Derrière le rideau de WALT DISNEY et des contes pour enfants

L'air de rien, la société Disney actuelle prolonge les idées de son fondateur - un luciférien avéré - et contribue activement à propager la pensée magico-sataniste qui prépare l'instauration de l'Ordre Mondial qui vient (un néo-fascisme antichristique)

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Certains films WD plus que d'autres recèlent des messages subliminaux pour banaliser le sexe chez les enfants.

LA PETITE SIRENE
LA BELLE ET LA BETE
LE ROI LION
BERNARD ET BIANCA
ALLADIN
...


mais pas seulement, d'autres dessins animés pour enfants aussi

ASTERIX ET LES INDIENS
LES SIMPSONS
BOB L'EPONGE
...



et bien sur , les contes pour enfants :

LE PETIT CHAPERON ROUGE
ALICE AUX PAYS DES MERVEILLES
...




Ces scènes, vous les avez forcément vues étant enfant. À l’époque rien ne vous choquait. Mais aujourd’hui, vous les découvrez avec le regard pervers de l’adulte que vous êtes devenu….et là, les choses prennent une toute autre dimension ! Attention, dites au revoir à votre candeur et votre innocence…

Spoiler:

Il y a de multiples symboles dissimulés dans les dessins animés de WD
comme LES HIDDENS MICKEY

MAIS QU'EST CE QU'UN HIDDEN MICKEY ?

Le premier Hidden Mickey fut recensé en 1989 par Arien Miller. Celui ci écrivait un article pour "WDW’s Eyes and Ears" (les yeux et les oreilles de Walt Disney World ) qui est une publication hebdomadaire destinée au castmembers (les employés Disney) du parc
Depuis le principe des Hidden Mickey a évolué.
D'abord les ingénieurs cachent à présent les formes d'autres personnages de Walt Disney dans les parcs comme Donald, Dingo, ... Mais la majeure innovation en matière de Hidden Mickey est la transposition du principe aux dessins animés de Walt Disney. Regardez-les bien et vous verrez apparaître cachés dans les images des têtes de mickey

Par extension on appelle aussi Hidden Mickey tous les personnages de Disney qui font une brève apparition dans un dessin-animé alors que ce n'est pas le leur (comme Sébastien (le crabe de "La Petite Sirène") dans "Aladdin").



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Et oui, pour tout ceux qui croyait que Disney était loin de tout ces problèmes liés au sexe, je vous annonce que vous vous trompez ! Et oui, Disney et le sexe ont parfois été liés ! Certes ni franchement ni à la vue de tout le monde (quoi que) mais bon, les images sont là, Info ou intox, après, c'est à vous de juger

Il est judicieux de préciser que si ces images sont là, c'est qu'il y a eu complicité entre plusieurs membres de l'équipe d'animation. En effet, il faut que le dessinateur fasse le dessin, que les coloristes le mette en couleur et que le "photographe" le prenne en photo. Toutes ces personnes savent donc que les dessins sont là mais doivent se taire pour que personne ne s'en aperçoive. Mais la question est pourquoi font ils ça ?

Premier derapage

Lorsque Disney à sortit un grand classique (c'est énervant car je ne retrouve pas duquel il s'agit !), la firme recherchait des cassettes vidéos pour y enregistrer le film et le vendre. Or, a cette date, une production de film X a fait faillite. Disney à donc saisit l'opportunité et a racheté le stock de K7 afin d'y enregistrer le long métrage. Seul problème, c'est que lorsque la firme a effacé les films X présent sur les K7 pour y mettre le dessin animé, ce dernier n'était pas assez long pour recouvrir l'ancien film ... Par conséquent, lorsque les personnes laissaient défiler la K7 à la fin du long métrage, ils tombaient sur quelque chose qui n'avait absolument rien à voir avec Disney car il tombait sur le film X

Résultat, des millions de K7 rappelées afin de remédier à ce problème ... OUPS !

Le Petit Chaperon Rouge : conte pédophile


Le conte est moins une mise en garde contre un animal qui dans certaines circonstances peut être dangereux (le loup) qu'un avertissement au sujet des prédateurs sexuels (qui n'ont pas attendu le XXIe siècle pour exister !).

Il s'agit en réalité d'un conte pour "pédophiles", d'autant plus odieux que le pervers sexuel parvient à ses fins sans être inquiété. De là se dégage un profond malaise.

