d'ouvriers agricoles et d'artisans, mais aussi de métaux précieux, de cuivre et percevait pour son compte les recettes fiscales. Selon le Papyrus Harris I du British Museum, qui comprend une liste détaillée des biens, le temple d'Amon à Karnak à lui seul possédait à la fin du règne de Ramsès III : 86 486 personnes, 433 jardins, 65 villes et villages, dont 9 en Palestine, 421 362 bovins etc...

Ramsès III voulut enrayer cette puissance et afin de consolider et équilibrer son État, le Pharaon favorisa d’autres clergés et remplaça tous ses Vizirs. Malheureusement ses actions seront sans effets puisque l'on sait qu'à la fin de la dynastie le domaine du Dieu Amon sera presque identique à la surface de la Haute-Égypte.

Nous avons connaissance de plusieurs hauts fonctionnaires qui officièrent sous son règne : Un Vizir au nom d'Hori, qui serait mort autour de 1176. Il était le fils du Grand-prêtre de Memphis Hori et un petit-fils de Ramsès II, par le Prince Khâemouaset. Il supervisa les travaux du temple funéraire du Pharaon et également des travaux de construction dans la nécropole Thébaine et l'exploitation des carrières au Gebel el-Ahmar et à Assouan. Il eut un mandat relativement long. Il fut remplacé dans cette fonction par Ta qui était de la haute administration Thébaine. Son origine n'est pas connue. Il aurait pris ses fonctions en l'an 12 de Ramsès III.

Il mena des inspections et supervisa le travail sur la tombe du Pharaon et fut responsable de l'approvisionnement des artisans. La durée du mandat de Ta ne peut pas être déterminé de façon fiable. Probablement, qu'il cessa ses fonctions avec la mort de Ramsès III, car il fut remplacé par Néferrenpet II dont nous n'avons la trace qu'à partir de la première année du règne de Ramsès IV. Le Vice-roi de Kouch était Hori III. Il gardera cette fonction jusque sous le règne de Ramsès V. Il fut le successeur de son père Hori II (fils de Kama), qui étaient en fonction depuis l'an 6 de Siptah (1194-1188). Sa famille fut originaire de Bubastis, où il fut d'ailleurs enterré. On a connaissance aussi d'un Maire de Thèbes du nom de Paser et de trois Grands-prêtres d'Amon dans la ville : Bakenkhons, Ousermaâtrenakht et Ramsèsnakht.

Première grève de l'histoire
La XXIXe année du règne Ramsès III est marquée par la première grève dont l'histoire ait gardé la trace. Les difficultés politiques et économiques de cette période aboutissent à des retards chroniques dans le ravitaillement du village des ouvriers de Deir el-Médineh. Les travailleurs ont arrêté le travail et sont allés se plaindre à divers temples mortuaires sur la rive ouest, ainsi qu'au vizir Ta, au Ramasseum.

Le papyrus de la grève, rédigé par le scribe Amennakht et conservé à Turin, fournit un compte rendu détaillé des événements sous Ramsès III, tandis que d'autres papyrus et ostraca offrent de plus amples informations sur les conflits ultérieurs.

Œuvre architecturale

Statues de Ramsés III représentant Osiris, temple de Karnak.
Ramsès III prend pour modèle l’œuvre architecturale monumentale de Ramsès II.
Il fait construire son Temple des millions d'années à Médinet Habou. Situé à proximité du Ramesséum, le temple funéraire est installé sur un site comportant déjà des temples et pylônes érigés durant la XVIIIe dynastie par Amenhotep Ier, Hatchepsout et Thoutmôsis III7. Le temple n'est complètement terminé qu'après le décès du souverain. Il servit à la fois de lieu de culte pour Amon-Rê et pour le pharaon. Là sont enterrés les membres de la cosmogonie hermopolitaine, selon la légende, et ils reçurent un culte jusqu'à l'arrivée des Romains.

À Karnak, il fait construire un temple consacré au dieu Khonsou et à la déesse Mout, ainsi qu'un temple-reposoir.

D'autres constructions ont été faites durant son règne : dans le temple de Louxor, mais aussi à Pi-Ramsès, Héliopolis, Memphis (Égypte), Athribis, Hermopolis, Assiout, Thinis, Abydos, ainsi qu'en Nubie et en Syrie, tel que le rapporte le Papyrus Harris qui est une chronique du règne de Ramsès III.

Voilà un document fourni, précis et intéressant. Merci.

Il y a quelque chose qui vient de résonner assez curieusement en lisant ceci...
Il est connu qu'il existait déjà à l'époque des armées de métiers ainsi que des services militaires obligatoires, mais...
Pourquoi résonne en moi le fait que je crois comprendre qu'à partir de Ramsès III il y a eu une sorte de armée militaro-religieuse ou religio-militaire ?
Peux-tu me le confirmer ou me l'infirmer ?
Et si c'est confirmé, alors je suis preneur de toute information à ce sujet.

je regarde ca et je t'en informe ici meme.

et bien quelle histoire ?
tu dois en passer du temps a faire de telles recherches.
tres interessant.
Merci de nous faire participer

Merci.

Aujourd'hui je ne pense quasiment plus à Pentaouer, je pense donc que j'ai fini le travail que j'avais à faire sur cette vie antérieure. J'ai enfin refermé les portes du temps.
Il y a un message , certes, je comprendrais peut etre plus tard.
Au revoir
Je rentre à l'université d'Orléans la semaine prochaine
je ne serai pas trop présente.
A bientot

A bientot Okcoral en tout cas merci de nous avoir fait partager ton expérience et je te souhaite toute le "normalité" possible qui te ferai tant plaisir et peut etre au prochaine vacances scolaires.
halloween ou noel.
bisou

Merci pour ce partage particulièrement intéressant.

Tout ceci est extrêmement intéressant. Mieux : captivant !

Avez-vous fait l'expérience prévue ?
Chantara Okcoral était-il ton fils ? Et toi étais tu donc Tiyi la seconde épouse de RAMSES III ?
Je pense que vous avez dû vous rencontrer Okcoral et toi ?
C'est vraiment fantastique !

oui et nous en faisons d'autres des expériences.
Pour preciser , nous nous incarnons en "groupe d'ames" et se groupe change de filiation selon les vies successives. un enfant, peu etre un mari dans une autre vie, ou un collègue de travail peut etre un père dans une autre vie encore. En tout cas lorsque le groupe d'ame se réincarne il reste ensemble.

Nous avons découvert avec okcoral et Fleuryan (du forum et mes enfants dans l'IRL) que nous sommes du meme groupe d'ames , nous nous reincarnons ensemble depuis deja plusieurs vies....
mais n'allons pas trop vite, bientot la suite des regressions d'Okcoral et des miennes par la meme occasion.

Oui, à bientôt pour la suite pour la régression de vos antérieures en restant toujours très prudents. ;

complement d'enquete :

Ce matin pendant que je faisais un câlin à mon chat sans poil (un sphynx donc), je me suis interrogée innocemment à propos de quelque chose, ces chats-là étaient-ils les chats des égyptiens ? Personne n'est sans savoir que les égyptiens admiraient et vénéraient les chats.

wikipédia a écrit:

Le chat était l'un des nombreux animaux dont les attributs furent vénérés dans l'Égypte antique. Il était notamment associé au symbole de protection.

Après une brève recherche, j'ai une réponse à ma question : les chats sans poil n'étaient pas les chats des égyptiens.

wikipédia a écrit:

On connaît trois espèces du genre Felis ayant vécu dans l'Égypte antique.

Le chat sauvage d'Afrique ou chat ganté est le chat le plus répandu. Espèce endémique, on le retrouve partout en dehors du Sahara et des forêts tropicales. Sa taille varie de cinquante à soixante-dix centimètres et son poids de trois à sept kilogrammes. D'une morphologie comparable aux Abyssins d'aujourd'hui, il possède un pelage foncé pour les groupes vivant en forêt, plus clair pour ceux vivant dans le désert. Animal de préférence nocturne, il chasse au crépuscule ou durant la nuit. La journée, il se protège de la chaleur dans des terriers ou dans des arbres.

Le chat des marécages ou chaus est un chat vivant dans les zones humides (on en trouve jusqu'en Asie). Plus grand qu'un chat sauvage, mais court sur pattes, il mesure de soixante à soixante-quinze centimètres pour un poids variant de dix à quinze kilogrammes. Il a un museau long et fin, des pinceaux noirs sur les oreilles et une queue annelée. Son pelage est d'un brun épais ou rougeâtre marqué de bandes noires sur les pattes antérieures.

Le chat serval ou serval est un chat originaire de Nubie (on le retrouve du sud du Sahara à l'Afrique australe). Préférant la nuit, il vit dans la savane. D'une taille moyenne d'environ soixante-dix centimètres et d'un poids variant de quatorze à dix-huit kilogrammes, il possède un corps élancé avec de longues pattes. Son pelage tacheté est d'un brun fauve et s'éclaircit sous son corps. Il a de grandes oreilles, une petite tête et de grands yeux.

Par contre, quelque chose m'interpelle.

wikipédia a écrit:

Si un chat venait à mourir, sa famille se rasait les sourcils en signe de deuil.

Et là, je fais tilt.

Quand j'étais gamine j'assimilais toujours la mort au geste (pourtant incohérent voire même bizarre puisque étranger à ma culture actuelle) qui est de "raser les sourcils" mais pourquoi raser les sourcils ? Me demandait toujours ma mère, quel est le rapport, insistait-t-elle ? Et je ne savais pas lui répondre, mais c'est déjà ce que je disais à mes 13 ou 14 ans soit il y a bientôt dix ans déjà.

Et ce matin en lisant ça j'ai pensé à Pentaour. Je ne sais pas s'il avait un chat et peu importe mais il connaissait forcément ce geste (plutôt rituel) en hommage au chat qui meurt, c'était en plein dans la XIX ème dynastie, soit quand j'étais lui.

Alors maintenant, Chantara, tu as les réponses à tes questions.

Heureux hasard ? Jolie coïncidence ? Peu importe, ça m'a fait sourire.

effectivement, ta petite phrase anodine a propos de quelqu un
- lorsqu'il sera mort , je lui raserai les sourcils....

Cela m'a toujours étonnée et moi non plus je ne connaissais pas cette jolie anecdote.
En tout cas, je trouve cela incroyable et j'ai envie de dire,
- il n'y a pas de hasard. Cette expression que tu as faite tienne, est une réminescence de ce lointain passé , d'un temps ou tu étais Pentaour.

Dit moi Okcoral , me permets tu de poster une jolie photo de ton olympe d'amour à la suite de ce dessin ?