Une explosion nucléaire en 2000 av. J.-C. découverte au Pakistan
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Sujet: Une explosion nucléaire en 2000 av. J.-C. découverte au Pakistan Mar 1 Aoû 2017 - 13:27
Une explosion nucléaire en 2000 av. J.-C. découverte au Pakistan
Mohenjo-Daro, littéralement le Mont des morts, est une ville de la vallée de l’Indus. Elle est un grand mystère pour la science. Ses ruines trouvées dans le sud du Pakistan semblent avoir été exposées à une chaleur extrêmement élevée, possible uniquement lors d’une explosion nucléaire.
1927, cinq ans après la découverte des ruines de Mohenjo-Daro au Pakistan, 44 squelettes humains ont été trouvés à la périphérie. La plupart d’entre eux étaient face à la terre sur la route et se tenaient la main, comme si une terrible catastrophe avait soudainement surgi dans la ville. Un niveau très élevé de radioactivité à certains endroits du site archéologique a aussi étonné les experts.
Certains des squelettes dépassaient de cinquante fois le niveau radioactivité normal d’après les mesures les scientifiques russes. Les scientifiques croient que Mohenjo-Daro est une manifestation évidente d’une catastrophe nucléaire qui auraient eu lieu 2000 ans av. J.-C.
Roches en fusion à Mohenjo-Daro
On a découvert dans la ville, des roches devenues complètement liquides sur une zone de 45 mètres. L’auteur de cette découverte, David Davenport, l’a rapporté en 1979 dans son livre « Destruction atomique en 2000 av. J.-C. » La roche s’est transformée en magma liquide par la chaleur, puis a fondu en verre. Ces verres ont été découverts dans certaines parties du site archéologique. Des poteries et des murs ont également été liquéfiés. Davenport suppose qu’une grande explosion nucléaire s’est produite sur le site, provoquant la mort des habitants de Mohenjo-Daro.
Mohenjo-Daro a-t-elle vraiment été détruite par une explosion nucléaire ? Cela soulève la question de savoir si les hommes avaient les connaissances technologiques nécessaires à cette époque.
Comme les anciens textes indiens l’ont décrit, cette localité aurait pu être victime de conflits armés entre des villes technologiquement très avancées. À une certaine époque, trois grandes villes auraient été en orbite autour de la terre. Ces villes étaient décrites comme étant constituées de métal brillant et de fer. Mais à un certain moment ces trois villes se sont fait la guerre. Les textes indiens parlent de dieux qui se seraient jetés avec des armes les uns contre les autres, ce qui a provoqué la destruction de ces villes et le feu est venu à pleuvoir sur terre.
Comme il est indiqué dans l’ancien manuscrit indien Bahadva Gita, une « brûlante fumée blanche d’un éclat infini s’est élevée dans les airs ». Cela a réduit la ville en cendres, des milliers de chevaux ont été brûlés et des corps vaporisés par la chaleur intense. Puis, toujours selon l’ancien manuscrit, il y eut un grand calme sur le pays et les gens ont commencé à avoir des cloques partout sur la peau, leurs cheveux sont tombés ainsi que les ongles des doigts et des orteils.
De mystérieux écrits locaux mentionnent également une cérémonie de remerciement de sept jours car 30 000 habitants auraient été sauvés d’une « terrible fin » par des véhicules volants (appelés Vimana). Est-ce que cette tradition a un lien avec cette catastrophe ?
Que s’est-il donc réellement passé, nous ne pouvons pas le savoir. Mais Mohenjo-Daro n’est pas la seule ville supposée avoir été victime d’une catastrophe nucléaire. Des pierres et des briques fondues ont été trouvées dans de nombreux bâtiments anciens. Ces faits intriguent encore les scientifiques.
D’anciens forts et des tours en Écosse, en Irlande et en Angleterre ; la ville de Catal en Turquie ; Alalakh dans le nord de la Syrie ; des villes entre le Gange en Inde et les collines de Rajmahal, et les zones du désert Mojave aux États-Unis montrent de la même manière des signes de catastrophes nucléaires semblables à Mohenjo-daro.
Du verre dans le désert : ce qui signifie 1800 degrés Celsius ?
