NAPOLEON et les femmes

Napoléon Bonaparte n'est galant avec les Femmes. Sa goujaterie est proverbiale.

Dans les salons, il n'hésite pas à apostropher les dames en ces termes : "Cette robe est sale, vous n'en changez donc jamais ?" ou encore "Quelle déception ! Dire que l'on m'avait assurer que vous étiez jolie ". Etant Empereur, personne n'ose lui répliquer, excepté la Duchesse de Fleury : s'approchant un jour vers elle Napoléon lui lance "Madame, aimez-vous toujours autant les hommes ?" s'attirant une réplique cinglante "Oui Sire, quand ils sont polis."

Un seul être trouve grâce aux yeux de Bonaparte : Letizia Ramolino sa mère. Pas question de tenir tête à cette femme qui n'a peur de rien ni de personne. Elle refuse de participer au couronnement de l'Empereur et de se soumettre à l'étiquette imposée par son fils, qui exige qu'on lui baise la main. Napoléon a beau tempêter, trépigner : "Mais, je suis l'Empereur" , il se verra répondre un superbe et dédaigneux : "Oui, mais vous êtes mon fils."

A cette époque : "la femme est notre propriété, nous ne sommes pas la sienne; car elle nous donne des enfants, et l'homme ne lui en donne pas. Elle est donc sa propriété comme l'arbre à fruit est celle du jardinier." La femme vit sous la tutelle du mari, qui peut l'envoyer en prison si elle commet un adultère. Un homme qui se trouve dans la même situation sera puni d'une simple amende. Idem pour le divorce : pour l'obtenir la femme doit établir que son époux a établi sa concubine au foyer commun.

Napoléon l'a proclamé sur tous les tons : "Les hommes sont faits pour le grand jour. Les femmes sont faites pour l'intimité de la famille et pour vivre dans leur intérieur." "Mieux vaut que les femmes travaillent de l'aiguille que de la langue, surtout pour se mêler des affaires politiques."

Cette misogynie de Napoléon se traduit dans tout les domaines : le code civil est rédigé en faveur de l'homme, l'instruction dans les lycées et universités est réservée aux hommes.

Cependant, Napoléon, tout misogyne qu'il était, accorda ses faveurs à biens des femmes :

Les femmes occupent une place importante dans la légende napoléonienne : elles contribuent à adoucir l’image du seigneur de la guerre triomphant sur les champs de bataille ; elles l’humanisent.

Désirée Clary

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fille d’'un négociant marseillais, fait la rencontre de Bonaparte, promu inspecteur général des côtes après le siège de Toulon. Les deux jeunes gens se fiancent le 21 avril 1795, malgré les réticences de la famille Clary : «J ’ai déjà bien assez d’ un Bonaparte dans ma famille !» s ’exclame la mère de Désirée. En effet, Julie, la sœoeur de Désirée, est déjà mariée avec Joseph Bonaparte.

Bonaparte, parti pour Paris après les fiançailles, entend précipiter le mariage et obtenir le consentement immédiat des parents de Désirée. Sa rencontre avec Joséphine de Beauharnais met un terme aux fiançailles.

Ce fut pour Napoléon, comme un remords, le souvenir de cet amour qu'’il avait inspiré plus sans doute qu'’il ne l’avait ressentie, il s’'était insensiblement laissé conduire à un projet d'’ambition, et enfin, sans y penser, il avait brisé ce cœoeur de jeune fille. Il semble que toute sa vie il ait pensé à racheter, à se faire pardonner cet abandon.

Joséphine de Beauharnais
JOSEPHINE APPORTE EN DOT A BONAPARTE LE COMMANDEMENT EN CHEF DE L'ARMEE D'ITALIE

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Marie Josèphe Rose Tascher de La Pagerie, dite Joséphine de Beauharnais, née le 23 juin 1763 aux Trois-Îlets en Martinique et décédée le 29 mai 1814 au château de Malmaison à Rueil-Malmaison, fut la première épouse de l’empereur Napoléon Ier de 1796 à 1809 et impératrice des Français et reine d’Italie de 1804 à 1809.

L'appellation Joséphine de Beauharnais est en réalité incorrecte. En effet, du temps de son mariage avec Alexandre de Beauharnais, elle se prénomme Marie Josèphe Rose. C'est Napoléon qui lui donnera le nom de Joséphine. On doit donc parler de Joséphine Bonaparte ou Marie Josèphe Rose de Beauharnais

Madame Marie Waleska

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Sous l’'empire l’'attachement de Napoléon envers Joséphine diminue considérablement du fait du souvenir de ces infidélités et de l’'absence d'’un héritier. Napoléon n’'hésite donc plus à la tromper.

