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 SIDA :virus ou terrain affaibli ?...

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Souléou
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MessageSujet: SIDA :virus ou terrain affaibli ?...   SIDA :virus ou terrain affaibli ?... Icon_minitimeDim 26 Fév 2012 - 14:42

(Un article de Jean-Claude Roussez)

L'explosion du sida coïncide avec la prise massive de drogues puissantes et extrêmement immunodépressives. Mais la communauté scientifique a préféré privilégier l'hypothèse du virus.

C'est en fait aux USA, que furent signalés les premiers cas de ce qui sera nommé par la suite « sida », syndrôme d'immunodéficience acquise.

Le phénomène d'effondrement immunitaire, qui a existé de tout temps, ne constituait pas en soi une nouveauté. La surprise venait de ce que cette immunodéficience touchait de catégories bien particulières de la population : homosexuels mâles, puis toxicomanes lourds (d'autres catégories furent ajoutées par la suite).

Au lieu de chercher dans le mode de vie de ces malades ce qui pouvait bien provoquer de telles perturbations, le monde scientifique dans son ensemble s'est attelé à une tâche exclusieve : trouver le rétrovirus responsable.

Il faut croire que la notion de terrain est inconnue des chercheurs.

Créateurs de créatures

« Au commencement de la création du syndrome, le dossier était informe et vide et l'esprit de lucre planait au-dessus des flots (de dollars) » Cette adaptation libre du premier verset de la Genèse est destinée à mettre l'accent sur les véritables motivations qui ont conduit à la mise en place de l'épouvantable machine à terroriser les populations que fut le VIH.

Dès le signalement des premiers cas, les scientifiques avaient la solution à porte de main. Il se trouve en effet que tous les malades homosexuels concernés étaient consommateurs assidus de stupéfiants de tous types, ce qui les mettait au même niveau de risque que les héroïnomanes qui avaient, eux aussi, préparé un terrain favorable aux infections.

« Mais alors, avant 1981, pourquoi n'y avait-il pas de sida ? », peut-on rétorquer à juste titre. La réponse est claire : contrairement à ce qu'on a voulu faire croire au grand public, il y avait bien avant 1981, de nombreux cas d'immunodéficience chez les drogués lourds, de même qu'il y en avait un grand nombre parmi les transplantés à qui l'on faisait observer au long cours (pour garantir leur survie) des médicaments antirejet qui sont immunosuppresseurs. Mais cela s'appelait simplement désordre immunitaire et non pas sida.

Seulement, il n'y avait pas eu jusqu'alors la combinaison de deux maladies devenues emblématiques du syndrome : la pneumocystose et le sarcome de Kaposi.

Le fait que ces deux pathologies apparaissent simultanément chez des individus issus d'une population bien définie a pu faire penser à une contamination, donc à une éventuelle origine virale. Mais il y avait une autre solution, bien plus flagrante, qui fut dédaignée.

Une stupéfiante histoire

La fin de la décennie 1970 avait vu s'opérer aux Etats-Unis la libération homosexuelle. Finie la chasse aux sorcières, terminée la discrimination. La population gay pouvait enfin s'extérioriser...et ne s'en est pas privée.

Dans les grandes métropoles comme New York, Sans Francisco et Los Angeles, des clubs et autres lieux de rencontre dédiés aux homosexuels connurent un énorme succès. Les drogues y circulaient librement, notamment la plus prisée entre elles, le nitrite d'amyle, plus connu sous le nom de son conditionnement : "les poppers". Aphrodisiaque et décontractant musculaire, ce nitrite d'amyle (plus d'autres nitrites venus le remplacer) permettait des relations multiples au cours d'une même soirée.

Mais c'est aussi un poison cellulaire dont l'usage intensif provoque, outre une immunodépression due à la pénétration du produit dans la moelle des os, des lésions pulmonaires graves (les poppers sont inhalés) et une détérioration des cellules endothéliales des capillaires sanguins.

A suivre
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Souléou
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MessageSujet: Re: SIDA :virus ou terrain affaibli ?...   SIDA :virus ou terrain affaibli ?... Icon_minitimeLun 27 Fév 2012 - 11:21

Suite:

Voici donc, toute trouvée la solution du problème :

D'une part, la pneumocystose (qui est une forme de pneumonie faisant intervenir une microbactérie : le pneumocystis carini), dont on avait remarqué depuis longtemps qu'elle s'attaquait à des organismes immunodéprimés (chez les greffés notamment), trouvait là un terrain favorable à son émergence, d'autant plus que les cellules pulmonaires des personnes concernées étaient sérieusement agressées par les nitrites.

D'autre part, le sarcome de Kapose (réputé être une forme de cancer des vaisseaux sanguins) se voyait justifié puisqu'il était déjà répertorié chez des sujets immunodéprimés ayant subi une corticothérapie ou une transplantation d'organe.