Sept ans après les essais nucléaires à Alamogordo au Nouveau-Mexique, le Dr J. Robert Oppenheimer, le père de la bombe atomique, a donné une conférence dans une université, et un étudiant a demandé si on avait déjà fait des essais nucléaires aux États-Unis avant Alamogordo. « Oui, dans les temps modernes, » a-t-il répondu.
Cette phrase, énigmatique et incompréhensible à l’époque, était en fait une allusion aux anciens textes hindous qui décrivent ces catastrophes de proportions apocalyptiques. Mais elles ne semblent avoir aucun lien avec des éruptions volcaniques ou d’autres phénomènes connus. Oppenheimer, qui a étudié avec passion le Sanskrit, faisait allusion sans doute au passage de la « Bhagavad Gita » qui décrit une catastrophe mondiale déclenchée par « une arme inconnue, un rayon de fer ».
Bien que ce soit difficile pour de nombreux scientifiques aujourd’hui de parler de l’existence d’armes atomiques avant notre civilisation actuelle, ils semblent admettre la preuve de ce phénomène. En effet, des preuves similaires de ce genre d’explosions ont été signalées dans de nombreuses régions du monde.
En décembre 1932, Patrick Clayton, un inspecteur de l’arpentage géologique égyptien, conduisait le long des dunes de la Grande Mer de sable près du Plateau Saad en Égypte, quand tout à coup il a entendu un crissement sous les roues. En recherchant la source du son, il a trouvé de grands morceaux de verre dans le sable.
Cette découverte a attiré l’attention des géologues du monde entier et a été le début de l’exploration de l’un des plus grands mystères de la science moderne. Quel phénomène pourrait être en mesure de chauffer le sable du désert à au moins 1800 degrés Celsius pour le faire fondre en de grandes plaques de verre vert-jaune ?
Albion W. Hart, l’un des premiers ingénieurs diplômés de l’Université Technique du Massachusetts, a observé en passant sur le site d’essai des bombes nucléaires d’Alamogordo, que les fragments de verre qui sont restés sur place après l’essai nucléaire étaient tout à fait semblables aux formations qu’il avait vu 50 ans plus tôt dans le désert africain. Cependant, l’étendue de la zone désertique touchée a conduit à la conclusion que l’explosion devait être 10 000 fois plus forte que celle du Nouveau-Mexique.
En fait, des zones très étendues couvertes de morceaux de verre fondu existent dans de nombreux déserts du monde. Les cristaux de quartz ont été fusionnés dans des formes étranges, exactement les mêmes formes que celles trouvées après l’explosion nucléaire dans le sable blanc du site d’essai d’Alamogordo.
Les impacts météoriques ne peuvent pas en être la cause
De nombreux scientifiques ont tenté d’expliquer la dispersion de ces grandes roches de verre dans les déserts de Libye, du Sahara, de Mohave et dans beaucoup d’autres endroits du monde, comme étant la suite d’impacts météoriques gigantesques. Cependant, comme il n’y avait aucun cratère correspondant dans le désert, la théorie a été mise au rebut. Ni les images satellites, ni des techniques de mesure n’ont permis de trouver les cratères.
De plus, les morceaux de verre trouvés dans le désert libyen, étaient transparents, et avaient une pureté de 99 %, ce qui est atypique pour un impact de météore, dans lequel le fer et d’autres matériaux se mélangent avec le verre fondu.
Les scientifiques ont aussi supposé que les météores à l’origine des structures de verre, auraient pu exploser à plusieurs kilomètres au-dessus de la surface de la Terre – semblable à l‘événement de Toungouska – ou étaient si plats qu’ils ont frôlé le sable provoquant de la chaleur uniquement par friction.
Mais cela n’explique pas pourquoi deux zones rapprochées dans le désert libyen montrent exactement le même modèle – la probabilité de deux impacts de météorites sur une si courte distance est minime. En outre, le manque d’eau dans l’échantillon de verre ne peut pas être expliqué, car ces zones d’impact auraient dû encore être couvertes d’eau, il y a 14 000 ans.
Partout dans le monde, des signes de températures extrêmement chaudes et des descriptions vivantes de terribles catastrophes suggèrent qu’il y a peut-être eu des époques où la technologie nucléaire était déjà connue – des périodes où les armes nucléaires ont été utilisées contre les hommes.
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