Mais bien d'autres hypothèses sont envisagées....
L'origine du SIDA
Cultures vaccinales ou arme bactériologique ?
Malgré tout le raffut qui a été fait autour du SIDA, un lourd mystère plane encore sur son origine, sur la cause de son apparition ! Il est certain qu'il doit y avoir à l'origine du SIDA un événement inavouable parce qu'il n'a jamais été question d'en parler dans les médias, sinon pour entendre des énormités : "transmission par copulation avec le singe vert, par consommation de singe, ou par morsure..." (lu dans la presse !).
Supputations vaccinales, la thèse qui domine
Apparu officiellement vers 1981, le HIV aurait été détecté assez rapidement dès 1983 par Monsieur Luc Montagnier, de l'Institut Pasteur-Merrieux. Il s'agirait d'un recombinant génétique d'un virus inoffensif présent chez le singe vert d'Afrique, le macaque ou le chimpanzé.
"Le virus du sida s'apparente justement à un virus simiesque présent dans le rein utilisé en Afrique pour la fabrication des vaccins contre la polio, la variole, ou contre la rage. Le virus affectant les singes, non mortel pour eux et pour l'homme, est devenu mortel pour l'homme à la suite d'une recombinaison génétique avec un autre virus" (1). "l'invasion des mutants"
"Le virus peut se transformer génétiquement et devenir patholgène... Dans certaines conditions, il est contraint à muter et à développer de nouvelles souches. C'est ainsi que s'expliquent les nouvelles épidémies. Ainsi en est-il du SIDA qui serait dû au passage d'un virus de singe à l'homme." (d'après Sciences & Vie n°934, dossier Virus, Juillet 1995)
Les cultures vaccinales se faisaient et se font encore sur les reins de singes verts ou de macaques... Tous les biologistes doivent savoir maintenant le danger de telles manipulations vaccinales : on n'est jamais à l'abri de mutations qui rendent ces virus auparavant inoffensifs, mortels pour l'homme, soit par dégénérescence, soit par croisement, soit par la présence de fragments d'ARN cellulaire ayant acquis une autonomie propre.
Cette recombinaison fut peut-être accidentelle, peu importe... ce sont des scientifiques qui en sont responsables, et qui le nient. Les victimes de cette désinformation se comptent par millions ! Que sait-on sur cette épidémie qui touche exclusivement les populations des pays pauvres, les homosexuels et les accros de la seringue ?
"Le virus du SIDA a été créé de toutes pièces par l'homme à la suite d'une erreur de manipulation dans un laboratoire." (Louis de Brouwer dans l'Ère Nouvelle, Nov-déc. 1988 p.9)
"Les 7 pays les plus touchés par le SIDA sont ceux d'Afrique centrale, là où la vaccination antivariolique fut la plus intense. Le Brésil, où la campagne d'éradication fut instituée à grande échelle, enregistre le plus fort taux de sidatiques d'Amérique latine; Haïti est la voie par laquelle le SIDA s'est répandu aux États-Unis... les plus forts taux de SIDA coïncident avec les plus intenses campagnes de vaccination."
"Dans un nouvel hôte, le virus peut se transformer génétiquement et devenir pathogène." Voyons comment les choses se passent, selon P. Rossion dans Sciences & Vie. "En pénétrant dans un nouveau biotope, le virus trouve des conditions de vie pour lesquels il n'est pas adapté. Il ne peut donc plus proliférer. Aussi, sous la pression de l'environnement [sic], il se trouve contraint à muter et à développer de nouvelles souches. Comme ces souches sont nouvelles pour l'hôte, et que celui-ci n'a pas encore appris à cohabiter avec, elles sont forcément pathogènes. Quant aux hôtes infectés par le virus, ils sont également sélectionnés en fonction de leur capacité à lui résister. Cet ainsi que s'expliqueraient la plupart des nouvelles épidémies observées ces dernières décennies. Ainsi en est-il du SIDA qui serait dû au passage accidentel d'un virus du singe à l'homme."
