vie antérieur 1, esclave.

On me fait entrer, ou plutôt on me traîne vulgairement, dans une propriété immense. Deux hommes me jettent dans un bâtiment long ou s’entasse de la paille. Mélange de poulailler et d’abris en bois aimablement vidé pour me faire de la place. Les lourds battants de la porte se referment dans mon dos.

Je ne sais plus vraiment si l’attente est longue, sans doute ne l’est elle pas trop, quelque jour tout au plus. Patienter ne me pose pas trop de problème à ce stade. Lorsque la porte s’ouvre c’est sur une femme au regard de tueuse, belle, avec des yeux sauvages sans pitié. Le sourire qu’elle offre est une expression d’assurance et de folle passion, sur un champ de bataille il aurait fait reculer le plus large des hommes. La créature féline sait sa proie acculée et apprécie le spectacle. Elle est cruelle mais pas de cette cruauté sournoise dont l’homme aime à se parer.

Je ne peu pas dire que je me soit débattu, ni cette fois ni les suivantes, je me suis plié à ses désirs. Elle n’a pas été elle même plus brutale que nécessaire, du moins pas physiquement. Cela dura sans doute quelques années, ou je passais mon temps à attendre, à me détester d’espérer son retour. A la détester de me faire attendre par plaisir. Peu à peu nos relations intimes s’équilibrèrent néanmoins pour devenir moins violente et plus passionné. Peu à peu mon calme et mon respect pour ce que j’avais vu au fond d’elle la firent apprécier mes attentions, et s‘ouvrir à moi. Et peu à peu malgré la situation je retrouvais un semblant d’amour propre. Je commençais à revivre. Je me doutais pourtant qu’elle finirait par me détruire, volontairement ou non. Mais cela avait moins d’importance désormais.

Notre relation devenait sans doute gênante, elle était de haute famille et je n’étais rien. Alors on décida de me faire disparaître, et de me punir à hauteur du crime. Je fut tiré hors de ma « prison » et porté dans la salle de pierre sombre et humide d’un sous sol inconnu. Là je fut torturé, longtemps et avec soin. En se concentrant sur un point précis à la naissance de mon bras droit le bourreau me fit entrer en douceur dans la folie. Ce point matérialisait étrangement mon impuissance, et celle ci était sans conteste ma faiblesse. Je dérivais dans un monde couvert de créatures mortes, je me noyais sous le regard glacial d’un monstre qui me ressemblait trop. Un deuxième homme assistait au séance de torture, anonyme lui aussi et il me faisait peur plus encore que le bourreau. Mais je l’imaginais peu être...
Ma belle tueuse finit par me secourir, ne supportant plus mon supplice ou voulant me récupérer pour elle seule. Les deux sans doute. Toujours est il qu’elle mourut pour moi sans un regret. Et qu’une part de moi la suivit.

Mon bras était infecté à sa base, je me trouvais seul, libre, faible, et sans elle. Je ne sais pas comment je suis sortis de ce sous sol et comment on m’a sauvé, mais je me réveillais bien en vie dans un lit de drap blanc. Je le regrettais aussitôt. Pourtant la rencontre qui suivit me fit revivre, finalement, et pour de bon. La jeune femme qui s’occupait de mes soins ne se contenta pas de guérir mon corps, elle apaisa mon âme. Elle avais le regard de l’innocence et sa beauté timide me laissais sans voie, comme à mes yeux elle transcendait l’œuvre de la nature. Je n’avais plus qu’un bras et j’étais perdus. Mais elle m’accepta. Bientôt nous quittions ce lieu ou de nombreuse femmes en robe blanche comme elle vivait recluse.

Je fondais une famille, vivais simplement éloigné des problèmes, je travaillais patiemment de mon bras unique dans un petit atelier accolé à ma maison. J’élevais deux garçons. Tous les soirs je parlais longuement avec ma sauveuse et la mère de mes enfants. Et je lui racontais de nombreuse fois l’histoire de cette femme au regard de guerrière et de son esclave. Elle regrettais de ne pas avoir pu la connaître…
La seule douceur dans ses yeux me comblais malgré ma tristesse.