Cette solution, scientifiquement satisfaisante en tous points, fut pourtant abandonnée très rapidement au profit de la piste rétrovirale. Il faut dire que les avantages de cette (fausse) piste étaient nombreux et variés.

Aus Etats-Unis les contribuables commençaient à manifester leur mécontentement devant la nullité des résultats après dix ans de recherches sur l'origine rétrovirale des cancers, seule piste financée par de l'argent public, à coups de millions de dollars. Une nouvelle pathologie arrivait à point nommé.

Les laboratoires pharmaceutiques (tout puissants, notamment parce qu'ils financent avec largesse les campagnes électorales) piaffaient d'impatience, eux aussi, dans l'attente de résultats permettant l'élaboration de nouvelles molécules et l'encaissement des substantiels bénéficies s'y rapportant.

Certains dirigeants voyaient dans la menace virale un excellent moyen de distraire l'attention du public des véritables problèmes.

Les ligues de vertu et sectes en tout genre pouvaient agiter le spectre d'une malédiction divine venue punir la dégradation des moeurs.

Quelques chercheurs en mal de popularité ou de reconnaissance pressentaient que le syndrome allait leur apporter la gloire et la fortune qu'ils estimaient mériter.

Il n'est donc pas nécessaire d'accréditer la théorie du complot dans cette épopée du VIH; la somme des rancœurs et des appétits individuels suffit à expliquer pourquoi tout le monde s'est engouffré sans réfléchir dans l'hypothèse virale du sida, négligeant totalement la notion de terrain, pourtant évidente.


Le scandale des tests
Le sida serait resté une pathologie à diffusion restreinte si l'on n'avait mis au point des tests de dépistage. Ces tests constituent le plus gros scandale au sein de l'histoire du sida qui est déjà scandaleuse en elle-même.

Il existe en effet deux types d'individus réputés « vivre avec le VIH » comme le dit la formule consacrée :

- Les personnes immunodéprimées qui sont réellement malades,

- les personnes immunocompétentes, chez qui des tests de dépistage ont décelé la présence du fantomatique virus, ou plutôt de certaines protéines (antigènes) qui sont censées être typiques du VIH, ce qui n'a jamais été prouvé, et pour cause, puisque le rétrovirus n'a jamais été isolé d'aucun prélèvement.

Pour la première catégorie, la solution consisterait à soigner les maladies résultant de cette immunosuppression et à renforcer le système immunitaire.*

pour les autres, qui constituent l'écrasante majorité des patients, il faudrait tenter de comprendre pourquoi leur corps abrite ces antigènes en quantité anormalement élevée. La encore, il s'agirait de trouver les raisons pour lesquelles le terrain est favorable. Pourquoi soigner des gens qui ne sont pas malades ?

Au lieu de cela, on applique la même politique pour tout le monde, à savoir la prise de médicaments terriblement éprouvants pour l'organisme, à laquelle s'ajoute le stress permanent de se sentir en sursis.

Comment peut-on soigner une immunosuppression au moyen de produits immunosuppresseurs tels que ceux utilisés dans la thérapie du sida ? Des médicaments qui aggravent l'état du terrain au lieu de l'améliorer.

Il faut d'ailleurs préciser que, contrairement à l'idée reçue largement diffusée par le monde scientifique et les médias, une personne ayant une vie saine n'a jamais été frappée par le sida (entendons par vie saine une vie où l'on mange à sa faim, où l'on ne consomme aucun produit stupéfiant et où l'on n'est pas soumis à un traitement médical au long cours.)

Au sein de cette population saine, seuls des tests sérologiques ont é certaines personnes comme séropositives au VIH, et ceci de manière totalement arbitraire. Par exemple, pour être considéré comme séropositif en Afrique, il suffit que deux antigènes sur dix soient présents en quantité suffisante dans les résultats d'un test de type Western Blot. Dans d'autres pays, notamment européens, il en faut quatre.

Beaucoup de séropositifs africains seraient donc déclarés séronégatifs si les tests étaient réalisés en Europe.

La mère et l'enfant

Les études épidémiologiques donnant des chiffres alarmants pour l'Afrique subsaharienne sont basées sur des statistiques provenant de résultats établis majoritairement par des tests réalisés sur des femmes enceintes (la grossesse étant une des rares occasions de fréquenter un établissement hospitalier pour la majorité des Africaines rurales).

Le pourcentage de séropositivité relevé parmi ces femmes est ensuite extrapolé à l'ensemble de la population. Or, il faut savoir que la grossesse est un facteur important de tests faussement positifs.

D'ailleurs les fabricants de tests le précisent en toutes lettres dans la notice d'accompagnement de leurs produits. Alors, pourquoi continue-t-on à ajouter foi à ces tests pratiqués sur des femmes enceintes ?

Le cas des nouveau-nés est particulièrement pathétique. Il se trouve en effet qu'à la naissance, le nourrisson ne possède que les anticorps provenant de sa mère. Ce n'est qu'après plusieurs mois que ses propres anticorps viendront les remplacer, l'enfant acquérant ses propres défenses immunitaires.

