Mais quand te reverrai-je ?

Mais quand te reverrai-je ?

Médiumnité que j'ai reçue sous une forme aussi amusante qu'étrange, un jour...


Je l’aime tant et maintenant, je me retrouve avec mes bras vides.

J’ai mal et je me sens si seul, perdu au beau milieu de cette tourmente dévastatrice.

Je voudrai tellement la (le) serrer dans mes bras encore.

C’est curieux, depuis qu’elle (il) est parti(e), moi qui ne croyais pas tellement en Dieu, voire parfois pas du tout, je me mets à y croire. En fait, oui, j’y crois car je refuse l’idée que je ne la (le) reverrai plus.

- Monsieur ? S'il vous plaît ? J'ai besoin d'aide.
- Oui, je suis là et je veux bien t'aider.
- Mais qui êtes vous ? On dirait que personne ne vous voit, sauf moi ?
- Je suis... Comment te dire ? Il y a quelqu'un, ici, qui me nomme le Chroniqueur. Je suis né il y a... C'est trop long à compter pour toi. Les autres ne peuvent pas me voir mais toi tu le peux. J'ai entendu ta détresse et je suis venu pour toi.
- Qui êtes vous ?
- Là n'est pas l'important. Je t'écoute.
- S’il vous plaît, j'ai vraiment besoin de savoir, de me dire que je vais la (le) revoir ? Qu’est-ce qu’il se passera ?
- La réponse est un énorme OUI ! Vous allez vous revoir. C’est indiscutable. C’est très simple mais en même temps, pour vous les humains terrestres, le concept est difficile à comprendre.
- Pourquoi êtes-vous si sûr que je vais la (le) revoir ?
- Le temps représenté de façon linéaire (passé-présent-futur) n’existe que selon votre conception du ici et du maintenant.
- Ah bon ?
- Le temps n'existe pas ! Et si le temps n'existe pas alors l'espace et la distance n'existent pas plus. Tous, nous vivons toutes nos vies au même moment et ensemble, sur des plans différents, des réalités différentes, et pour autant au même endroit, car rien n'est séparé de rien, ni encore moins distant. Partant de là, on ne peut pas dire que le cosmos est immense mais on ne peut pas non plus dire le contraire.
- Et vous, qu'en dites-vous ?
- Que depuis si longtemps je suis encore très loin d'en avoir compris toute l'étendue.
- Mais si le temps, l’espace, les kilomètres, tout ça, n’existent pas, elle (il) est où ? Et qu’est-ce que c’est que cette imbécillité que vous dites en me disant que nous vivons toutes nos vies en même temps ?
- C’est tout à fait vrai. Toutes mes vies passées, ma vie présente et mes vies futurs se déroulent en même temps mais sur des plans différents, dans des réalités différentes. Et c’est très justement la raison pour laquelle le fait d’améliorer ma condition de vie maintenant améliorera mes conditions de vie dans mon futur, qui n’a de futur que mon présent. Si je vis toutes mes vies en même temps, alors celle ou celui que je crois mort à mes yeux ne l’est pas mais se trouve quelque part ailleurs et, de la même façon, moi-même, je suis mort aux yeux de mes êtres chers dans mes vies passées. En gros, nous faisons tous cette expérience… certes assez désagréable et c’est le moins que l’on puisse dire. Mais seulement selon notre réalité car nous n’avons que la compréhension de notre réalité et non pas de toutes les réalités.
- Parce que vous avez vécu ici vous aussi ?
- Autrefois, il y a si longtemps... Plusieurs fois même. Et puis j'ai voulu expérimenter d'autres réalités.
- Oui, mais si elle (il) se réincarne avant ? Avant que je meurs, moi ? Je ne la (le) verrai toujours pas lorsque je changerai de réalité ?
- Bien sûr que si ! Elle (il) se trouve dans une autre réalité que tu atteindras lorsque tu changeras, partiras de la tienne pour une autre. Là, tu vas forcément la (le) croiser.
- La (le) croiser ? Mais je refuse de ne faire que la (le) croiser !
- Prend le temps de repenser à ce que je viens de te dire. Le temps n’existe pas ! La distance n’existe pas ! Comme tu auras changé de réalité, ton état vibratoire fera que tu pourras être en contact réel avec elle (lui). Ce n’est pas un contact physique dans le sens que tu lui connais aujourd’hui, ici et maintenant. C’en est un autre et il n’est pas moins physique. Il est seulement différent. Et justement, puisque ni le temps, ni l’espace n’existe, vous aurez tous les deux l’éternité pour vous serrer l’un contre l’autre. Pour autant, vous pourrez continuer de faire d’autres expérience, chacun de votre côté, en même temps que vous resterez ensemble, dans toutes vos vies respectives à la fois.
- Houla ! Attend ! Tu m’embrouilles la tête ! au fait, je peux vous tutoyer ?
- Bien sûr que tu le peux. Quel est le détail que tu ne comprends pas ?
- Ben c’est pourtant simple ! Si, une fois que j’ai changé de réalité, comme tu dis, je peux rester avec elle (lui) en même temps que je me ballade dans mes autres vies passées et futurs, alors qu’est-ce qui me prouve que je suis bien là à t‘écouter en ce moment même et pourquoi elle (il) n’est pas avec moi au lieu de t’avoir en face moi ? Parce que, sauf le respect que je te dois, t’es bien mignon mais c’est elle (lui) que je préfère !
- C’est ce que j’essaie de te faire comprendre. Elle (il) est au même endroit que toi, c’est à dire ici avec nous et en ce moment même. Tu ne peux pas la (le) voir tout simplement parce que tu ne peux comprendre que seulement l’expérience que tu vis au moment où tu la vis et en fonction de la réalité dans laquelle tu te trouves à cet instant. Si la notion de temps n’existe pas, la notion de moment, quant à elle, existe tout à fait. Le moment que tu vas prendre pour la compréhension de tel concept ou tel autre peut prendre, selon tes valeurs, deux secondes mais aussi deux-mille ans. La grandeur du moment est sans aucune importance. Seule la valeur de la compréhension acquise a une réelle importance.
- Oh, mais je n’y comprends plus rien ! Tu sais, tu es plutôt compliqué comme gars !
- M’ouais, je ne crois pas mais si tu le dis !
- Je n’arrive pas à comprendre ce que tu me dis mais une chose est sûre, c’est que je sais que je vais la (le) revoir. Je le sens !
- Ah bon ? Et tu le sens comment ?
- Je ne sais pas moi ! Je le sens. Je le sens. Je le sens. C’est en moi.
- Et pourquoi tu le sens ? Ça a une odeur ?
- Arrête de me taquiner !
- Tu le sens parce que toutes tes vies, d’une façon ou d’une autre sont communicantes. Elles sont toutes en interaction les une avec les autres. Cela vient du fait que l’âme est multiple et pour si multiple qu’elle soit, elle est reliée à une seule et même source. C’est La Source, Dieu, Manitou, Le Grand Architecte, Jéhovah, Yavé, Odin, Zeus, Allah, Trucmuche ou Tartempion, peu importe comment nous le nommons. Tes vies, toutes, sont d’une certaine façon un peu comme ton ordinateur qui est multitâche. Mais un peu seulement. Tu as l’ordinateur et toutes ses applications. Elles ne semblent pas toujours avoir de rapport les unes avec les autres et pourtant elles passent toutes par le même endroit qui les dirigent toutes à la fois et avec intelligence, donc encore bien mieux que ton ordinateur. Mieux que ton ordinateur car elles se servent les unes et les autres pour s’aider mutuellement, tout en approvisionnant la Source qui s’en nourrit et te le restitue en bien-être si tu te tournes vers le bien-être et en mal-être si tu te tournes vers le mal-être. Cette Source donne sans juger. Tu lui donnes. Elle le magnifie et te le retourne. Si tu lui as donné quelque chose de bien, elle en fait de même. Dans le cas contraire, elle te donne quelque chose de pas bien. C’est toi qui décides. Pas Elle. Le rôle du Créateur est de créer. Il n’est pas de juger.
- Multitâche ? Ah oui ! Ça, j’aime bien. