LES MEROVINGIENS
(Suite de Jésus et le Saint Graal)
Les Mérovingiens sont donc les seuls vrais rois de France de droit divin, étant les descendants directs de Jésus.
Ces rois, comme Jésus, portaient les cheveux longs et possédaient des pouvoirs "surhumains", comme celui de guérir par imposition des mains, de prédire l'avenir ou de communiquer avec les animaux et les forces de la nature. C'est historique. Il faut remarquer que chez les anciennes peuplades de Polynésie, descendants de Mu, et principalement sur l'Ile de Pâques, les rois étaient chargés du "mana" ou pouvoir divin qui résidait dans leurs cheveux qu'il était interdit de couper, et ces rois divins assuraient la fertilité de leur territoire et le bonheur de leur royaume en étant les intermédiaires entre les dieux et les hommes, tout comme les pharaons.
Les rois Mérovingiens étaient adeptes des sciences occultes et d'ésotérisme. Ils pensaient que leur pouvoir résidait dans leur chevelure tout comme Samson. Ils étaient des prêtres-rois, comme l'avaient été les anciens pharaons d'Egypte. Ils régnaient, mais ne gouvernaient pas, l'administration étant assurée par les maires du palais, sorte de fonctionnaires du roi. Ils étaient la représentation vivante de Dieu. Leurs pratiques rituelles ressemblaient à celles des Lamas du Tibet. Ainsi a-t-on découvert des crânes de rois Mérovingiens possédant à leur sommet une incision rituelle permettant à l'âme de s'échapper du corps à la mort, tout comme le font les grands lamas. Ils étaient enterrés avec des objets magiques et des boules de cristal, ainsi qu'avec des abeilles d'or symbolisant leur lignage solaire. L'abeille, déjà au temps des pharaons, symbolise le roi de droit divin, le prêtre-roi.
Issue des Sicambres, ou Francs, la race Mérovingienne domine au cours des 5e, 6e et 7e siècle de vastes territoires, devenus la France et l'Allemagne. Cette époque fut aussi celle du roi Arthur, de Merlin l'enchanteur et du grand cycle romanesque du Graal.
De tous temps, les Mérovingiens semblent avoir régné sur les Francs et avoir été reconnus comme rois légitimes de pères en fils, jusqu'à ce que Mérovée donne son nom à la dynastie. La légende prétend que Mérovée est né de deux pères, un roi Franc et une créature marine mystérieuse ayant séduit sa mère enceinte pendant qu'elle se baignait dans la mer. Ce qui signifie que Mérovée fils d'un roi Franc, hérite de par sa mère d'un sang étranger, d'un peuple d'au-delà des mers.
Mérovée naquit revêtu des plus extraordinaires pouvoirs et à partir de ce jour la dynastie Mérovingienne se trouva enveloppée d'une aura de magie et de surnaturel. Ils étaient appelés les rois sorciers ou thaumaturges. Ils portaient une marque de naissance distinctive, tache rouge en forme de croix sur le cœur ou entre les omoplates, comme les hommes de la tribu de Benjamin. La civilisation sous ces rois était florissante, cultivée et éminemment supérieure à ce que l'on trouvera quelques 500 ans plus tard sous le règne des derniers rois du Moyen-Age.
En 496, Clovis signa un pacte avec l'Eglise Catholique Romaine. L'Eglise ainsi affermissait son pouvoir faiblissant sur le monde occidental, étant en passe d'être supplantée par une autre Eglise gnostique, le culte de Mithra; en échange Clovis se retrouvait quasiment à la tête d'un nouveau Saint Empire Romain unifié, l'égal de l'Empereur Constantin, construisant le futur héritage des Mérovingiens. Les deux partis se trouvaient liés par le grand secret.
Le baptême de Clovis marquait la naissance d'un nouvel Empire Romain, fondé sur l'Eglise de Rome et administré par les Mérovingiens, l'un et l'autre s'engageant pour une durée illimitée. Ce pacte ne pouvait être ni rompu, ni modifié, ni trahi. L'Eglise s'engageait à rester fidèle à la race Mérovingienne dont elle connaissait la véritable origine, mais il n'était pas question de dévoiler que Jésus avait eu une descendance, ce qui aurait remis en cause toute la religion qu'elle avait instaurée.
La légende prétendant qu'une ampoule, contenant le Saint Chrême destiné à l'onction des rois, descendit du ciel portée par une colombe fut inventée par l'Eglise après coup pour justifier la création de rois usurpateurs dans la suite de l'histoire. Ce Saint Chrême symbolisait l'huile d'onction des Lévites préconisée par leur dieu, mais les Lévites n'étaient pas rois et les rois n'avaient aucun besoin d'onction d'un prêtre, car ils étaient rois de droit divin.
Au fil des siècles, les maires du palais prirent de plus en plus d'influence sur des rois de plus en plus jeunes, faibles et inexpérimentés, qui finirent par être laissés pour compte et que l'histoire appellera bien injustement "les rois fainéants".
