THEORIE
Aux Origines du Christianisme
Bibliographie
le mystère de l'apocalypse de guillaume soa
je précise ici que j'ai été élevée dans la religion catholique Mais en 1999 je suis devenue bouddhiste. Aujourd'hui je me considère encore comme chrétienne (et non plus catholique) mène si la philosophie asiatique correspond plus a l'idée que je me fais des vraies valeurs de la vie. Nous sommes tous obligée de composer avec nos croyances, rien n'est tout blanc ou tout noir. Je prie donc Dieu et Bouddha. Ce qui compte n'est il pas la générosité et l'Amour que l'on met dans son intention ? je ne peux croire que Dieu est pas micéricorde et qu'il n'acceuillera pas pres de lui les pecheurs repentis qui s'essaie a faire le bien en toute bonne foi.
A méditer1ère partiepour résumer.Le christianisme est une religion abrahamique, originaire du Proche-Orient, fondée sur l'enseignement, la personne et la vie de Jésus de Nazareth, tels qu'interprétés à partir du Nouveau Testament. Il s'agit d'une religion du salut considérant Jésus-Christ comme le Messie annoncé par les prophètes de l'Ancien Testament. La foi en la résurrection de Jésus est au cœur du christianisme car elle signifie le début d'un espoir d'éternité libéré du mal.
Les premières communautés chrétiennes naissent au ier siècle en Terre sainte et dans les grandes villes de la diaspora juive telles que Rome, Éphèse, Antioche et Alexandrie. Le christianisme se développe à partir du iie siècle dans l'Empire romain, dont il devient la religion officielle à la fin du ive siècle, mais aussi en Perse, en Inde et en Éthiopie. Au Moyen Âge, le christianisme devient majoritaire en Europe, tandis qu'il s'amenuise face à l'islam au Proche-Orient. Il est devenu la religion la plus importante de la planète en raison de son expansion en Amérique à partir du xvie siècle et en Afrique depuis le xxe siècle. Il est actuellement présent dans tous les pays. En 2015, le nombre total de chrétiens dans le monde est évalué à 2,4 milliards, ce qui en fait la religion comptant le plus de fidèles, devant l'islam et l'hindouisme.
Les Églises chrétiennes sont regroupées en différentes branches, dont les principales sont le catholicisme, le christianisme orthodoxe et le protestantisme (avec sa branche évangélique) représentant respectivement 51 %, 11 % et 37 % du total des chrétiens en 2017.
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EtymologieLe nom « christianisme » vient du mot grec Χριστός / Christós, qui traduit l'hébreu Messie, מָשִׁיחַ - mashia'h (« celui qui a reçu l'onction »).
Le mot « chrétien » n'est pas utilisé par les Évangiles pour désigner les disciples de Jésus ; ceux-ci sont habituellement appelés les « Galiléens » ou les « Nazôréens »1. Les Actes des Apôtres indiquent que le nom de « chrétien », dérivé de « Christ », signifiant « partisan du Christ », fut attribué aux disciples de Jésus de Nazareth à AntiocheB 1, en Syrie antique (actuelle Turquie), qui était à l'époque une ville de langue grecque.
Nouvelle lecture À la Bible hébraïque, qui correspond à ce que les chrétiens nomment l'Ancien Testament, les premiers siècles du christianisme ont adjoint le Nouveau Testament ; réunis, ces deux textes constituent la Bible chrétienne, qui présente quelques variantes selon les confessions, notamment les Livres deutérocanoniques. Le canon du Nouveau Testament est composé de 27 écrits : les quatre évangiles canoniques, les Actes des Apôtres, les épîtres de plusieurs apôtres aux premières communautés chrétiennes et l'Apocalypse11 ; il exclut de nombreux textes chrétiens apocryphes, parmi lesquels une douzaine d’évangiles. Il rejette , en particulier, celui de Thomas, qualifié de gnostique.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Tout a été organisé par les gouvernements de l'époque et décidé par les différents conciles
conciles généraux325 concile de NIcée
381 concile de constantinople
431 concile d'Ephese
451 concile de chalcédoine
553 concile de constantinople II
680-681 concile de constantinople III
787 concile de Nicée II
869-870 concile de constantinople IV
1123 concile de Latran
1139 concile de latran II
1179 concile de Latran III
1215 concile de Latran IV
1245 concile de Lyon
1274 concile de Lyon II
1311 concile de vienne
1054 séparation de l'église d'orient et de l'église d'occident
1414-1418 concile de constance
1545 concile de trente
1869-1870 concile du vatican
1962-1965 concile de vatican II
chaque concile a apporté son lot de changement en radiant des textes des livres sacrés ou en ajoutant écrits pour mieux partager la croyance
la datation de la bible et des textes qui l'a composeLa datation de la Bible consiste à déterminer la période de composition et de rédaction de chaque livre qui la compose, et si possible de chaque unité textuelle composant ces livres. La Bible se présente comme une compilation de textes rédigés ou remaniés à différentes époques. La Bible hébraïque comprend trois parties, qui se sont constituées progressivement. Ce sont, de la plus ancienne à la plus récente : la Torah (תּוֹרָה, la Loi ou Pentateuque), les Nevi'im (נביאים, les Prophètes) et les Ketouvim (כתובים les Autres Écrits ou Hagiographes). À cette liste s'ajoutent les livres deutérocanoniques des catholiques et des orthodoxes ainsi que le Nouveau Testament, propre aux chrétiens.