Car il ne s'agit point ici d'interprétation symbolique ou psychanalytique : l'insistance sur la beauté de la petite fille ("la plus jolie qu'on eût su voir"), les mises en garde non pas contre le loup en tant qu'animal représentant un danger physique mais contre la prédation sexuelle qui naît de la séduction verbale.

"La pauvre enfant qui ne savait pas qu'il est dangereux de s'arrêter à écouter un Loup",

Le fait que le loup ne se jette pas sur la fillette dès qu'il la voit (ce qu'il fait pourtant avec la grand-mère...) mais qu'il lui demande de le rejoindre dans le lit ("viens te coucher avec moi", "le petit chaperon rouge se déshabille"...), tout est malheureusement très explicite, jusqu'à la moralité qui achève de dissiper les doutes s'il y en avait encore : "On voit ici que de jeunes enfants, / Surtout de jeunes filles / Belles, bien faites, et gentilles, / Font très mal d'écouter toute sorte de gens.

Tout le récit jusque dans ses moindres détails annonce et accompagne le viol d'une enfant.


La partie narrative du conte  se termine sur le mot "mangea" qui métaphorise le crime sexuel.

"si je t'attrape, je te mords" disait, par exemple, un slogan publicitaire dans lequel la connotation sexuelle ne faisait aucun doute.

La teinte évoque bien sûr le sang qui sera versé, celui de l'hymen à jamais perdu.

Car ce qui se joue est peut-être plus grave que la mort : la perte définitive de l'innocence.

On ne s'étonnera donc pas que la fillette fasse remarquer la grande taille des différentes parties corporelles du loup ("ma mère-grand, que vous avez de grands/grandes...") au lieu de leur forme, couleur ou pilosité...


Il s'agit bien d'une mise en scène terriblement perverse, parce que présentée sur le mode ludique d'une situation où une petite fille est fascinée par la découverte sexuelle du corps d'un homme adulte.


Rien d'étonnant non plus à ce qu'au cours de son trajet vers la maison de sa grand-mère la fillette joue avec des "noisettes" (!), des papillons et "des petites fleurs" (elle qui va perdre la sienne : être déflorée)...

Nous sommes tous facilement fascinés par la monstruosité et l'horreur. Nous en percevons plus ou moins consciemment toute la noirceur et toute la bassesse, ce qui est révoltant est que l'on lise cette histoire de pédophile à de jeunes enfants.
et pourtant ca ne choque personne.....


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Alice au pays des merveilles : conte pédophile


Alice au pays des merveilles. Comment pourrait-on se méfier d'un tel titre ? Un prénom féminin aux douces sonorités, associé à une utopie riante, cela nous ramène au monde innocent de l'enfance. Pas si sûr. Nous évoluons dans une forêt dense de symboles sans y prendre garde. Surtout ne pas quitter le chemin balisé sous peine d'être surpris ou horrifié. Non, cela ne se peut. Le monde est forcément ce que j'en vois, ce qu'on m'en dit. Et si ?... Quittons un peu le parcours fléché. Faufilons-nous entre quelques arbres pour voir s'ils cachent d'autres chemins...  

Tout d'abord, rappelons que la première version (celle de 1864) s'intitulait Alice's Adventures under Ground (Les Aventures d’Alice sous terre). Sous terre, c'est le monde chtonien, infernal. Il s'agit donc de ce que les pseudo-psy nomment "une plongée dans l'inconscient". La connaissance nécessite une descente aux enfers - sans connotations chrétiennes - comme celle pratiquée par les grands héros initiés Ulysse, Orphée, Hercule. Or, en l'occurrence, l'oeuvre met en scène une petite fille qui va suivre un parcours initiatique fondé sur la catabase et l'inversion (procédé satanique de base).

Qui est l'auteur de ce qui sera ensuite - en 1865 - intitulé Alice in Wonderland (Alice au pays des merveilles) ?  

Vous pensiez peut-être qu'il s'agissait de Lewis Carroll. Eh bien non, en fait c'est un certain Charles L. Dodgson. Bon, c'est vrai, il faut admettre que c'est presque le même homme puisqu'il s'agit de son pseudonyme. Il n'empêche : premier masque...

Qui est Alice ?

