8 BRINVILLIERS - Mes vies antérieures -empoisonneuse-
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Sujet: 8 BRINVILLIERS - Mes vies antérieures -empoisonneuse- Mar 6 Mar 2018 - 13:41
Pour cette huitième régression, je n'ai pas emprunté le tunnel et la lumière blanc avec la musique d'ambiance pour la méditation. En fait, en travail sur le forum pour notre membre : Simple Demoiselle, qui a eu une vie au 17ème siècle ou elle était la femme de chambre Marthe Décloseaux de la marquise de Brinvilliers, j'ai écumé les blogs et sites d'histoire sur l'affaire des poisons.
Je l'ai déjà dit, mais il y a plusieurs personnages et évenements historiques qui me fascinent.
léonard de Vinci, Napoléon et champollion, Cléopatre, louis XIV et l'affaire des poisons, jeanne d'Arc.
Alors mes voyages dans mes vies antérieures m'ont fait découvrir que j'etais un élève du Maitre Léonard de Vinci, mais en fait je ne suis pas au bout de mes surprises et vous non plus.
Or, en lisant le wikipédia de la marquise des choses m'interrogent. De continue à fouiller.
Citation :
Marie-Madeleine Anne Dreux d'Aubray, marquise de Brinvilliers, née le 2 juillet 1630, rendue célèbre par l'Affaire des poisons, fut jugée le 16 juillet 1676 et décapitée le lendemain pour crime de fratricide par empoisonnement.
Des années brillantes La marquise est l'aînée des cinq enfants d'Antoine Dreux d'Aubray (1600-1666), seigneur d'Offémont et lieutenant civil du Châtelet de Paris à l'époque de la Fronde (il apparaît à ce titre dans les Mémoires du cardinal de Retz), et de Marie Olier († 1666). Elle est par sa mère la nièce de Jean-Jacques Olier, membre éminent du parti des dévots, car fondateur de la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice.
Orpheline de mère morte en couches, elle est violée par un domestique à sept ans3. Sa réputation sulfureuse lui prête ensuite, sans la moindre preuve, des relations incestueuses avec un de ses frères dès l'âge de dix ans.
Richement dotée de deux cent mille livres, elle épouse le 20 décembre 1651 Antoine Gobelin, marquis de Brinvilliers, mestre de camp, qui a commandé le régiment d'Auvergne, et joueur. Des témoignages contemporains nous la présentent à l’époque comme un joli brin de femme avec un air d’innocence désarmant4. Issue de la noblesse de robe, elle reçoit une bonne éducation : Marie-Madeleine devient une femme assez instruite si l'on regarde son écriture d'après certaines sources d'époque. Elle fait peu de fautes d'orthographe et possède une bonne syntaxe. Elle deviendra mère de sept enfants, dont quatre illégitimes5. Les époux Brinvilliers vivent dans un hôtel particulier 10, rue Saint-Paul à Paris.
La marquise devient l'amie de Pennautier, trésorier des états de Languedoc, homme d'affaires, qui devient en 1669 receveur général du clergé.
Puis elle devient la maîtresse de Godin de Sainte-Croix, un officier de cavalerie passionné par l'alchimie, qui lui est présenté par son mari. Dépensant sans compter pour satisfaire ses goûts de luxe et ceux de son amant, se lançant dans des placements aventureux conseillés par Pennautier, elle vit alors des années brillantes sans cesser d'être au bord de la ruine. Antoine de Brinvilliers ne se soucie guère de la relation de sa femme avec Sainte-Croix, entretenant lui-même plusieurs maîtresses et dépensant sa fortune au jeu
Le secret des poisons découvert à la Bastille
Dreux d'Aubray, irrité par la conduite de sa fille, fait emprisonner en 1663 le séducteur à La Bastille par une lettre de cachet. Sainte-Croix y devient l'ami de son compagnon de cellule, l'empoisonneur italien Exili, qui avait déjà commis de nombreux empoisonnements. Le chevalier a déjà été formé à cet art en suivant les cours de Christophe Glaser au Jardin royal des plantes.