Le sida aurait donc été créé de toute pièce par l'homme à la suite de cultures vaccinales sur des reins de singes d'Afrique. Il serait apparenté à un virus déjà présent chez le singe, le SV 40, sans qu'il soit virulent pour le singe ni pour l'homme. C'est par mutation ou accident génétique que ce virus a donné le recombinant génétique qu'est le rétrovirus du SIDA, le VIH.
À l'appui de cette hypothèse, quatre arguments :
- D'une part, l'infection expérimentale de singes par le VIH ne provoque pas l'apparition de la maladie.
- D'autre part, dans le sang des singes verts d'Afrique il existe un virus, le VIS, en général inoffensif pour l'animal, qui présenterait des analogies troublantes avec le VIH.
- Enfin, les campagnes vaccinales, en Afrique. Il paraîtrait que c'est à l'ouest de la crête Congo-Nil, dans la vaste cuvette occupée notamment par le Zaïre, qu'à démarré l'épidémie du SIDA.
En dépit des allégations vaseuses sur les mœurs indigènes, les virus apparus ces derniers temps ne sont donc pas nés par génération spontanée. Ils proviennent de souches ancestrales qui, en culture, se sont transformées génétiquement et non du fait "de la pression de l'environnement", comme cela est dit dans Sciences & Vie, N°934 "Virus, la fin de l'homme ?" (p. 40-52) juillet 1995.
- On a déjà vu des cas semblables où un virus désactivé redevenait actif et virulent en présence d'un autre. On ne peut éliminer ce phénomène, comme on ne maîtrise pas la radioactivité et ses effets sur nos gènes...
Sur la polémique initiale, les dessous des cartes, la thèse peu médiatisée de l'origine vaccinale du sida, je me réfère au livre du docteur Yves Daniel aux éditions du Dauphin (Déc. 1991): "Comment vivre jeune et plus longtemps" (par la prévention, la connaissance des dangers). Sachez-le, cet ouvrage n'est pas comme les autres. "Il se situe résolument hors des sentiers communs, des conditionnements collectifs et des a priori. Il ne triche pas et ne fait aucune concession hypocrite à la langue de bois habituelle... Il est accessible à tout esprit libre, ouvert et encore doté de bon sens."
Pourquoi le singe vert d'Afrique, infecté en permanence par le SIV ne développe-t-il jamais un SIDA ? ce virus serait inhibé par la protéine interleukine 16, d'après les chercheurs allemands. "SIDA, la nouvelle piste" (Sciences & Vie n°940 p.32, janvier 1996)
Février 2000 : Science & Vie, en se référant au livre de l'américain Edward Hooper, apporte une confirmation à ce que nous disions déjà depuis longtemps :
« Un journaliste américain lance un pavé dans la mare : le virus serait le fruit d'une manipulation malencontreuse lors de la mise au point d'un vaccin oral contre la poliomyélite. Administré à près d'un million d'Africains, c'est un vaccin antipolio cultivé sur des reins de chimpanzé qui serait à l'origine du SIDA. Où, quand et comment est apparu le redoutable virus du SIDA ? Dans l'ex-Congo belge, en 1958, où une campagne de vaccination servit de test in vivo au nouveau vaccin du Winstar Institut of Philadelphia, dirigé par Hilary Koprowski et Ghislain Courtois. On utilise encore des tissus animaux pour fabriquer des vaccins...»
..... CONTAMINATION VOLONTAIRE ?
SIDA : ACCIDENT OU EXPÉRIENCE ?
L'idée que le sida soit une expérience biologique n'est pas sans précédent.
Il y a des preuves que des agences gouvernementales ont, à maintes reprises, exposé des gens aux agents biologiques dans des expériences secrètes autorisées des gouvernements...