gardons à l'esprit que les juifs et les chrétiens partagent les memes écrits religieux puisque Jesus le messie des chrétiens est né juif de parents juif et qu'il respectait la loi de Moïse a la lettre.
Manuscrits les plus anciensLes plus anciens ensembles de textes de la Bible hébraïque sont trouvés parmi les Manuscrits de la mer Morte, et sont datés entre le iiie et le ier siècle av. J.-C.5, le chercheur Frank Moore Cross datant un petit fragment du livre de Samuel (4QSamb) de la fin du iiie siècle6. Tous les livres du Tanakh, à l'exception du livre d'Esther, se trouvent dans la documentation de Qumrân, certains en plusieurs exemplaires, d'autres à l'état fragmentaire7.
Parmi les plus anciens manuscrits grecs se trouvent des fragments du Lévitique et du Deutéronome de la Septante datant du iie siècle av. J.-C., ainsi que des fragments de la Genèse, de l'Exode, des Nombres, et des petits prophètes datant du ier siècle av. J.-C.. Les manuscrits anciens relativement complets de la Septante sont, entre autres, le Codex Vaticanus (ive siècle), le Codex Sinaiticus (ive siècle) et le Codex Alexandrinus (ve siècle)N 1. Ce sont les plus anciens manuscrits presque complets de l’Ancien Testament, toutes langues confondues. La Torah samaritaine, qui aurait vu le jour sous la dynastie hasmonéenne, est aussi un manuscrit biblique ancien8. Tout comme la Peshitta, cette dernière étant une traduction de la Bible chrétienne en syriaque achevée semble-t-il durant le ive siècle.
Le texte massorétique de la Torah est considéré par la tradition comme assemblé au ive siècle, mais les plus anciens manuscrits complets (ou presque complets) sont le Codex d'Alep (vers 920) et le Codex de Léningrad (1008)
Historicité de la BibleDurant des siècles, les lecteurs de la Bible la considèrent majoritairement comme la parole inspirée de Dieu, parole qu'Il aurait dictée à des sages, des prophètes ou des grands-prêtres israélites. Ainsi, la tradition attribue la rédaction du Pentateuque à Moïse ; les livres de Josué, des Juges et de Samuel sont alors considérés comme des archives sacrées recueillies par le prophète Samuel ; Jérémie est vu comme l'auteur des premier et deuxième livre des Rois, David comme celui des Psaumes, et Salomon comme celui des Proverbes et du Cantique des Cantiques. La Bible étant considérée comme d'origine divine, la véracité historique du récit n'est alors pas remise en cause10. Cette tradition remonte à l'Antiquité. Or, durant cette période, il est courant d'utiliser la pseudépigraphie, technique qui consiste à attribuer un texte récemment écrit à un illustre auteur, parfois disparu depuis longtemps ou même purement imaginaire. Il est désormais admis, dans les milieux académiques, que ce procédé prévaut également pour ce qui est de la tradition biblique. C'est ainsi que la tradition judéo-chrétienne attribue les livres de l'Ancien Testament à différents auteurs.
Mais alors si ce n'est pas matthieu ou marc qui ont écrit leur évangile, qui est ce ? et combien de temps plus tard ?
Afin de sauver l'historicité du récit biblique, certains avancent l'idée qu'il aurait été transmis oralement pendant des dizaines de générations, sans modification notable du texte. Cette théorie est mise à mal dès le milieu du xviiie siècle par des exégètes occidentaux, dont Jean Astruc. Cette idée est par ailleurs en contradiction avec la tradition, pour laquelle le texte est écrit directement sous inspiration divine, et non le fruit d'une longue tradition orale.