C'est une petite fille bien réelle, prénommée elle aussi Alice, qui inspira le romancier : Alice Liddell. (Elle est à droite sur la photo ci-contre, en compagnie de ses soeurs.) Une petite fille inspiratrice d'un romancier et qui n'est pas sa fille, le cas est fort rare, mais pourquoi pas ? C'est qu'ils devaient être suffisamment proches.  


Au moment de la photographie ci-contre, prise par Lewis Carroll lui-même, Alice avait six ans, lui en avait vingt-six... Il a déchiré ses habits pour la "déguiser" en mendiante, en fille des rues. Mise en scène inconvenante, pour cette étrange "séance photo" entre une fillette et un photographe de vingt ans son aîné. Sans extrapoler, en s'en tenant uniquement aux données factuelles, et pour user d'un euphémisme, disons que les relations entre Alice et Charles étaient "inappropriées". Wikipédia admet, je cite : "Il fut toute sa vie attiré par le charme des petites filles." Que ces choses-là en termes élégants sont dites...
au-delà de ce que la morale tolère et qu'Alice au pays des merveilles n'est pas un simple roman de littérature enfantine mais un texte symbolique crypto-pédophile, vous vous trompez lourdement. Je ne l'insinue pas. Je l'affirme. Et l'horreur ne s'arrête pas là ; elle ne fait que commencer...

D'ailleurs, la chose est tellement avérée (bien que certaines lettres et photographies de Carroll aient été brûlées ou qu'elles aient opportunément disparu...) qu'Alice est devenu un nom de code pour tous les pédophiles. Le 25 avril est la date de la journée internationale des pédophiles - du moins ceux qui se sentent attirés par les petites filles. Oui, vous avez bien lu. Cette "fête" s'appelle le Girl Lover Day mais elle est plus connue sous le nom... d'Alice Day ! Quant à la date retenue du 25 avril, elle ne doit rien au hasard puisqu'elle correspond à celle de la rencontre entre Alice Liddell et Lewis Carroll...

Walt Disney - dont le vrai visage a fait l'objet d'un article récent -, pervers luciférien, était fasciné par Alice (tout à la fois par l'oeuvre littéraire, la fillette et la relation enfant/adulte.) C'est pourquoi il n'a eu de cesse de moduler sur ce thème pendant toute sa carrière

L'Alice de Disney s'appelait Virginia (soit, étymologiquement, "vierge" !) Davis.

Que ce soit Alice elle-même, court vêtue, dans des situations équivoques, ou bien les décors qui évoquent clairement des parties anatomiques intimes, les références explicitement ou implicitement érotiques fourmillent et saturent les oeuvres de Disney dont Alice constitue le fil directeur plus ou moins visible. Il n'est donc pas étonnant que les studios Disney soient récemment encore à l'origine d'une nouvelle adaptation de l'histoire - mise en scène par Tim Burton. La mise en images s'adapte à l'époque mais le message demeure fondamentalement le même. Et il est à vomir.


Mais revenons un instant à Lewis Carroll. Il faisait partie de la société secrète/discrète de théosophie, comme Lyman Frank Baum, auteur lui aussi... d'un classique de la littérature enfantine : Le Magicien d'Oz (1900). Les points communs sont très nombreux entre les deux oeuvres : la jeune héroïne doit "suivre le lapin blanc" (repris dans Matrix) ou "la route de briques jaunes" (follow the yellow brick road). Dans Alice aux pays des merveilles, comme dans Le Magicien d'Oz, le principe est le même : c'est en réalité un "modèle" de manipulation mentale qui vise à produire la dissociation, la confusion mentale réel/imaginaire sur laquelle se greffent ensuite les thématiques pédomaniaques. Il s'agit d'annihiler les défenses naturelles et instinctives de l'enfant vis-à-vis d'un acte contre nature. Ensuite l'enfant sexuellement abusé doit croire qu'il ne s'agit que d'un (mauvais) rêve et qu'il lui faut continuer sa route.

De nos jours, Le Nouvel Ordre Mondial a besoin d'esclaves sexuelles jeunes et dévouées, de schizophrènes nymphomanes, de Lady Gaga dont le nom dit suffisamment le vertige de l'abrutissement. Rien n'est réel, assène-t-on sans cesse aux gosses et au monde entier, tout n'est qu'illusion ; nous nous débattons en vain dans une gigantesque matrice, alors autant se laisser faire, se Lucifer...