Il est donc logique de trouver chez les nouveau-nés dont la mère a été jugée séropositive les mêmes anticorps révélés par les tests.

Si le même test est réalisé au bout d'un an, on s'aperçoit que les choses sont rentrées dans l'ordre (à moins que l'enfant ne souffre de malnutrition).

Plutôt que de donner à ces petits êtres immatures des produits fortement actifs et destructeurs, il serait plus avisé de fortifier leur terrain biologique en leur procurant une alimentation équilibrée en suffisance et des moyens de prévention efficaces contre les nombreuses maladies endémiques qui sévissent dans les pays pauvres.

Les différents terrains

- La malnutrition


Depuis toujours, la principale cause d'immunodéficience a été la malnutrition. C'est d'ailleurs pour cette raison que les organismes internationaux de santé annoncent des chiffres alarmants (et plus que surévalués) dans les pays pauvres, notamment en Afrique. Auparavant, on disait d'un miséreux qu'il était mort de faim; à présent, c'est une victime du sida.

Donnez aux Africains de quoi manger et surtout de l'eau potable, et vous verrez que le sida ne sera bientôt qu'un vilain souvenir dans leur mémoire.

- Les stupéfiants

Nous avons vu précédemment, les drogues lourdes et fortement invasives comme l'héroîne, le crack ou les poppers sont sources d'immunosuppression. La forte recrudescence, depuis quelques années, de malades dans les pays d'Europe de l'Est n'est pas due à une contamination transfrontalière mais à l'explosion du nombre d'usagers de drogues surtout dans la jeune population.

- Les médicaments

Certaines préparations médicamenteuses sont des tueuses de cellules. Les antibiotiques qui ont constitué une grande avancée dans le traitement des maladies infectieuses, peuvent s'avérer dangereux lorsqu'ils sont pris de manière exagérée. Ce fut notamment le cas au sein de la communauté homosexuelle où certains individus, par crainte des maladies sexuellement transmissibles, étaient sous traitement permanent. Pour ceux-là, il n'était pas nécessaire d'inhaler des poppers pour avoir un système immunitaire défaillant.

Il en est de même pour les médicaments antirejet administrés aux transplantés. Mais dans ce cas, l'immunosuppression est volontaire, voire salutaire, puisqu'elle est destinée à empêcher le rejet du greffon.

- L'hémophilie

Si les hémophiles ont été rapidement és parmi les sujets à risque de sida, c'est simplement parce que leur immunité est rendu défaillante par les traitements (nécessaires) qu'ils subissent. Il s'agit de transfusions sanguines en cas d'hémorragies (qui induisent un rejet de la part du système immunitaire), mais surtout des injections répétées des facteurs de coagulation que leur organisme ne sait pas fabriquer. En effet, l'intrusion de ces substances que les cellules immunitaires reconnaissent comme étrangères se traduit par la fabrication d'anticorps destinée à les inhiber. Plus on en fabrique, plus il faudra augmenter la dose de facteur de coagulation injectée.C'est une spirale infernale qui provoque à la longue un effondrement du système immunitaire. Il est donc inutile d'aller chercher un virus pour expliquer ce phénomène bien connu.

Le terrain : le grand oublié

Souhaitons que vienne le jour où les scientifiques, faisant amende honorable, annonceront que le VIH n'était qu'une hypothèse absurde et que seul le terrain compte pour expliquer des désordres immunitaires faussement attribués à un virus.

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MessageSujet: Re: SIDA :virus ou terrain affaibli ?...   SIDA :virus ou terrain affaibli ?... Icon_minitimeLun 27 Fév 2012 - 17:19

interessante comme hypothèse, j'en ai entendu bien d'autres, je ne sais pas laquelle est la bonne. En tout cas , c'est une histoire de gros sous et les gouvernements manipulent les tests et résultats pour orienter les prises de décisions après un battage médiatique auprès des populations.


je me demande ce qu'en pense les autres membres du forum ?


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MessageSujet: Re: SIDA :virus ou terrain affaibli ?...   SIDA :virus ou terrain affaibli ?... Icon_minitimeLun 9 Avr 2012 - 0:55

J'ai pas vraiment compris l'article, remet-il en question le fait que ce soit un virus ?
Car si c'est le cas, je suis pas vraiment du même avis, d'ailleurs j'ai un avis complétement différent.
Déjà, stigmatiser un type de population n'est pas vraiment sain, dans la mesure ou les tests donnent raison aux faits que quiconque peut attraper ce virus.
Dans mon esprit, le VIH est un grand mystère, les scientifiques en parlent comme si il s'agissait de Chuck Norris. D'ailleurs, les chercheurs, pour la moitier d'entre eux, se pose la question d'un virus créer par l'homme, et pour l'autre moitier affirme que celui-ci est un Chuck Norris de la nature (Cf, C Dans l'Air sur E-Coli).

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