Maria Łączyńska, plus connue sous le nom de Marie Walewska (parfois orthographié « Waleska ») (7 décembre 1786 en Pologne - 11 décembre 1817 à Paris, France), fut l'une des maîtresses de Napoléon Ier1, appelée également « la femme polonaise » de Napoléon.

À l'automne 1806, Napoléon Ier occupe le territoire polonais.
C'est le 1er janvier 1807, lors du passage de l'empereur au relais de Blonie, que Marie Walewska aurait rencontré Napoléon pour la première fois. À midi, le lendemain, une voiture s'arrêta devant l'hôtel des Walewski. Duroc, le grand maréchal du palais, en descendit, portant un gigantesque bouquet de fleurs et une lettre sur un épais parchemin, fermée du sceau vert impérial.

« Je n'ai vu que vous, je n'ai admiré que vous, je ne désire que vous. [...] » « N » Marie fit répondre à Duroc qu'il n'y aurait pas de réponse. D'autres lettres enflammées suivirent..
Elle finit par accepter (avec l'accord de son mari) de devenir sa maîtresse. Ils poursuivent leur liaison au château de Finckenstein en Prusse-Occidentale. L'« idylle » printanière du couple (d'avril à juin) dans le lointain château de Finckenstein est un moment unique et entièrement inattendu dans la vie de Napoléon, une période qui le vit déployer ce qu'un historien de cette période de sa vie appela une « énergie miraculeuse ».

Marie-louise d'autriche

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Marie-Louise d'Autriche (Maria Ludovica Leopoldina Francisca Theresa Josepha Lucia de Habsbourg-Lorraine), archiduchesse d'Autriche, princesse de Hongrie et de Bohême, née le 12 décembre 1791 à Vienne (Autriche) et morte le 17 décembre 1847 à Parme (Italie), est impératrice des Français de 1810 à 1814, puis duchesse souveraine de Parme, Plaisance et Guastalla jusqu'en 1847.

Fille aînée de l'empereur François Ier d'Autriche, elle est donnée en mariage en 1810 à l'empereur des Français et roi d'Italie Napoléon Ier pour sceller le traité de Schönbrunn entre la France et l'Autriche, après la défaite de celle-ci lors de la bataille de Wagram en 1809.

Rejoignant à contrecœur la cour impériale des Tuileries, Marie-Louise commence rapidement à apprécier sa nouvelle position bien que les Français ne l'aiment pas et qu'elle ne se sente pas chez elle dans ce pays qui, vingt ans auparavant, a décapité une autre archiduchesse autrichienne, sa grand-tante Marie-Antoinette.

Quand Napoléon est vaincu par la sixième coalition, Marie-Louise décide de ne pas le suivre dans son exil à l'île d'Elbe, mais rentre avec son fils à la cour de Vienne. À l'issue des Cent-Jours et de la défaite décisive de Napoléon à Waterloo, l'impératrice, pour mieux défendre les intérêts de son fils, décide de rester fidèle à sa famille d’origine, les Habsbourg-Lorraine. Le congrès de Vienne lui accorde, en 1815, les Duchés de Parme, Plaisance et Guastalla. Elle n'a alors que 24 ans.

Durement critiquée par les Français pour avoir abandonné Napoléon au moment de la débâcle, Marie-Louise, qui gouverne pendant une période troublée, réussit en revanche, par une politique éclairée et sociale étroitement surveillée par l'Autriche, à être très aimée des Parmesans qui l'appellent « la bonne duchesse ».







secrets d'histoire incomplet malheureusement.... (en recherche)

Napoléon fut un grand homme et evidement est devenue une legende.
On a dit et ecrit beaucoup de choses sur lui, certaines vraies, d'autres beaucoup moins, mais le mystere a embellit encore un peu plus l'Homme.

Intéressant, merci, mais le misogyne voulant les femmes fidèles à la maison a été bien mouché par Joséphine qu'il a toujours aimé parait-il, et qui n'a cessé de lui faire des cornes à ne plus passer sous les portes.

le pauvre. Oui ca abime la légende ca....  

NAPOLEON a été un grand homme selon l'histoire officielle ... je crois qu'officieusement c'était un "petit" complexé qui se surpassait pour paraître plus grand ...
Un "vat en guerre" qui prônait l’enrôlement de force ( dans certains lieux on l'appelait le tyran)
Heureusement il a su se faire accompagner par des gens intelligent
alors pourquoi pas un mysogine ... ça colle bien au personnage.

oui Ecni, son complexe d'inferiorité y etait pour quelque choses dans sa grandeur