On n'en finirait plus de recenser les films qui visent à faire accepter l'inacceptable, qui familiarisent le grand public avec les symboles et thèmes les plus noirs du monde infernal. Ne nous y trompons pas, Le Monde de Narnia ou Le Labyrinthe de Pan - pour n'en citer que deux - ne sont pas des films de "divertissement" mais des oeuvres de propagande ouvertement pédophiles et sataniques. Et public et critiques d'applaudir...

Après tout, ce n'est que le diable baisant une gamine...







Que cela plaise ou non, que vous soyez d'accord ou non, ceptique ou non, révolté ou non, nous sommes désormais entrés dans l'ère des secrets et du mystère.
On ne peut rien prendre au premier degré, partout des symboles sont cachés.

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Depuis trois quarts de siècle, tous les enfants de la planète grandissent avec Disney. C'est presque un membre de la famille. Les gamins du monde entier connaissent les personnages, les films.

  "C'est à ses fruits qu'on reconnaît l'arbre" et cet arbre est méchamment pourri !

En fait, et ce dès l'origine, la société Disney poursuit deux buts principaux (en plus de celui de faire un maximum de bénéfices il va sans dire) : éradiquer toute pensée chrétienne en assurant la promotion du panthéisme, de l'occultisme, de la sorcellerie et "éveiller" la sexualité des enfants afin de servir de jouets aux pédophiles. Toutes les techniques de manipulation mentale et de conditionnement subliminal (visuel et auditif) sont utilisées avec une redoutable efficacité. Tout le secteur participe à l'offensive. Depuis ça...  

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C'est ce "brave" monsieur Tumnus du Monde de Narnia en compagnie de Lucy. Le faune/satyre sert de rabatteur de gibier pour la sorcière blanche. De là à dire qu'en réalité Tumnus est le dieu païen Pan, divinité sexuelle et avatar diabolique (cornes, sabots, pilosité, lubricité...), qui cherche à familiariser les jeunes spectateurs avec l'idée de pédophilie, il n'y a qu'un pas... Et il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour nier l'évidence !...

Mais il ne s'agit pas seulement d'induire l'idée exécrable de pédomanie, Disney y ajoute une monstruosité sexuelle : la bestialité, qui plus est diabolique ! Toute la séquence est glauquissime jusque dans les moindres détails. Ainsi, plusieurs symboles phalliques sont utilisés pour rappeler la nature érotomane du faune : depuis la façon étrange et tendancieuse dont il tient son parapluie jusqu'à son doigt pointé vers Lucy, fascinée.

Que voilà une curieuse scène pour un jeune public : un demi-homme nu, dans une grotte, seul à seule avec une petite fille intriguée. Le satyre verse trop étrangement pour que cela ne soit pas significatif son lait-semence dans la tasse de l'enfant... avant qu'elle ne soit victime d'un enchantement musical. Ellipse. Elle se réveille. Que s'est-il passé pendant son sommeil artificiel ?... La séquence impose une lecture crypto-pédomane odieuse.

Mais le plus insupportable est peut-être que cela ne choque personne...

Tout cela vient d'un certain Walter Elias Disney, serviteur de Lucifer. Quand je pense que certains en sont encore à se tripoter pour savoir si oui ou non il était FM ou membre d'une société secrète !... Il suffit de regarder ses films d'animation. Il n'y en a pas un seul issu de son studio qui ne fasse pas d'une façon ou d'une autre l'apologie de la sorcellerie. Il y a toujours des magiciens, des sorcières, des sortilèges, des références à la drogue ou aux états de conscience modifiée.

Dans ses films d'animation, Disney utilise souvent l'expérience traumatique afin de manipuler les représentations mentales de l'enfant : au lieu de privilégier la famille et le lien maternel, on fait mourir la mère très vite (Dumbo, Bambi, etc.) ou l'on met en scène un orphelin, afin de faire perdre à l'enfant les repères affectifs habituels rassurants ; ensuite, sur ce terrain propice car fragilisé émotionnellement, on s'emploie à faire passer le message souhaité...

Voila pour les bases de cet article qui soulève un point délicat.
Quand pensez vous ?
j'attends vos commentaires pour rebondir et échanger nos ressentis....

a tout de suite

Je t'avoue que c'est plutôt convaincant. Et assez terrible à la fois!