Pourtant on ne peut nie que dans le Deutéronome, écrit par Moïse, il le dit lui meme :
Moïse va-t-il miser uniquement sur la transmission orale et donc sur la mémoire, la mémoire réputée prodigieuse de l’homme ancien, mémoire qu’il semble impliquer dans les injonctions qu’il répète : « Les paroles des commandements que je te donne aujourd’hui seront présentes à ton cœur ; tu les répéteras à tes fils » (Dt 6,6-7)
Alors tradition orale ou retranscription écrite ?
Après tout dans le Deutéronome, Moïse raconte sa mort ! on ppeut se poser la question ext ce bienlui qui écrit ou Josué sans fils a t il terminé ce récit ?
je pose la question.
et on retrouve dans l'épopée d'Erra :
« Il n’en a rien omis, ni ajouté une seule ligne ! » lorsque l'on parle du scribe qui a rapporté ces paroles....
On a écrit (Dieu a écrit), on écrira (le peuple, le roi écriront). Moïse, quant à lui, jusqu’au chapitre 31 du Deutéronome (qui en compte 34), parle : il est apparemment tout entier du côté de l’oralité. Ceci ne manque pas de soulever quelques questions quant à la transmission effective des paroles d’une rive à l’autre du Jourdain : qu’est-ce qui assurera la transmission mot pour mot de la Torah, puisqu’il s’agit de faire apparaître « toutes les paroles de cette Torah » (Dt 27,3.8)
nulle part Moïse n’a reçu de Dieu l’ordre d’écrire la Torah. S’il fait basculer les paroles de la Torah dans l’économie de l’écrit, c’est qu’il a conscience d’une limite qu’il ne franchira pas (celle du Jourdain, voir 31,2) et que franchira le document. Notre mémoire de lecteurs nous fait aussi remarquer que, consignant la Torah par écrit, Moïse reproduit le précédent divin, l’acte de Dieu écrivant les dix paroles sur les tables.
qui a écrit les évangiles ?
Marc matthieu luc et jean en sont ils les auteurs ?
En partie seulement. Bien d'autres sont intervenus dans la rédaction des témoignages qui forment le c?ur du Nouveau Testament. Les premiers chrétiens n'éprouvaient pas le besoin de conserver des traces écrites des actes et des paroles de Jésus. Ils gardaient en mémoire le message du Nazaréen venu, selon eux, accomplir les Ecritures et sceller la Nouvelle Alliance de Dieu avec les hommes. Convaincus de l'imminence de la fin du monde, ces fidèles juifs pratiquaient leur culte en puisant dans la Bible hébraïque les passages qui leur semblaient illustrer l'annonce du Messie et sa résurrection. Le temps passant, des communautés de chrétiens de plus en plus importantes se sont constituées tout autour de la Méditerranée (Thessaloniciens, Corinthiens, Galates?). Il a fallu des textes pour transmettre à ces nouveaux venus une doctrine unifiée. Paul de Tarse, un juif pharisien converti au christianisme sur le chemin de Damas, fut le premier à s'atteler à la tâche, cinquante ans après la mort de Jésus. Il rédigea 21 épîtres afin de structurer les premiers cercles chrétiens - en proie aux schismes, à la débauche et aux tentations païennes - et d'y mettre de l'ordre. Persécutés par les Romains, les disciples de Jésus jugèrent plus prudent de fixer par écrit la prédication de leur Messie.
Le premier texte annonçant la «Bonne Nouvelle» - le terme «Evangile» n'apparaît qu'en 150 de l'ère chrétienne - est attribué à Marc. Il a été écrit vers 70, au moment où les légions romaines détruisirent le Temple de Jérusalem. Celui de Matthieu suivra en 80, puis celui de Luc en 90, et celui de Jean, dix ans plus tard. Les Evangiles de Matthieu et de Luc présentent de très grandes ressemblances. Or certains éléments rapportés dans leurs récits ne figurent pas dans l'Evangile de Marc, dont ils se sont pourtant fortement inspirés. La prière du «Notre Père», par exemple. Qu'en conclure? Que les auteurs de ces témoignages ont puisé dans une autre tradition - orale ou écrite - perpétuant l'enseignement de Jésus..
De fait, «La notion d'auteur n'existait pas jusqu'au début du IIe siècle de notre ère, rappelle le bibliste André Paul. Ce n'est qu'à partir de cette période que l'on impute un ouvrage a son rédacteur.
Pourtant cela fait une nette différence. Car a plusieurs reprises les évangiles sont divergeants, voir contradictoires.
comment est ce possible de la part d'un livre sacré respecté et suivi par des millions de croyants ?