Mes vies antérieures 3 "Salaï" (okcoral)

j'ai accepté de donner un coup de main a Chantara pour cette vie,
car moi je n'ai aucune attirance pour cette période et ce pays.
Or, comme elle le dit si justement, etant des ames soeurs, ou elle est, je suis !

Donc , je ne dois pas etre loin.
Je vais me concentrer sur léonard de vinci.

9 décembre 2017 Orléans. Je me mets en condition avec mon casque.
Il fait sombre, je suis étendu par terre, dans la boue. J'ai froid, très froid, mon corps est engourdi et je continue de remuer les jambes pour essayer de me réchauffer mais, c'est trop tard, je sais que je suis déjà en train de mourir. Le froid est en train de dévorer ma peau, mon cœur bat de plus en plus lentement, je ne pense à personne.

J'ai rejoué quelques jours ou semaines plus tard, je ne sais plus. J'ai cette fois tiré quelques cartes, surtout par curiosité. J'ai choisi "père", "abandon" et "amour non réciproque" et cette fois (le 20 décembre) en jouant, j'ai vu quelque chose de plus concret :

20 décembre 2017, Chartres. Meme condition que précédement.
Je suis dans une salle de classe, un atelier. Il y a un chevalet devant moi et la toile est blanche. Plus loin devant moi et légèrement sur la droite, il y a deux autres garçons, peignant les toiles sur leurs chevalets, le plus proche est Giovanni ( Fleuryan). Je tourne la tête pour regarder par-dessus mon épaule et j'entrevois encore deux autres garçons, planqués derrière des chevalets. L'un de mes meilleurs amis est derrière moi, il peint. C'est : Francesco (chantara)

Je regarde à nouveau ma toile encore blanche, je ne sais pas quoi faire. Je tiens mon pinceau de la main gauche. Je lève alors le bras, peut-il venir m'aider ? Léonard de Vinci est de l'autre côté de la pièce, il aide déjà quelqu'un mais ce n'est pas grave, je vais attendre.
Une minute, deux minutes, dix minutes, il ne vient toujours pas et pourtant il me passe à côté plusieurs fois. Le fait-il exprès ? J'attrape le pot de pinceaux à côté de moi, il y en a pleins à l'intérieur. Je jette le pot et il éclate par terre, les morceaux virevoltent sur le parquet.

- "Salai !"

S'écrit-il enfin en m'approchant, il est en colère, il me sermonne.
Faut-il vraiment que je me mette en colère pour qu'il daigne m'accorder de l'intérêt ? Cela m'énerve.

Il ne m'a pas réellement aidé, je ne sais toujours pas quoi peindre et je déteste ne pas savoir quoi dessiner, pendant que les autres eux, si. Je jette encore quelques coups d’œil autour de moi et, je me tourne pour regarder sur ma gauche. Il y a des miroirs à pied, j'en regarde un et je vois le reflet de mon visage.

C'était terminé.

Je me suis réveillé en sursaut parce que j'ai eu peur du reflet que j'ai surpris, parmi les régressions que j'ai déjà faite, je ne me suis jamais vu, je n'ai jamais croisé de miroir et la j'ai surpris mon reflet dans une glace.

J'ai joué pour Chantara, j'ai tiré des cartes en pensant à/pour elle, à son obsession pour Léonard, est-ce vraiment mes souvenirs que j'ai vu, ou est-ce les siens ?
cela me laisse perplexe. C'est la première fois que je vais voir une vie qui ne m'est pas remontée naturellement...

Sur la douzaine d'élèves de Léonoard



un seul a eu une mort qui "colle" avec ce qu'a vu Okcoral.
SALAI mort aux environs de mars 1524 tué en duel par un carreau (fleche d'arbalète)

donc si comme toutes les autres régressions qu'elle a fait, elle voit par ses yeux, elle est "Salai" et son meilleur ami Francesco, c'est moi (chantara).
Mais ici , on a travaillé différement de d'habitude, donc rien n'est moins sur.
Regression a vérifier.