On trouve beaucoup de choses sur le sujet. Attention ! si internet reste une source libre d'expression, elle n'en est pas moins sujet a caution de part justement cette liberté, ou tout le monde peut écrire n'importe quoi.... Mais des livres ont été édités et parlent de ce problème.
J'avoue que je ne sais pas quoi en penser.
je regarde, j'observe, j'attends d'etre pleinement convaincue. pour l'instant je ne me prononce pas

Moi aussi, j'ai lu et vu ici ou là des choses de ce genre. C'est tellement bien argumenté qu'on a du mal à trouver quelque chose à rétorquer

Oui . mais ne serait se pas la aussi, un danger ?
il ne faudrait pas condamner pour avoir juger trop vite ou sous de fausses impressions .

Je ne me prononce pas non plus, comme je l'ai déjà dit ailleurs, quand on cherche absolument quelque chose, on le trouve!

Je suis d'accord aussi mais on ne me fera pas croire que plusieurs dessinateurs se sont penchés sur la robe de Minnie sans qu'aucun ne remarque sa forme phallique... et que ça ne ressemble pas du tout à une poitrine normalement formée.

absolument d'accord
Mais alors pourquoi ?

on en revient a la meme chose....

Tiens, on a soulevé un lièvre  

Je ne sais pas, peut-être un jeu entre eux. A la fin de l'année, celui qui aura retrouvé le plus de dessins obscènes dans le travail des autres aura un cadeau? :roll: 

 et celle ci , si je la bizouille , elle va se transformer en Prince ? tu crois ?  

Déjà elle est obscène, elle tire la langue, bien rouge en plus!  

 Triskel a raison, qu'en on cherche, on trouve  

Exactement!  

 On peut en voir même dans les émoticones, ces jolies fesses qui s'offrent par exemple, obscène???

Cet émoticône a au moins le mérite d'être clair  

Ces signes subliminaux semblent être présent mais je ne sais pas si ça a autant d'impact sur les enfants. J'ai grandis avec ces dessins animés, vous les connaissez aussi, et je n'ai pas l'impression que ça ai chambouler mon comportement d'enfant. Je veux dire je ne suis pas une nymphomane, ni une adepte du satanisme etc.. je ne renie pas la possibilité que ça infecte éventuellement des enfants. Enfin je reste partagée..

C'est exact, la question reste posée, pourquoi tout ça? La suggestion qu'il s'agisse d'œuvres tramées par et pour des pédophiles me laisse perplexe..

la jeunesse s'en trouve t elle modifiée.
nos jeunes (garcons et filles) sont ils plus sataniques, ou plus obsédés qu'on ne l'etait ou que nos parents l'etaient ?
plus violents, ca c'est sur, mais pour le reste. Ce sont les médias qui mettent du sexe partout.
les jeunes le subissent et cela modifie les relations garcons-filles et plus tard hommes-femmes, ca je le pense.
moins de respect des femmes.
mais au dela ?

Ce que tu dis peut venir de bien d'autres raisons que des dessins animés non?

je ne pense pas qu'il y ai beaucoup de gens dans nos pays "modernes" qui n'aient vu au moins 1 de ces dessins animés ou lu des livres imagés de ces histoires, donc la pédophilie devrait aujourd'hui être vue comme normale dans nos sociétés ce qui n'est pas le cas, et je me dis que le type qui a mis une image porno dans Bernard et Bianca est peut-être    de voir tout le tintoin qu'il a provoqué, lui qui voulait juste faire marrer ces potes, non?
ps: je cherche toujours le mot SEX derrière Bambi

C'est horrible, quand je pense que ma petite soeur de 2 ans regarde des walt disney :O
J'avais trouvé un sujet sur ça justement, je sais plus trop où.

Comme je l'ai déjà dit les enfants ne voient pas ce genre de choses, même moi je ne les vois pas, alors il ne faut surtout pas leur mettre ça dans la tête!

Ouais c'est sur, ils savent pas encore ce que c'est à cet âge là, mais ce qui me dérange c'est de donner du fric à ces gens là :)

bien sur , c'est comme l' illusion d'optique qui propose
des dessins de dauphins. Les enfants et les certaines personnes voient DES DAUPHINS, alors que les autres voient : un couple.
le cerveau réagit a ce qu'il voit, mais s'adapte a chaque personnalité et évolue (ou pas) avec les années....

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j'avoue que la, moi j'avais pas vu les poissons en premier