Le dernier de la lignée était Dagobert II, qui fut enlevé enfant pour être remplacé par un maire du palais. Mais Dagobert revint prendre possession de son trône, ayant attendu son heure à Rennes le Château, territoire privé de sa famille, après s'y être marié et avoir eu un fils, SIGISBERT. Il fut le digne successeur de Clovis; mais contrant le pouvoir de l'Eglise et lui ôtant ses prérogatives, car elle s'était octroyé de grands privilèges, était énormément riche et ne payait pas d'impôt, il fut assassiné. Ce fut donc le dernier Roi Mérovingien.
L'Eglise s'étant rendue complice, sinon coupable, de l'assassinat de Dagobert, trahit une seconde fois la dynastie Mérovingienne en apportant son soutien aux Carolingiens. La seule attitude possible pour elle était alors de tout dissimuler, car en révélant la véritable identité des Mérovingiens elle aurait compromis dangereusement sa position dans le monde. Elle effaça toute trace de la vie de Dagobert et surtout de son fils. Mais malgré tous ses efforts, la dynastie ne devait pas s'éteindre. Dagobert II ne fut redécouvert dans les livres d'histoire qu'au XVIIe siècle.
Nul ne sait ce qu'est devenu son fils, mais sa lignée s'est perpétuée en secret dans la région de Rennes le Château, Comté de Rhedae ou Razès, plus tard principauté indépendante dont Narbonne était la capitale, gouvernée par un descendant de Dagobert II, Aymeric, roi de Septimanie, "reconnu de race royale et descendant de la lignée de David.".
Godefroy de Bouillon était de cette lignée, c’est pourquoi il s’est jugé « légitime roi de Jérusalem ».
Après Pépin d'Héristal, Maire du Palais ayant commandé l'assassinat de Dagobert, c'est son fils Charles Martel qui devait régner sur les Francs. Mais il ne s'empara jamais du trône, comme saisi de crainte. Mais son fils, Pépin le Bref, lui, s'empara du titre de roi avec l'aide de l'Eglise, le Pape trahissant le pacte scellé deux siècles et demi auparavant avec Clovis. Pendant le règne des maires du Palais, des rois avaient succédé à Dagobert, mais ce n'étaient que des descendants de branches cadettes sans rapport avec Clovis ni Mérovée. Le dernier, Childéric III, fut emprisonné par Pépin le Bref après qu'on lui ait coupé sa chevelure pour le déposséder de ses pouvoirs.
Pépin le Bref inaugurera la dynastie Carolingienne. Les Carolingiens, comme leurs successeurs les Capétiens, ne sont donc que des usurpateurs. Ils n'étaient que des fonctionnaires du roi chargés d'administrer les terres et se sont emparés du pouvoir.
Pour justifier le droit qu'elle s'était octroyé de créer les rois, l'Eglise instaura donc l'onction et le Saint Chrême, symbole emprunté aux temps bibliques, espérant compenser par ses vertus les propriétés magiques de la race disparue, qui elle était "ointe de Dieu". (La Sainte Ampoule prétendument descendue du ciel était sans doute une copie de celle du temps de Moïse, fabriquée pour oindre les prêtres sur les directives de "Dieu" et dont la recette est donnée dans la Bible, pour un simulacre de sainteté.) Trahison supplémentaire. De plus, elle fit courir le bruit que le roi avait la capacité de "guérir les écrouelles", pouvoir de guérison devant légitimer cette lignée comme de droit divin.
On sait que Charlemagne fut couronné empereur par surprise, et même traîtrise, ayant été attiré dans un piège à la messe. Il ne l'avait pas souhaité, se sentant usurpateur. En consacrant Charlemagne, l'Eglise s'est parjurée, car elle a trahi l'alliance conclue lors du baptême de Clovis, qui avait fait de la France "la fille aînée de l'Eglise."
Dans la Bible, la tribu de Benjamin était "la bien aimée de Yahwé, le Très-Haut demeurait entre ses épaules". Ce qui signifie que les descendants de Benjamin portaient la même marque de naissance que les Mérovingiens. Leur héritage comportait Jérusalem et le premier roi fut Saül.
Un jour, après une guerre tribale, la plupart des descendants de Benjamin quittèrent leur pays, s'établirent en Grèce, en Arcadie précisément, puis remontèrent toute l'Europe, et enfin arrivèrent en Gaule sous le nom de Sicambres. Ce ne fut pas une invasion guerrière, mais une infiltration pacifique. Les Mérovingiens sont donc issus de la tribu de Benjamin, rencontrant la souche issue de Jésus, d'où la légende de Mérovée, et l'alliance entre la lignée de David et celle de Benjamin.
La tribu perdue d'Israël et donc celle qui a peuplé l'Europe en se mêlant aux races établies, par les Sicambres, les Francs, les Wisigoths et les Saxons (Saxons et une déformation de ISAAC SOHN, fils d'Isaac), toutes tribus de même origine.
En se mêlant à la race blanche primitive des Hyperboréens au nord, à la race plus sombre des descendants Atlantes au sud, tous se diffusèrent à travers l'Europe.
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D’après: L'énigme sacrée de Michael Baigent, Richard Leigh et Henry Lincoln