[RR2] Minibota CANADA le 20 mai 1967

L'aventure de Steve Michalak semble sortir tout droit d'un roman de science-fiction. Ce mécanicien de 52 ans se livrait ce jour-là à sa passion de prospecteur amateur quand il aperçut vers 12 h 15, non loin de Falcon Lake, deux objets discoïdaux rougeoyants dont l'un se posa. En s'approchant il sentit une odeur de soufre et entendit des voix à l'intérieur. Pensant qu'il s'agissait d'un engin spatial américain en diffilculté, il appela pour demander s'il pouvait apporter de l'aide, n'obtint pas de réponse. Il resta ainsi en observation pendant près de trente minutes. L'objet avait 11 mètres de diamètre et 3 mètres de haut, et d'une sorte de porte ouverte émanait une forte luminosité violette. Le témoin perçut encore une odeur de circuit électrique brûlé et, quand la « porte » se referma, il s'enhardit jusqu'à toucher l'engin l'engin. Ses gants de caoutchouc en furent brûlés. Soudain l'Ovni commença à s'élever et, avant de disparaître en une fraction de seconde, émit un souffle d'air chaud, qui fit tournoyer le témoin et mit le feu à ses vêtements et à l'herbe sous ses pieds. Le malheureux retira promptement sa chemise et son tricot de corps, mais déjà il était atteint de brûlures à la poitrine.

Pris de violentes nausées, Michalak fut conduit à l'hôpital de Winnipeg où il fut soigné pour ses brûlures, qui atteignaient par endroits le deuxième degré. Fait particulièrement étrange, les zones brûlées se disposaient en damier sur sa poitrine. Dans les semaines qui suivirent, il perdit 10 kg et souffrit de vertiges, de divers troubles digestifs et d'autres symptômes encore, ressemblant à ceux résultant d'une exposition à des radiations. Or, sur les lieux de l'atterissages, un cercle de végétation avait dépéri et le taux de radioactivité avait anormalement élevé. De petites particules métalliques, composées essentiellement d'argent, avaient subi une fusion sur place. Pendant dix-huit mois, le témoin souffrit encore à plusieurs reprises d'enflures et de rougeurs à l'endroit de ses brûlures. Steve Michalak conseille désormais à toute personne qui verrait un Ovni de près, de s'en éloigner aussi vite que possible...

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J'aime ce genre de documentaire. C'est très troublant et en 1967 je pense qu'il aurait été encore plus difficile de mettre ceci en scène. On se pose des questions ensuite. Vu les blessures, je ne sais pas comment il aurait pu s'infliger ça ou quelque chose d'autre qui en aurait été responsable. Il a dû se dire; Dommage que je n'avais pas d'appareil photo.

Oui mais lorsque l'on est plongé au coeur d'une telle expérience je ne suis pas sur que l'on pense a immortaliser l'événement.
On doit etre scotché.

Oui. Peut-être qu'il l'a pensé plus tard . Vu ce qu'il lui est arrivé, ce qu'il a vu, l y a de quoi être désorienté c'est sûr. A l'heure actuelle, suivant l'individu, il se peut qu'on ne filmerait ou photographierait rien si la crainte, choc dominaient. Est-ce que si on prenait en photo les gens y croiraient? C'est là ou on se dirait; D'avoir la présence d'esprit ou pas d'immortaliser ce moment, y gagnerions-nous? Oui. De l'avoir vu et savoir soi-même que c'est vrai.