La propagande en faveur de l’inutile et dangereuse vaccination antigrippale commence désormais de plus en plus tôt: Vers l’Avenir y consacrait encore un article en plein mois d’août. Mais ce qui change encore la donne, c’est qu’il s’agit ici d’insister sur la fausse bonne idée d’administrer aux seniors un vaccin « renforcé », entendez donc un vaccin surdosé… quand on voit déjà que même à dose normale, le vaccin antigrippal est l’un des plus dangereux (avec le vaccin HB, le Prevenar et les vaccins HPV), voilà qui fait vraiment froid dans le dos.
L’article « Un vaccin antigrippe à haute dose plus efficace chez les personnes âgées » claironne que le vaccin à haute dose permettrait d’éviter 24%, soit une grippe sur 4 chez les personnes âgées. Les pigeons de la vaccination garderont quand même 3 chances sur 4 de faire la grippe en étant vaccinés et il faudra encore y ajouter les « chances » des divers effets secondaires additionnés les unes aux autres, quelle « aubaine »!
On peut notamment lire dans cet article de Vers l’Avenir : « Les chercheurs ont comparé un vaccin trivalent à haute dose contre la grippe à un vaccin normal chez des personnes de plus de 65 ans. Ils ont conclu que le vaccin à haute dose était sûr et générait une réponse des anticorps nettement plus élevée, protégeant ainsi davantage cette population, plus vulnérable. »
Bien que l’étude en question ait été publiée dans une revue ayant pignon sur rue, à savoir le New England Journal of Medicine, il y a pourtant deux biais majeurs qui rendent ses conclusions ridicules aux yeux de toute personne encore capable de réfléchir de façon critique:
1°) En comparant un vaccin à un vaccin, vous ne pouvez obtenir aucune donnée honnête et sérieuse en matière de sécurité et de tolérance, tout simplement car même « un vaccin normal » est déjà en lui-même pourvoyeur d’effets secondaires, y compris graves, qui sont constamment sous-estimés et qui relèvent d’un tabou. Par conséquent, comparez quelque chose à un tabou et vous aurez… un autre tabou car il s’agit d’un même type de produit et d’une même idéologie. Notre article sur le vrai scandale des faux placebos vous renseignera sur cette façon commode mais ô combien dangereuse et fallacieuse de prétendre à tort qu’un vaccin est sûr.
2°) Déduire de la seule présence d’anticorps et de simples comparaisons quantitatives d’anticorps l’efficacité accrue ou même l’efficacité tout court d’un vaccin constitue une extrapolation abusive que tout scientifique digne de ce nom doit être en mesure de débusquer!
D’ailleurs, même la notice de vaccins antigrippaux (de GSK ou autres) mentionne qu’il n’y a PAS de corrélation entre le taux d’anticorps produits et le degré de protection effective dans la réalité! Ensuite, il faut aussi rappeler les résultats obtenus par d’autres chercheurs, selon lesquels la présence d’anticorps n’est même pas strictement nécessaire pour la défense du corps contre certains virus. Voilà donc qui relativise fameusement la valeur d’une telle étude parue dans le NEJM mais à laquelle nos bons infectiologues s’abreuveront avec un délice sans doute non dissimulé!
En conclusion, il convient une fois encore de ne pas être dupe et de ne pas laisser son plus élémentaire bon sens au vestiaire: si la Nature a prévu que le système immunitaire des seniors soit moins puissant, c’est qu’il y a des raisons et des subtils équilibres internes dont ces grands savants semblent tout ignorer (d’ailleurs, le Dr Saluzzo, directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur et aussi consultant pour l’OMS, n’a-t-il pas avoué en ligne dans un cours de vaccinologie aux médecins qu’ils ne comprennent pas comment marchent les vaccins et que si on veut produire à l’avenir d’autres vaccins, il faudra d’abord commencer par étudier le système immunitaire??).
Forcer leur système immunitaire comme on veut forcer une serrure ne pourra qu’accroître les risques neurologiques et auto-immuns de ces populations plus vulnérables et il faut dire que la santé globale des seniors n’est déjà pas au beau fixe après des décennies de vaccination antigrippale annuelle: 80% des 65 ans et plus ont une maladie chronique et 85% des 75 ans et plus en ont au moins 3! (cf p. 5/41 du document des Mutualités Libres sur « l’Avenir des soins de santé en Belgique »)
Déjà avec le vaccin dit « normal », des personnels soignants et des directrices de maisons de retraite avaient décelé des gros problèmes et des décès suspects et avaient par conséquent décidé de cesser de vacciner eux-mêmes:
« Contrairement aux apparences, ce n’est pas une pension de famille, mais une maison de repos bruxelloise, la Résidence Augustin. « Je m’occupe d’un lieu de vie, pas d’un hôpital : les résidents et le personnel sont autonomes. Ils décident librement s’ils veulent se faire vacciner contre la grippe. Pour ma part, je n’en vois aucunement l’utilité. Bien au contraire », assure Catherine Goor, la directrice. Catherine Goor a travaillé quatorze ans comme infirmière, en salle d’opérations. Elle a ensuite géré une maison de repos qui abritait de nombreuses personnes démentes. « Les médecins devaient souvent décider, à leur place, de les faire vacciner contre la grippe. Or, il s’avère qu’à plusieurs reprises, après des vaccinations pratiquées systématiquement, l’état de ces personnes fragiles s’est considérablement détérioré. Nous avons eu des décès. En toute conscience, avec les infirmières, nous avons préféré arrêter de pratiquer les injections nous-mêmes », raconte-t-elle. » (source: Communauté française qui a supprimé son document de 2009, heureusement sauvegardé ici sur ce site, car c’est sans doute le seul document qu’ils avaient essayé, et encore, de rendre un peu plus objectif que les autres, voir en page 7/8!)
Prévenir et traiter la grippe de façon sécurisée est possible, quantité de remèdes naturels peuvent y aider: huiles essentielles (achetez-vous un bon guide via Amazon.fr ou une bonne librairie), homéopathie, plantes et composés immuno-stimulants (echinacéa, astragale, propolis, etc.), formules phyto-thérapeutiques (Sambucol par exemple), oligo-éléments, vitamines et minéraux (vitamine D, vitamine C, chlorure de magnésium). Demandez conseil à un thérapeute qualifié et informé -surtout en cas de maladie auto-immune pré-existante- plutôt qu’aux « dérapeutes » du vaccin et n’oubliez surtout pas de faire doser votre taux sanguin de vitamine D, cette vitamine ayant même un effet protecteur contre des poussées de scléroses en plaques, maladie que tout vaccin peut d’ailleurs provoquer.
( source Initiative Citoyenne )