Gian Giacomo Caprotti ou Giacomo Caprotti da Oreno, dit Salai, Salaï, Salaij, Andrea Salai ou Salaì en italien (de Sala[d]ino : petit diable) (Milan, ~1485 - Milan, avant le 10 mars 1524) est un peintre italien de l'école lombarde de l'entourage de Léonard de Vinci, son élève, son disciple dès ses 10 ans.


Gian Giacomo Caprotti est le fils de Pietro di Giovanni, locataire d'un domaine viticole de Léonard de Vinci près de la Porta Vercellina à Milan. Garçon loqueteux et inculte, Léonard le rencontre le 22 juillet 1490 à Milan où il se rend pour honorer une commande de son mécène Ludovic Sforza. En échange d'une somme de quelques florins donnée à son père, Léonard le recueille à ses dix ans dans sa bottega (it) (atelier d'artistes réunissant maîtres et élèves).

Il devient le disciple de Léonard dès ses quinze ans. D'une beauté androgyne et troublante, il est souvent le modèle et participe à nombre de ses toiles et produit ses propres dessins.

Il accompagne Léonard à Mantoue, Venise et Florence.

Suivant Walter Krämeret Michael Schmidt, il est dit être le fils adoptif de Léonard, depuis le début de son apprentissage et son confident. Plus courante est l'hypothèse qu'ils étaient amants. C'est Léonard qui lui donne son surnom de Salaì (petit diable, ou progéniture du diable), en raison de son comportement, se trouvant continuellement à voler ou casser des objets.

Salai épouse Bianca Coldiroli d’Annono le 14 juin 1523 à l'âge de 43 ans. Il meurt d'un carreau d'arbalète reçue lors d'un duel et est enterré à Milan le 10 mars 1524

Polémique
Salai modèle du Saint Jean-Baptiste de Léonard

Une découverte de 2008 a semblé confirmer que le modèle de la Joconde est Lisa Gherardini. Dans une édition de l'œuvre de Cicéron, retrouvée à Heidelberg, en Allemagne, et datant d'octobre 1503, son propriétaire Agustino Vespucci, ami de Léonard de Vinci a annoté une page de l'ouvrage, indiquant que De Vinci avait trois peintures en cours cette année-là, dont un portrait de Mona Lisa del Giocondo.
Note d'Agostino Vespucci écrite en 1503 en marge d'un livre de l'université de Heidelberg, identifiant le modèle comme étant Lisa Gherardini.

Des chercheurs italiens ont affirmé que le jeune homme aurait servi de modèle à Léonard de Vinci pour La Joconde. L'annonce a été faite en janvier 2011 par Silvano Vincenti, président du « Comité national pour la valorisation des biens historiques », un organisme privé d'investigation sur l'histoire de l'art. Une thèse qui laisse cependant encore sceptiques les experts du Louvre. Vincenti a fait état de fortes similitudes entre les traits des visages des protagonistes du Saint Jean Baptiste et L'Ange incarné avec le nez et la bouche de Mona Lisa. Pour ce chercheur, le peintre aurait laissé des indices en peignant dans les yeux de La Joconde un minuscule L pour Leonardo et un S pour Salain. Au contraire, le musée du Louvre estime qu'il s'agit de fissures dues au vieillissement de la peinture.

Selon la doctorante en sciences de l'Art Sophie Herfort, aucun historien n'a trouvé trace d’un commanditaire de La Joconde alors que de Vinci le notait scrupuleusement à chaque fois. De plus, les premiers jets du portrait révéleraient un personnage sans poitrine et plus large d’épaule, comme Salai. Elle note également dans le chemin derrière la Joconde un « S inversé » comme Salai. Enfin le morphing entre les portraits de la Joconde et celui de Salai se juxtaposeraient parfaitement

J'étais ce matin-même au Clos Lucé que j'ai visité pour la première fois. Il y a une reproduction de St Jean Baptiste et de la Joconde. J'ai pensé à vous

merci c'est gentil guillaume