Cette vie a une fin mauvaise, dans une période sombre pour le pays des pillards s’adonnent au jeu les plus abjectes. Encore une fois je survis. Et celle que j’aime meure, inutile de préciser comment. Nos fils eux disparaissent dans une fuite effrénée. Ma vie n’a plus de sens, les garçons ont une vie d’expérience devant eux, et assez d’amour dans leur cœur pour les guider. Je ne suis plus utile. C’est étrange mais si le plus jeune à la douceur débordante de sa mère le second brille lui de cette colère qu’avais la belle aux yeux de tueuse. Et sous cette colère couve la même compassion intense qui m’avais fait l’aimer.

Avant de mourir je comprend une chose. Grâce à ses deux femmes perdu hors du temps. Je comprend ce qu’est une âme. Je comprend qu’un jour je pourrais les revoir. Alors j’ancre cette vérité au plus profond de moi pour qu’elle traverse la mort.



Je ne sais quel pourcentage de cette expérience est imagination. Je sais que les émotions ressentis étaient bien réel. Mais aurais je pus leur offrir une place dans ma mémoire qu‘elle n‘on pas...
J’aime croire que cette vie est vraiment revenus. Pour me faire comprendre qui je suis. Et que quelque part ses âmes existent bel et bien. Je n’ai aucune preuve si ce n’est les changements brutaux qui ce sont opéré en moi après l’expérience de ses régressions.
J’ai des doutes mais je veux y croire.

C'est magnifique !

C'est un très joli témoignage que j'ai beaucoup aimé lire en tout cas, je pense qu'il peut être difficile de retrouver des indices de cette vie pour t'aiguiller, quelle époque, quel pays, Chantara va certainement te poser quelques questions là-dessus.

En tout cas, merci de ce partage.

Merci à toi d'y croire, cela m'importe beaucoup.

Oui ça va être difficile, d'autant que je n'ai pas cherché de nom ou ce genre de chose...

Très belle histoire . Très bien racontée.
Effectivement. Peut être as tu des détails vestimentaires sur tes compagnes ou sur toi.

Les paysages ? Vert. Aride. Savane. Urbain.
Donnerai un indice sur le pays.

Cette vie t es revenue en rêve. En méditation. Ou spontanément ?

Merci pour se partage Astyann
A bientot

Elle m'est venu avec les autres lorsque je travaillais sur mes peurs, donc en méditation je suppose, seulement comme je me concentrais sur les peurs pour avancer dans cette vie je me suis focalisé sur un ressentis globale. Pour ne pas me perdre...

La part émotionnel et très forte mais le reste est plus que floue.

Je vais voir de quoi je peu me souvenir, et si je peux me concentrer sur des détails. Merci.

Bien sûr que je te crois et j'ai hâte que des détails te reviennent pour pouvoir mettre le doigt dessus, nous allons t'aider !

Merci encore!

Bon j’ai quelques détails qui sont peu être pertinent...

L’époque ressemble au moyen age, les villes sont relativement petites.
La famille qui m’a acheté est dominante, et les hommes héritent du pouvoir de leur père. La femme au regard de tueuse qui décide de s’emparer de l’achat de la famille ( moi ) dénote dans ce décor. Elle ne porte pas de robe mais des pantalons ce qui doit être mal vue, elle monte aussi à cheval. Ses tenues sont pratique, mais sans doute sur mesure et choisit avec soin. Elle reste une exception.

Le lieu ou je suis prisonnier doit être un château mais je n’ai sûrement jamais vu ce dernier.
Je suis probablement torturé dans les sous sol de celui ci, et parvient à fuir grâce aux indications de ma compagne, par un tunnel qui quitte la propriété. Elle est morte lorsque je part. Je retrouve l’air libre dans une foret et y perd donc connaissance. Mais ce n’est à peine plus que supposition car ce passage est floue.

