LES DIEUX AMPHIBIENS

Les Dogons prétendent tenir leur science astronomique des Nommos, êtres amphibiens, envoyés sur la terre du système de Sirius pour le bien de l’humanité, et dont le nom vient d’un mot dogon signifiant: « donner à boire ». Les Nommos sont aussi appelés les Maîtres de l’Eau, les Moniteurs, les Instructeurs. Ils arrivèrent sur la terre un peu au nord-est de l’actuel territoire dogon.
Quand leur vaisseau atterrit (après une descente « tourbillonnante », accompagnée d'un grand bruit et d'un grand « vent »), il stoppa en dérapant, creusant le sol d'ornières et « crachant le sang » (peut-être l'échappement ardent d'une fusée). On vit apparaître une nouvelle étoile (peut-être un vaisseau principal), et, après l'atterrissage, quelque chose avec quatre pattes traîna le vaisseau dans un creux, qui fut rempli d'eau jusqu'à ce que le vaisseau se mît à flotter.
D'après l'art dogon, les Nommos tenaient plus du poisson que de l'homme et vivaient dans l'eau. Ils étaient des sauveurs et des gardiens spirituels :
Le Nommo a partagé son corps entre les hommes pour les nourrir ; c'est pourquoi on dit que, « l'univers s'étant désaltéré de son corps », il a aussi donné à boire aux hommes. Aux êtres humains, il a fait don de tous ses principes vitaux.
Le Nommo fut crucifié et il est ressuscité. Dans le futur, il reviendra sur la terre, sous forme humaine cette fois. Plus tard encore, sous sa forme amphibie, du royaume des eaux, il régnera sur le monde.

Si les récits dogon relatent un événement aussi prodigieux que l'arrivée sur la terre d'êtres venus d'une autre galaxie, d'autres mythologies doivent aussi en garder mémoire. C'est en effet le cas.

La tradition babylonienne parle des Oannès, êtres amphibies, qui vinrent sur la terre pour le bien des hommes. Leur vaisseau, en forme d'oeuf, se posa sur la mer Rouge. Les descriptions qui suivent sont extraites d'une histoire de la Mésopotamie, écrite au IIIe siècle avant J.-C. par le prêtre chaldéen Bérose et dont ne nous sont parvenus que des fragments, recueillis par des historiens grecs plus tardifs.

Les Oannès avaient « l'aspect d'un poisson combiné avec celui d'un homme » — une « forme compliquée, entre le poisson et l'homme », et « à mi-chemin entre les hommes et les dieux ». Ils étaient d'aspect repoussant :
Tout le corps de l'animal était comme celui d'un poisson et présentait sous une tête de poisson une autre tête ainsi que, associés à une queue de poisson, des pieds semblables à ceux d'un homme. Sa voix et son langage articulé étaient humains...

Oannès est connu dans les légendes chaldéennes, transmises grâce à Bérose et à d'autres écrivains anciens, comme Dag ou Dagon, l'"homme-poisson". C'est à titre de réformateur et d'instructeur qu'Oannès visita les premiers Babyloniens. Venant de la mer Erythréenne, il leur apporta la civilisation, les lettres et les sciences, le droit, l'astronomie et la religion, leur enseignant l'agriculture, la géométrie et les arts en général.
Après lui, il y eut d'autres Annedoti au nombre de cinq (notre race étant la cinquième) – "tous semblables à Oannès dans la forme extérieure et enseignant la même chose" – mais Musarus Oannès fut le premier qui apparut durant le règne d'Ammenon, le troisième des dix rois antédiluviens dont la dynastie se termina avec Xisouthros, le Noé chaldéen .

Dans la journée, cet Etre conversait avec les hommes, mais ne se nourrissait pas ; il les initiait aux lettres, aux sciences, à toutes les formes d'art. Il leur enseignait à construire des maisons, à fonder des temples, à rédiger des lois, et leur expliquait les principes de la géométrie... bref, il les instruisait en tout ce qui contribue à adoucir les mœurs et à civiliser les hommes... Le soleil s'étant couché, cet Être replongeait dans la mer et demeurait toute la nuit dans ses profondeurs, car il était amphibie.

On trouve un passage sommaire relatif aux Oannès dans les écrits de Photios, patriarche de Constantinople (vers 820-892). Dans son Myriobiblion, il mentionne que l'historien Helladios...
... raconte l'histoire d'un homme nommé Oé, sorti de la mer Rouge, qui avait un corps de poisson, mais la tête, les pieds et les bras d'un homme, et qui enseignait l'astronomie et les lettres. Selon certains récits, il était issu d'un œuf énorme, d'où son nom. En réalité, c'était un homme : il ne ressemblait à un poisson que par « la peau d'animal marin » qui le revêtait.

Cette allégorie d'Oannès, l'Annedotus, nous fait penser au "Dragon" et aux "Rois-Serpents" : ces Nâgas qui, dans les légendes bouddhiques, instruisent le peuple en sagesse sur les lacs et les rivières, et qui finissent par se convertir à la Bonne Loi et deviennent Arhats.

Se peut-il que les Nommos dogon et les Oannès babyloniens soient deux représentations du même phénomène? Les Dogon affirment qu'ils n'ont pas toujours habité leur territoire actuel; et certains faits laissent penser que, venus de Libye, ils ont commencé à émigrer vers le sud à partir du IER ou du IIe siècle. A la suite de mariages entre eux et les tribus noires locales, ils se sont définitivement établis dans la région du Mali au XIe siècle.

Si les Dogons viennent réellement du nord-est, ils ont pu, à l'origine, se trouver assez proches de la mer Rouge pour que, géographiquement, existe une relation entre les Nommos et les Oannès? Il est cependant bizarre que seuls les Dogons aient conservé leurs connaissances au sujet de Sirius B, alors que les Égyptiens, certainement en contact avec la culture babylonienne, n'ont gardé qu'une grande vénération pour Sirius B, principalement parce que cette étoile les aidait à prévoir les crues du Nil.

II semble donc que l'histoire des Dogon et celle de Babylone relatent des événements distincts, mais analogues.

Et ces dieux à peau de reptile ne sont-ils pas à mettre en relation avec les dieux Annunakis des Sumériens?
Et les Nagas du bouddhisme?

Un complément bien documenté sur les différents dieux amphibiens des mythologies:

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il y a certainement quelques chose,concernant,le peuple Dogon
ils n'ont pas de moyens de voir les étoiles,et pourtant ils en connaissent certaines
que nous,ne connaissont pas,alors,mystere
ou ,bien sur,la venue d'étres venus d'ailleurs,il y a fort longtemps ,et,une partie de cette culture est restée ,je pense ..... :suspect:

Tout ceci, selon ma compréhension des choses jusqu'à ce jour et à mettre dans le même "panier".
Dogons, Annunakis, etc.

Selon les traditions orales, retranscrites plus tard par écrit, et dans la mesure où on lit beaucoup dans un état d'esprit de synthèse, on peut s'apercevoir au fur et à mesure, qu'à très peu de choses près, tout le monde parle du même sujet, raconté par des peuplades différentes, en des lieux différents. Il n'est donc pas étonnant de lire chacun de leurs récits sous des descriptions qui diffèrent un peu, avec des noms de même, et des types d'enseignements idoines.
Synthétiquement parlant, on nous dit qu'ils connaissaient tout sur tout, vivaient aussi bien sur terre que dans l'eau bien qu'ils se sentaient mieux dans l'eau, que leur but semblait être de nous instruire pour nous faire grandir spirituellement et éteindre en nous le feu de la violence et de la peur pour allumer celui de l'amour et de la connaissance.

Ce qui laisse supposer, au bout du compte, que le fameux chaînon manquant de Darwin n'a jamais manqué puisqu'il n'a sans aucun doute jamais existé. En terme traduit, nous serions le fruit d'un "bidouillage" génétique issu d'un croisement de quelque chose de terrestre, sans doute une sorte d'archétype l'homo sapiens, et du sang de une ou six femmes annunakis.

Le résultat obtenu a été, semble t'il, inattendu pour eux et pas celui escompté.
Je n'ai plus les documents que j'avais autrefois mais il faut fouiller dans les textes sumériens.
Le but primaire aurait été d'avoir des "esclaves" au sens propre, et non pas des "serviteurs". Il semble que cette expérience leur ait un peu échappée en ce sens où le "bidouillage", nous a apporté de facto la possibilité de penser et réfléchir par nous-mêmes, alors que le départ aurait dû être de nous donner la seule possibilité d'observer et reproduire en anticipant les besoins de nos maîtres.
Et c'est là que la pensée perfectible et sans limite nous aurait été apportée.

Mais, toujours selon ma compréhension de la chose, la datation de tout ceci doit remonter à beaucoup plus loin que ça. Les datations connues ne peuvent faire référence, d'une certaine façon, que de la période grâce à laquelle on nous relate les faits, c'est à dire la période à laquelle les écrits ont été faits. En aucun cas on ne peut voir d'écart de temps entre le point de départ, et le moment où on nous a appris tout ce dont nous avions besoin pour continuer de vivre librement, en nous tenant écartés de ces fameux géants, ou nephilim, etc. qui se seraient accouplés aux femmes des hommes, et pas qu'à elles ni en respectant l'ordre naturel des choses puisqu'on on peut lire, dans le fameux livre de Henoch pour ne citer que lui (et déclaré évidemment apocryphe par l’Église), que "toutes leurs voies étaient souillées".
Était-ce par ces hommes-poissons ou d'autres venus de l'espace sans la notion de l'eau ?
Là, ce n'est pas si simple à comprendre et j'ai toujours du mal.

Toujours dans le livre d'Henoch, en le lisant un peu entre les lignes, on peut s'apercevoir si l'on a été plus ou moins trempé dans ce bain, qu'ils avaient également des combinaisons d'un genre un peu "spatial", étaient reliés à leurs "vaisseaux", étaient en proie à des pannes et des avaries, etc.
En ce qui me concerne, j'ai pu noter ces détails qui m'ont beaucoup amusé pour la simple raison que j'ai exercé un métier passionnant durant presque trente ans : technicien sur avion (pour le compte d'une grande compagnie aérienne) et mon terrain de prédilection était le globe, puisque je me suis baladé dans bien des pays.
J'en ai d'ailleurs fait tout un chapitre dans mon livre "Enigmes sur la planète bleue".

On retrouve aussi cette notion dans le Rämäyana, et principalement lorsque Rämä, le Grand Singe, s'est élevé dans les airs et à lâcher son étron sur la terre et les hommes et tout à été brûlé, et les hommes étaient obligés de se laver et de laver tout ce qu'ils touchaient et tout ce qu'ils mangeaient, etc. (sans doute que la bombe atomique était déjà inventée bien avant nous).

Et pour revenir au domaine aquatique, et plus précisément à la période temps dont on suppose qu'elle est le déluge, on constate que partout autour de notre planète, on peu trouver des légendes en parlant et qui semblent dater cette affaire à la même période pour tout le monde, soit environ entre 11000 et 12000 ans avant J.C.

Il y a maintenant pas mal d'années, je m'étais un peu passionné pour ce sujet et j'avais découvert 63 légendes différentes de par le monde et qui parlaient de la même chose : le déluge. Je n'ai plus les documents sinon, je serai enseveli dessous. J'ai un frère qui a fait les mêmes recherches de son côté et lui en a trouvé 70. Ce qui signifie que ce déluge n'est pas du tout un racontar et que nous n'avons pas besoin des études scientifiques pour en être persuadés, même si elles ne sont pas inutiles non plus.
Mais cela semble signifier beaucoup plus que ça.
Si la légende du déluge est vraie, sachant la façon grâce à laquelle elle est arrivée jusqu'à nous, alors les dogons, les annunakis, etc. TOUT EST VRAI.

Et pour finir, Sirius A était belle et bien connue chez les égyptiens du premier empire, de la première dynastie. S'ils connaissaient Sirius B, la naine blanche qui ne se voit pas à l’œil nu, alors ils ne pouvaient pas louper Sirius A, dans la constellation du Grand chien, qui est la plus brillante et très proche de la constellation d'Orion. D'autant que comme tu l'as dit, Sirius A était étroitement surveillée et c'était elle qui déclenchait le nouvel an, au moment des grandes chaleurs sur le Nil.
De nos jours et dans la langue française, ne dit on pas "canicule" ?
Qui vient de Canis (la constellation du grand chien).

J'ai lu quelques détails que je ne connaissais pas et qui viennent compléter mes connaissances.
Merci.

Absolument d'accord avec toi, je vois que tu es dans notre ligne de compréhension.
Nous avons pas mal d'articles à ce sujet, comme:

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Nous parlons aussi du livre d'Enoch quelque part, je ne me souviens plus où, parce que nous dévions souvent dans nos conversations, je te laisse fouiner.
Merci pour tes contributions intéressantes.

Merci.

également d'accord avec toi. le chainon manquant est un leurre.
Nous sommes nés de la panspermie . les extraterrestres ont croisés un sapiens avec un humanoide de chez eux et nous avons évolué....
certainement que le résultat n'etait pas celui attendu car ...

mais tu devrais etre interessés par les livres d'Anton park que je suis en train de résumé et que l'on débatait. ICI :
tome 1 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
tome 2 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
en cours.... je manque de temps pour reprendre mes transcriptions. En septembre j'espère pouvoir programmer les résumés et avancé jusqu'au livre 3

Il va me falloir un peu de temps car ce forum détient beaucoup de choses, vraiment.

Oui.
j'y ai mis tout ce que la vie m'a apportée d'expériences, tout ce que j'ai emmagasiné de connaissance et voila. Depuis 2009 j'y entasse tout ce que je croise pour apprendre et apprendre encore et partager avec qui a envie....
Mais prend le temps, anton park a été une révélation pour moi.
c'est tres instructif et correspond a l'idée que je me faisais de la création de l'homme.
Donc j'ai été conforté dans mes idées et j'ai appris beaucoup. Cette lecture a alimenté ma curiosité
on en discutera plus tard lorsque tu auras lu.
a bientot

Tu as posté les mêmes liens que moi Chantara!
N'oublions pas Zecharia Sitchin qui a dit la même chose qu'Anton Parks:

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oui absolument.
c'est anton qui m'est venu en premier car je l'ai découvert en premier et c'est lui qui m'a apporté mes premières réponses.