Décidément, on n'arrête plus les scandales!
Je crois que c'est l'acteur Bernard Giraudeau qui avait fini par renoncer aux traitements chimiothérapiques car trop lourds. Je ne crois pas qu'il les mettait en cause dans leur efficacité mais il était fatigué de l'ingérence de ces traitements dans son corps.
Sinon, dans un registre encore plus glorieux, il y a les témoignages des médecins eux-mêmes trouvés sur ce site :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]"La Santé, parlons-en, saviez-vous que des enquêtes et des questionnaires
montrent que trois docteurs sur quatre (donc 75%) refusent toute chimiothérapie
sur eux-mêmes, en cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie
et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain.
Voici ce que de nombreux docteurs et scientifiques ont à dire à propos de la
chimiothérapie :
“La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause
de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon
ou des poumons. Cela été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins les
docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces
tumeurs.”
(Allen Lewin, MD, UCSF, “The Healing of Cancer”, Marcus Books, 1990)
“Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un certain
modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les patients du cancer qui se
tiennent éloignés de ces centres ont une certaine chance de s’en sortir.”
(Prof. Georges Mathé “Scientific Medecine Stymied”, Médecines Nouvelles,
Paris, 1989)
“Le Dr Hardin Jones, conférencier à l’université de Californie, après
avoir analysé pendant de nombreuses décennies les statistiques de survie au
cancer, est parvenu à cette conclusion : “ ... Quand ils ne sont pas
traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux.” Les
conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées”.
(Walter Last, “The Ecologist”, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)
“De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous
les types de cancer, avec une foi qui n’est même pas ébranlée par des
échecs presque constants.”
(Albert Braverman, MD, “Medical Oncology in the 90s”, Lancet, 1991, vol.
337, p. 901)
“Nos prescriptions les plus efficaces sont très risquées, ont des effets
secondaires et comportent des problèmes pratiques, et après que tous les
patients que nous avons traités ont payé leur dîme, seul un minuscule
pourcentage d’entre eux est remboursé par une période éphémère de
régression tumorale et généralement partielle.” (Edward G. Griffin,
“World Without Cancer”, American Media Publications, 1996)
“Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n’y a aucune
preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c’est le
grand mensonge de cette thérapie, qu’il y a une corrélation entre la
réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient.”
(Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”,
Credence Publications, 2000)
“Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du Cancer Mac Gill ont
envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour
déterminer le niveau de confiance qu’ils avaient dans les thérapies qu’ils
appliquaient; on leur a demandé d’imaginer qu’ils avaient eux-mêmes
contracté la maladie et laquelle des six thérapies expérimentales actuelles
ils choisiraient. 79 docteurs ont répondu, 64 d’entre eux ont dit qu’ils ne
consentiraient pas à subir un traitement contenant du cis-platine - un des
médicaments chimiothérapeutiques communs, tandis que 58 sur 79 croient que
toutes les thérapies expérimentales ci-dessus ne sont pas acceptables en
raison de leur inefficacité et du niveau élevé de toxicité de la
chimiothérapie.”
(Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”,
Credence Publications, 2000)
“Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des
tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive
les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la
chimiothérapie: “ ... Abel a découvert que le taux global mondial de
résultats positifs résultant de la chimiothérapie était effrayant, parce
que, simplement, nulle part nous n’avons de preuve scientifique à notre
disposition démontrant que la chimiothérapie est capable de “prolonger
d’une manière appréciable la vie des patients affectés par les types les
plus communs de cancer des organes.” Able met en lumière le fait que rarement
la chimiothérapie améliore la qualité de vie, il la décrit comme désolante
du point de vue scientifique et maintient qu’au moins 80% des chimiothérapies
administrées dans le monde sont sans valeur. Mais, même s’il n’y a pas de
preuve scientifique, quelle qu’elle soit, que la chimiothérapie marche, ni
les docteurs ni les patients ne sont préparés à l’abandonner.”
(Lancet, Aug. 10, 1991)
“Aucun des principaux media n’a jamais mentionné cette étude exhaustive;
elle a été complètement enterrée.”
(Tim O’ Shea, “Chemotherapy - An Unproven Procedure”) “Selon les
associations médicales, les effets secondaires notoires et dangereux des
médicaments sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après
l’infarctus, le cancer et l’apoplexie.”
(Journal of The American Medical Association, april 15, 1998)"