Pour le refuge ou me soigne la seconde femme, je ne suis pas encor très avancé. Dommage car il est intéressent sans doute. Je crois qu’il n’y a que des femmes, ou très peu d’homme, et que le calme règne en souverain. Il me semble voir une battisse en pierre de relativement grande taille ainsi qu’un parc. Des religieuse peu être mais plutôt d’une divinité païenne, ou des femme pratiquant une forme de spiritisme. Elle s’habille très simplement, de blanc ou de ton clair. Au milieu d’une ville? ou d’une foret? Et qui a construit ce bâtiment? Ont elle un protecteur? Cela me paraît étrange et j’ai sans doute ici au moins fait des erreurs.

Le paysage est vallonné sans plus, et il y a beaucoup de foret.

Pour finir avant d’être esclave j’étais probablement un enfant de gens du voyage ou quelque groupes de ce genre. Ils auraient été facilement persécuté à cette époque… J’ai un nom qui m’est venu, Anton, mais je ne sais pas ce que cela vaux. Pour le reste je vais devoir attendre d’être en meilleur forme je crois. Je vais chercher un peu de mon coté.

C'est intéressant et bien écrit, merci pour le témoignage. Je ne sais pas si tu en sauras plus sur le lieu et l'époque de ces "souvenirs" s'ils en sont vraiment. Mais ce n'est pas le plus important. Ce qui compte c'est ce que ça peut t'apprendre sur toi-même aujourd'hui. Et puis si c'est bien une vie antérieure ce n'en est qu'une parmi beaucoup d'autres, alors ne t'identifie pas trop à elle. Elle n'est qu'une partie de toi.

Très intéressant. Tu às amené des détails importants sur la période.
Méditation bien sûr et comme tu étais connecté sue tes peurs cela t as servi de focus et tu as régressé .
Comme peu le faire guillaume_D.
Étonnant cette communauté de femmes. Pourquoi ? Les hommes sont t ils partis à la guerre ?
Dans quel pays. Quelle région? Ça, ça demande quelques recherches.
A suivre astyan

Merci Guillaume_D en effet je crois que tu a raison, avoir des preuves de cette vie me ferais plaisir bien sur mais en vérité elle m'a déjà offert ce qu'elle avait à m’offrir. Je sais qu'une part au moins de celle si est vrai, et si les images que j'ai mise sur ses sensations ne sont pas les bonnes ce n'est pas grave. Je sais ce que je veux désormais, c'est ce qui compte. Et je crois que j'ai encore beaucoup à apprendre sur moi.
J'ai posté cette vie dans l'espoir d'être compris, pour me permettre d'y croire, pas dans le but de la poursuivre. En cela je suis déjà comblé. Le reste n'est que du plus. Je vais continuer à chercher en moi.
Et si un jour j'ai une preuve historique cela ne me changera pas. Ce ne serra qu'un renfort de plus.

Pour le reste je sens que dans mes vies je ne suis pas un faiseur d'histoire. La première femme en revanche est plus ancré à celle ci. Par son désir d'être reconnut pour ce qu'elle est.  

Non Chantara les hommes ne sont pas partis, ce lieu serait une exception, à l'image d'un couvant ou d'un monastère. Je me suis dit ce matin que c'etais peux être simplement un lieu de repos pour les blessés, peux être ais je été amputé ailleurs et amené ici après, ou alors elles mon soigné directement.
A la fin de cette vie en revanche le pays devient sans doute dangereux, comme nous sommes attaqué dans notre maison.

Avoir une vie ordinaire n est pas un problème d'i l on se met encore avec ce qu' elle nous apporte.
La trace historique n est que la cerise sur le gâteau . L important est de ce connaître mieux et d évoluer dans notre apprentissage.

On ne doit faire que ce qui nous agréé alors ne te force pas à visiter tes vies. Cela ne t apporterai rien de positif au co.traire.
Moi j en avais besoin je pense co tiquer quelques temps (mois, années) mais ce n est pas une fin en soi. Je n entamé pas une collection.

Par contre lala démarche comme ici de guillaume sur l après vie, la naissance, les "Dieux, les groupes d âmes est aussi intéressant pour moi que de savoir qui j ai été en d autres temps.

Oui je veux également poursuivre dans mes vies, pour mieux me comprendre et comprendre ce monde.

Donc je me pose aussi beaucoup de question sur les âmes et tout ce qui s'en rapproche en générale. Mais sur les théories existentiels je marque une pause, car plus j'y pense plus je me perd. C'est comme essayer de comprendre l'univers entier, j'ai pas la place dans mon petit corps physique. Il fraudais un nombre infini de mot pour décrire l’infini. Comprendre par le ressentis me parait donc plus judicieux. Et les vies antérieurs sont superbe pour ca.

Completement d accord. J ai essayé de transcrire en mots mon expérience d EMI ... Cela ne rend pas hommage aux sensations éprouvées.
Nous continuerons à t aider autant qu' on le pourra Astyann sois en sur.

Bonsoir Astyann, je viens de lire tout ton récit, cela m'a fait réagir et parlé à la fin un peu en une "langue" étrangère. Je vais t'envoyer la bande et dis moi ce que cela t'évoque, elle fait à peine une minute. Bon courage à toi dans ta quête. Si je peux t'aider, n'hésite pas.

tu es positivement incroyable.
Tu arrives a capter les énergies de quelqu'un qui écrit sur ses vies antérieures.
Mais je me demande si tu peux capter les vies de chacun ou seulement des "ames" que tu as croisé ?
mais tu aurais croisé Astyan ?
ca m'interesse beaucoup sur le plan théorique

si tu pouvais développer ce que tu ressens ou dis , ca serait cool
a faire à suivre

Bonsoir, j'ai déjà expérimenté avec A, et j'arriverai à retrouver ses paroles et celles des gens que nous avons "connu". Notamment je me "connecte" je crois assez facilement aux trois personnes les plus "proches" de mon entourage d'âme. J'aurais même peut être "accès" à eux, sachant que deux seraient incarnées. Donc à voir oui.

tu as véritablement un don incroyable. Ce n'est pas étonnant que tu ne puisses pas le maitriser comme tu voulais lorsque tu es arrivée. je pense que tu as une tres tres grande énergie entoi. Avec du travail tu y arrivera j'en suis certaine. Encore faut il que ce soit cela que tu souhaites.
Merci à toi SD

Astyann, je t'envoie l'enregistrement d'ici cinq à dix minutes, comme ça si tu reçois un mail d'une personne inconnue tu pourras présager de son identité.

J'en discute avec Simple Demoiselle.

une chose est sur son enregistrement me parle.

Sa voie est profonde et comme en contacte avec un autre monde, c'est de la magie je n’ai pas d'autre mot.

Quelle langue d après toi Astyann?

Une langue très ancienne sans doute, mais je préfère avoir le consentement de Simple Demoiselle pour en dire plus...

Bonjour, alors tu peux exprimer toutes les hypothèses que tu veux sur le sujet, car je dois avouer que je n'en sais absolument rien. Bonne journée à tout le monde.

merci SD bisou

Bon voilà ce que je ressens à l’écoute de ses paroles: D’abord en premier lieu c’est très agréable, et je me détend aussitôt. Puis après s’ajoute une puissance imposante, et je suis secoué de tremblement. L’un d’eux est assez violant et toujours au même moment dans la bande.
Honnêtement c’est fort alors toute personne sensible réagirais peu être comme moi, donc jusqu’ici rien de sur.

Pour moi cela ce rapproche d’un soin, ou plutôt d’un ancien exorcisme, presque un chant ou une litanie. Je ne sais pas si Simple Demoiselle est d’accord.

Il est alors facile pour moi de m’imaginer soigné par un tel procédé. Je peux sans difficulté imaginer la noirceur me quitter sous ce traitement.

Il lui est venu aussi le nom d’Avalon, ce qui ne m’a pas parut sonner faux. J’ai lus qu’il aurait exister neuf prêtresse à cette époque, (Morgane étant l’une d’elle) dont on ventais les dont hors de commun. dont celui de guérir tous les mots même réputé incurable.

Cela m’a parut possible, quoi que modifiant un peu mes premiers aperçus. Si j’ai bien expérimenté cette vie alors je suis sur d’y avoir goûté à la véritable folie. Donc un mal incurable… Ensuite toute les hypothèse sont possible.

Simple demoiselle aurais connus des guérisseuses, proche ou non de ses prêtresses, et aurais par mon histoire retrouvée des souvenirs qui ne me concerne pas.
Elle aurais connus la femme qui ma prodiguée des soin ? Les dons de celle ci aurais été proche des siens? Ou alors elle aurais elle même été cette femme?

Cela fais beaucoup à encaisser, et je n’aurais jamais été aussi loin dans mes suppositions sans son enregistrement.

c'est magnifique ! je suis ravie que vous puissiez avancer ensemble.
AVALON . incroyable !
Donc pour rappel ou pour ceux qui ne connaissent pas l'histoire.

l'Ile d'Avalon apparait dans la littérature au douzième siècle. C'est en ce lieu que nait la légende du roi Arthur en 1138. Dans la Vita Merlini, l'auteur ( Geoffroy de Monmouth ) décrit aussi les fameuses habitantes de l'île d'Avalon : « Neuf sœurs y soumettent à la loi du plaisir ceux qui vont de nos parages dans leur demeure ; la première excelle dans l'art de guérir et surpasse les autres en beauté ; Morgen, comme on l'appelle, enseigne ce que chaque plante a de vertus pour la guérison des maladies ; elle sait aussi changer de forme et, comme un nouveau Dédale, fendre l'air avec ses ailes et se transporter à Brest, à Chartres, à Paris, ou bien redescendre sur nos côtes. On dit qu'elle a enseigné les mathématiques à ses sœurs Moronœ, Mazœ, Gliten, Glitonea, Gliton, Tyronœ, Thiton et Tith[en], la célèbre musicienne." Ces neuf sœurs sont probablement les neuf prêtresses qui sont invoquées.  Elles sont appelées Gallicènes, et on leur attribue le pouvoir singulier de déchaîner les vents et de soulever les mers, de se métamorphoser en tels animaux que bon leur semble, de guérir des maux partout ailleurs regardés comme incurables, de connaître et de prédire l'avenir, faveurs qu'elles n'accordent néanmoins qu'à ceux qui viennent tout exprès dans leur île pour les consulter.

La localisation d'Avallon à Glastonbury, dans le Somerset, à la fin du XIIe siècle est certainement liée au souhait des moines de cette abbaye de développer un pèlerinage et de se placer sous la protection du roi Richard Cœur de Lion. On la dit également la plus belle ile de bretagne. Mais elle fait partie également de la tradition irlandaise...
Avallon en gaulois et en celte veux dire "pommes".

Donc pour la localiser ca ne sera pas facile.

Il serait donc envisageable (au conditionnel pour le moment) que tu fusses détenus sur l'ile d'Avallon aux cotés des 9 soeurs.
J'ai fait expres de mettre un petit article sur Avallon , car lorsque SD lit elle peut avoir des réactions qui peuvent nous aider dans la recherche de ton identité.


Donc si l'on récapitule, tu t'appellerai potentiellement ANTON tu aurais eu une maladie incurable soignée par l'une des soeurs pretresses de l'ile d'Avallon, puis utilisé comme "objet sexuel" par une femme ayant des vetements masculin et des yeux de guerrière.  Décidèment j'adore mon forum  et peut etre SD ferait partie de ton groupe d'ames ,  c'est génial.

Surtout n'hésitez pas a échanger entre vous (astyan et Simple demoiselle) pour avancer dans vos recherches. Nous sommes ravis de pouvoir assister à tout cela.

Bonjour, je viens de lire ça me "parle" mais rien de très précis ou de "Français". Il serait bon déjà de savoir à quelle période s'est déroulée la première "partie" de l'histoire. La première femme de la vision, la "tortionnaire" me parait une excellente piste en tout cas. Avallon est une hypothèse, disons qu'une communauté de femmes guérisseuses vivant entre elles, cela m'évoquait ces prêtresses. Ca restera cependant très flou je crains pour cette partie supposée. Il serait bon de déterminer si possible si cela se déroule en Europe de l'Est ou de l'Ouest.

Complétement. c'est pour cela que j'ai employé le terme de -au conditionnel- car pour le moment nous sommes dans le recherche. Astyan tu as la matière a continuer tes investigations et pourquoi pas au fur et à mesure que tu les mettra ici, SD pourra t elle ressentir quelques choses.
Prenez votre temps.
A bientot

Dans ce cas je vais vous donner du grain à moudre J'ai encore quelque impression en réserve.

Tous seul j'avais peu d’espoir de comprendre cette vie mais peux être qu'avec l'aide de Simple Demoiselle on va pouvoir séparer le bon gain de l'ivraie. ( oui je sais je fais que des métaphore avec du grain :roll:)

Malheureusement je travail les deux semaines qui suivent alors je ne vais pas avoir beaucoup d’énergie pour moi.

Pour l’époque j’aurais pu dire la Bretagne, comme j’y suis né et y réside dans cette vie et que j’aurais du mal à la quitter. Peu être en Angleterre alors, ou une région avec un climat relativement similaire. Ce n'est vraiment pas certain.

Avec un peu d'intuition l’idée de « prêtresses » ou du moins de femmes avec des dons important, m’a permis d’étayer la fin la plus probable de cette vie.

Donc je m’échappe à moitié mort, et avec un esprit en morceau, du domaine de la famille de la première femme. Puis je suis recueillis d’une façon ou d’une autre chez ses guérisseuses.

Le fait qu’elle soit puissante et redoutées pourrais expliquer pourquoi je n’ai pas vue d’homme?

En tous cas l’une d’entre elle me soigne. Mais je me demande si elle ne part pas avec moi pour une raison plus complexe qu’un « coup de foudre ». Je me demande si elle n’a pas eu des différents avec ses sœurs au sujet de l’utilisation de leurs dons potentiellement exceptionnels. J’aurais alors pu la convaincre de me suivre… Et elle aurais par la suite décidé de ne plus pratiquer son arts. Ou seulement dans le secret absolu. Pour ne pas que d’autre finisse par pervertir ce savoir.
Du reste la fin ne change pas, fondation d‘une famille. Vie très simple.
Nous possédons une maison, assez grande, ce qui est étrange…

Je ne sais pas ce que ça vaux une fois de plus, si quelque chose te fais réagir ou te paraît faux n’hésite pas Simple Demoiselle.

Je me demande dans quoi je m’embarque moi vraiment, j'ai l'impression de changer bien trop vite...

Le problème c'est que si je ne me trompe pas et que tu est liée plutôt à la seconde femme, tu risque d'avoir du mal à confirmer ou infirmer la première partie.

Donc faisons tres attention, on retrouve dans certaines légendes, qui comme tout le monde le sais, sont fondées sur une base de réalité, d'autres iles avec des femmes isolées ;

source : blog lunantique appartenant à mon ancien modérateur Triskel

Les vierges de l’île de Sein (qui m'a foi se trouve en Bretagne au large de la pointe de bretagne)
La légende veut que neuf prêtresses exerçaient leur magie sur cette île, à l’abri des regards profanes.
« L’île de Sena, située dans la mer Britannique, en face des Osismiciens,, est renommée par un oracle gaulois, dont les prêtresses, vouées à une virginité perpétuelle [perpetua virginate sancta], sont au nombre de neuf. Elles sont appelées Gallicènes, et on leur attribue le pouvoir singulier de déchaîner les vents et de soulever les mers, de se métamorphoser en tels animaux que bon leur semble, de guérir des maux partout ailleurs regardés comme incurables, de connaître et de prédire l’avenir, faveurs qu’elles n’accordent néanmoins qu’à ceux qui viennent tout exprès dans leur île pour les consulter ».
Les Gaulois croyaient qu’elles pouvaient, par leurs enchantements, exciter des tempêtes, se métamorphoser en toutes sortes d’animaux, guérir les maladies les plus graves, et prédire l’avenir, surtout aux navigateurs. Elles expliquaient les songes, rendaient invulnérables ceux auxquels il leur plaisait d’accorder ce privilège, évoquaient les morts, les ressuscitaient même, et détournaient la grêle et les inondations au moyen d’opérations magiques qui ne pouvaient être faites que la nuit, à la lumière des torches ou au clair de la lune.