À sa sortie au bout de six semaines d'embastillement, il retrouve sa maîtresse et lui enseigne l'art qu’il vient d’apprendre. Devenue experte, et certainement sous l'influence de son amant, la marquise achète des fioles chez Glaser et, selon la légende, aurait exercé ses « talents » sur des malades de l'Hôtel-Dieu et sur sa femme de chambre, notant tout (doses, symptômes, longueur de l'agonie), constatant avec satisfaction que les médecins concluent toujours à des morts naturelles. Elle réussit à empoisonner successivement son père (le 10 septembre 1666), puis ses deux frères et sa sœur, à six mois d'intervalle, (en 1670) afin de faire disparaître les obstacles à sa liaison4 et de toucher seule l'héritage qui se révèle dérisoire. L'empoisonnement du premier frère en 1670 coïncide avec la mort d'Henriette d'Angleterre, qui ne fut pas empoisonnée, contrairement à ce qu'en pensa l'opinion (porphyrie aiguë intermittente probable10 ou péritonite biliaire).
Son mari, soupçonneux et craignant pour sa vie, préfère se retirer sur ses terres en 1670
La cassette au contenu accusateur
Afin de faire chanter la marquise et de continuer à lui soutirer de l'argent, Sainte-Croix enferme des preuves de la culpabilité (confession écrite de sa main dans son journal intime, les trente-quatre lettres d'amour de la marquise, deux obligations d'argent souscrites par elle après l'assassinat de son père et de ses deux frères, ainsi que des fioles de poison) de sa maîtresse dans une cassette « à n'ouvrir qu'en cas de mort antérieure à celle de la Marquise ». Et malheureusement pour elle, Godin de Sainte-Croix meurt accidentellement le 31 juillet 1672. Criblé de dettes, ses créanciers écrivent au procureur du roi pour réclamer leur dû, si bien qu'un inventaire de ses biens est ordonné. C'est à cette occasion que le coffret de cuir rouge est trouvé et ouvert le 8 août. La marquise est recherchée et s'enfuit successivement à Londres, d'où Colbert tente de la ramener de force en France, puis aux Provinces-Unies et dans un monastère de chanoinesses régulières de Saint-Augustin, le manoir de Melkhause près de Liège.
Le valet de Sainte-Croix, La Chaussée, qui avait aidé la marquise, est arrêté. Soumis à la question, il passe une confession complète.
Elle-même, condamnée par contumace en 1673, est retrouvée dans un couvent près de Liège et ramenée en France en 1676 par la ruse d'un exempt de police déguisé en prêtre, François Desgrez. Sa tentative de suicide échoue. Au cours de son long procès (29 avril - 16 juillet 1676), elle refuse tout aveu malgré la question. Elle est condamnée à une amende honorable, c'est-à-dire que son exécution est rendue publique. Conduite en place de Grève en robe de bure, elle est décapitée, les yeux bandés, à l'épée, par le bourreau de Paris André Guillaume, qui porte ensuite son corps jusqu'au bûcher. Puis le bourreau prend la tête encore bandée et la jette dans le brasier devant la foule qui se bouscule. Les valets du bourreau dispersent ses cendres dans la Seine ainsi que l'ensemble des fioles et poudres trouvées, tandis que ses biens sont confisqués4. Le mystère de la popularité d'une parricide
Les raisons avancées pour ces assassinats répétés, de sang-froid, furent variées, sans qu'aucune d'entre elles ne suffise : prise de l'héritage familial, volonté de s'émanciper de sa famille, énorme besoin d'argent pour son train de vie, ou tout simplement le goût du meurtre. Sa vindicte contre sa famille et son terrible passé furent évoqués : dès l'âge de sept ans, elle est violée par un de ses domestiques et vers l'âge de dix ans se « donne » à ses jeunes frères Antoine et François, comme elle le raconte dans une confession manuscrite.
L'usage du poison est commun à la plupart des meurtrières qui évitent l'acte physique. La marquise a utilisé des mélanges incluant de nombreux produits, dont l'arsenic, qu'elle sut habilement doser, selon le temps dont elle disposait. C'est le temps pris pour empoisonner son père qui épouvanta le plus. Mme de Sévigné écrira plus tard : « Assassiner est le plus sûr (...) ; c’est une bagatelle en comparaison d’être huit mois à tuer son père, et à recevoir toutes ses caresses et toutes ses douceurs, où elle ne répondoit qu’en doublant toujours la dose. »
En même temps, son courage sous la torture (gavée d'eau à l'aide d'un entonnoir) et son extraordinaire piété en prison émurent nombre de ses contemporains, qui virent en elle une « sainte ».
Après sa mort, une réputation de sainte
Son avocat, maître Nivelle, plaida le manque de preuves et l'absence d'aveu. Ce n'est qu'après son procès, dans l'attente de son exécution, qu'elle accepte de se confier à un confesseur, l'abbé Pirot. Edmond Pirot, théologien, fut désigné par le président de Lamoignon pour assister la Brinvilliers afin d'obtenir les renseignements que la justice n'avait pu obtenir. Elle fut impressionnée par l’homme de Dieu et osa cette question : « Mon Père, y a-t-il des crimes irrémissibles ? – Non, répondit-il, tant est grande la miséricorde de Dieu ». Sur cette parole elle se convertit et mourut sur l’échafaud dans la foi et la paix17. Pirot dira qu'il avait eu en face de lui une sainte et qu'il aurait souhaité avoir été à la place de la marquise.
Lors de l'exécution, le 17 juillet 1676, sa piété impressionne la foule pourtant son corps sera brûlé et ses cendres dispersées.
Son procès, sa condamnation et son exécution sont rapportés dans les Crimes Célèbres d'Alexandre Dumas et dans la correspondance de madame de Sévigné qui écrit : « Le lendemain on cherchoit ses os, parce que le peuple disoit qu’elle etoit sainte. »18,19. Une sainte dont on a dit qu'elle aurait voulu punir l'alliance franco-anglaise de 1670 en empoisonnant Madame Henriette d'Angleterre, tout comme on avait tenté en 1658 d'empêcher l'alliance de Mazarin avec une puissance hérétique. Actuellement, nombre d'auteurs, dont Agnès Walch, ont reconsidéré le procès de madame de Brinvilliers. Sans lui enlever la responsabilité de ses crimes, ils pensent d'une part que le chevalier de Sainte-Croix avait pris l'initiative des meurtres, et d'autre part, que la marquise ne put guère se défendre au cours de son procès. Si l'on reprend les témoignages de l'abbé Pirot, ses juges voulurent surtout connaître le nom de ses complices. En prenant en compte les intrigues politiques de l'époque, certains auraient par exemple souhaité voir le receveur du clergé Pennautier compromis. Mais jamais Marie-Madeleine de Brinvilliers ne l'accusa de complicité. Par ailleurs, certains témoignages abusifs de ses anciens domestiques ont contribué à renforcer une légende noire autour du personnage. Le poison utilisé plusieurs fois au même moment
Selon l'historien Michel Vergé-Franceschi, il est très probable que les poisons de la marquise aient servi à assassiner Madame Henriette d'Angleterre à son retour d'Angleterre, ce qui semble infirmé par la découverte récente d'une maladie sanguine rare (voir supra), treize jours après que la marquise assassine son frère, sans pouvoir prétendre à l'héritage familial car l'autre frère et sa sœur sont encore en vie.
La première tentative d'empoisonnement de Colbert daterait du 17 février 1669, veille de sa nomination et date du document liant Pennautier et la marquise. La seconde, opérée par le vénitien Giafferi, selon les correspondances de Madame de Sévigné, se traduit par des maux de ventre du ministre pendant plusieurs mois.
Lors de la lecture des oeuvres de la brinvilliers qui fabrique des poisons et les vends dans tout paris de louis XIV pour supprimer : maris, pères, frères, enfants, voisins... Mais ce n'est pas la seule à cette époque, en effet, la voisin, catherine Deshayes fait de meme dans les millieux les plus modestes.
L'affaire des poisons va retentir dans le Paris des lumières et mjoi je suis couverte de frissons et de fourmis dans la nuques et sur les bras. Je reprends les notes sur la marquise et je relis minutieusement. Incoryable ! je serais la marquise de Brinvilliers, mais alors Simple demoiselle est ma femme de chambre et ma soeur de lait . La, je m'interroge, qui est mon fils (Fleuryan) et ma fille (Okcoral) ? Une image s'impose et une certitude aussi. Jean baptiste godin de sainte Croix l'amant de la Brinvilliers , c'est Okcoral.
Une regression s'impose pour verifier ce que mon corps m'a revélé. Je vais regresser et je vous dis à bientot.
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Dernière édition par chantara le Ven 7 Sep 2018 - 13:24, édité 2 fois
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Sujet: Re: 8 BRINVILLIERS - Mes vies antérieures -empoisonneuse- Mar 6 Mar 2018 - 14:02
j'ai tiré les cartes suivantes en pensant à la marquise, donc à moi 5 mars 2018 Orléans
père époux/épouse santé amprisonnement persécution, inquisition
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Sujet: Re: 8 BRINVILLIERS - Mes vies antérieures -empoisonneuse- Mar 6 Mar 2018 - 20:20
l'affaire des poisons à pris une ampleur considérable, la Brinvilliers n'est pas seule en cause, on parle aussi de la Voisin qui distribue à leurs riches et célèbres clientes de quoi se libérer. La Montespan aurait empoisonné mademoiselle de fontanges. et tant d'autres... c'est la passe temps favori à la cour, d'empoisonner qui gène.
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Sujet: Re: 8 BRINVILLIERS - Mes vies antérieures -empoisonneuse- Mar 6 Mar 2018 - 20:34
6 mars 2018 Je mets mon son sur mes oreilles dans mon casque. La pluie retentit. Je me concentre sur le bruit qu'elle fait sur les carreaux et ....
Dans une pièce sombre, une table de bois avec des fioles en verre, des ballons, des verres à pieds, des tubes à essais, des alambics, ca chauffe, ca brule, ca mijote. Des vapeurs s'échappent. Je suis une femme avec une robe d'interieure a longue manche. Je porte des gants et un masque epais en tissu avec un filtre. J'ai les cheveux tirés en arrière. De l'autre coté de la table un homme , la quarantaine cheveu mi-long, en chemise à jabot ouverte, manche remonté sur les avant bras. IL fait des mélanges et expérimentes des potions. Je prépare une mixture que j'applique précosionneusement sur un livre de prière. cette commande est pour une aristocrate célèbre. Un nom me vient : Montespan. ....
plus rien. c'est déjà fini
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Sujet: Re: 8 BRINVILLIERS - Mes vies antérieures -empoisonneuse- Dim 1 Avr 2018 - 19:30
je viens de lire : Madame de Brinvilliers - Jeanine Huas la marquise empoisonneuse.
j'ai appris beaucoup sur mon personnage et je crois avoir retrouver mon fils à la lecture de la vie de Marie Madeleine. j'ai deux idées car j'ai l'intime conviction que mon fils dans l'IRL est l'un de mes frères dans cette vie. Ou l'ainé : Antoine d'aubray ou le second fils : Francois Dreux d'aubray ! c'est l'und es deux.... je le sais, je le sens. je verrai avec ma fille si en ce concentrant elle percoit un feeling. a suivre
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Sujet: Re: 8 BRINVILLIERS - Mes vies antérieures -empoisonneuse-
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