La médecine chinoise traditionnelle est fondée sur une théorie du fonctionnement de l’être humain en bonne santé, d’un point de vue physiologique, psychologique, anatomique, etc. Elle tente également d’expliquer les causes des maladies et les mécanismes biologiques et psychiques qui en sont les conséquences. La médecine chinoise cherche à comprendre l’être humain dans son ensemble, aussi bien sain que malade, tant du point de vue des symptômes visibles qu’invisibles, par une gestion de l’équilibre de l’énergie interne appelée Qi ou Tchi. C’est une médecine dont l’élaboration est généralement datée de 3000 ans avant J-C.
signatures fréquentielles
Pour la pharmacopée chinoise les premiers écrits médicaux attestés apparaissent dans le Zuo Zhuan composé au début du Ve siècle av. J.-C., avant d’être écrite, elle se transmettait oralement de façon ésotérique. Cette culture s’imprègne de tous les systèmes de connaissance, dont la médecine et l’alchimie, associant, par exemple, un organe à un point cardinal, une saison, un goût, et l’utilisation et la pratique de techniques respiratoires, de la culture physique et de la sexologie et bien sûr de tout un cortège de plantes.
Là aussi nous retrouvons des plantes connues pour leurs principes actifs spécifiques pour un organe ou une fonction, mais aussi des plantes qui ne possèdent simplement qu’un tropisme particulier lié à un organe ou une fonction…
Il existe donc bel et bien une connaissance ancestrale commune dans une utilisation particulière du monde végétal, mais aussi des autres règnes et qu’il est possible de retrouver aujourd’hui.
Un exemple parmi tant d’autres : Hildegarde de Bingen propose un aliment qui nourri le cerveau et qui améliore et corrige les pathologies de dégénérescence de cet organe : la châtaigne. Les signatures fréquentielles de la maladie d’Alzheimer correspondent exactement aux séquences fréquentielles de la châtaigne proposée par Hildegarde dans le traitement des problèmes du cerveau. À noter que la châtaigne a été supplantée par la pomme de Terre au XVIIe siècle, qui elle, non seulement ne nourrit pas le cerveau mais l’handicape dans ses fonctions cognitives comme le soulignent les anthroposophes.
À la lumière de cette approche on constate qu’il y a un lien tangible qui relie l’ensemble du vivant, ce lien est de nature fréquentiel et il existe un principe de résonance qui met en relation des minéraux, des pierres précieuses, des plantes, ainsi que le monde animal et humain. Cela correspond aux interactions permanentes qui existent dans la grande symphonie du vivant et que découvre aujourd’hui la Physique Quantique et que connaissent les Shamans des différentes traditions. Ce lien ne peut exister que si l’on considère l’ensemble du vivant comme étant doué d’intelligence et que ces formes d’intelligences peuvent s’exprimer dans des modélisations différentes de notre façon d’appréhender l’intelligence chez nous les humains.
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