La plupart de ces "expériences" sont connues et notoires... Une de ces expériences a été exécutée sur des pauvres noirs d'Alabama, infectés par la syphilis. Cette expérience a été dirigée sous les auspices des Etats-Unis, du service public de santé pendant quarante ans (1932-1972)... selon une rumeur propagée par le KGB.
Depuis Juin 1981, le SIDA est devenu officiellement une nouvelle maladie, mais des rumeurs persistantes disent que le sida est une création humaine, une épidémie "volontaire", avec un virus intentionnellement introduit dans les milieux homosexuels américains et noir africains dans des buts "diaboliques".
Alors : "accident" de laboratoire ou expérience biologique machiavélique ?
Bien que beaucoup pensent que ce sont des idées de paranoïaques, il existe des gens qui soutiennent la théorie d'une "arme biologique" des USA.
La version "officielle" du virus du singe vert Africain n'explique pas comment un noir Africain hétérosexuel aurait pu transférer lui-même le virus chez un blanc homosexuel de Manhattan, ou comment le sida aurait pu commencer en Afrique et à New York en même temps. Et, comme toujours, interdiction de discuter la version officielle... alors que des rumeurs font penser que le sida a été introduit et propagé sur la planète dans des buts diaboliques. Un internaute m'a donné les explications suivantes :
Pour plusieurs raisons, les experts et la presse sont totalement silencieux sur certain faits qui ne correspondent pas à l'histoire "officielle".
Le SIDA, en Amérique, remonte à l'origine des expériences de vaccinations contre l'hépatite B, qui ont été exécutées sur des milliers de volontaires homosexuels entre les années 1978-1981.
L'expérience a commencé à Manhattan, en novembre, 1978, quand 1000 homosexuels et bisexuels ont été vaccinés avec un vaccin expérimental.
Pour l'expérience, les hommes devaient être jeunes, sains, de moins de 40 ans. La plupart des hommes choisis étaient blancs. Trois mois après l'expérience, à New York, le premiers cas de sida a été découvert chez un jeune blanc homosexuel de Manhattan.
En mars 1980, commencent des expériences de vaccinations similaires à Los Angeles, San Francisco, Saint Louis, Denver, et Chicago.
Fin 1980, un premier cas a été rapporté chez un jeune homme homosexuel, blanc, de San Francisco.
En août 1981, les 26 premier cas de SIDA ont montrés que tous étaient homosexuels ; 20 étaient de Manhattan ; 6 étaient de Los Angeles et San Francisco ; 25 étaient blanc ; l'âge moyen était de 39 ans ; et la plupart des "bien-instruits".
Ceci est essentiellement le profil épidemiologique des homosexuels qui ont été vaccinés dans l'étude sur l'hépatite B...
L'expérience a été dirigée par un chercheur, fait prisonnier par les russes durant la seconde guerre mondiale, et envoyé en Sibérie. Après la guerre, il a été médecin en Union Soviétique. Il est retourné en Pologne et, en 1969, il est parti pour New York, où il a travaillé comme technicien de laboratoire au centre du sang de New York.
En 10 ans, il est devenu professeur en épidemiologie à l'Université de Columbia, puis a été placé comme chargé d'étude pour l'hépatite dans les milieux homosexuels. Il lui a été permis de se retourner à Moscou, pour parler, en tant qu'expert sur l'hépatite. Il est décédé d'un cancer en 1982.
Dans la décennie qui a précédé l'apparition du sida, le virologue était occupé à apprendre à transférer des virus d'une espèce animale à une autre, afin de créer un virus qui pourrait détruire le système immunitaire. Le but était de créer artificiellement un cancer en laboratoire. Donc, sous couvert de recherches sur l'hépatite B, avec d'énormes subventions, des homosexuels ont été utilisés comme des animaux cobayes... Le fait est que les cas de sida en Afrique et à Haïti ont commencé à apparaître en même temps que les cas des homosexuels de Manhattan.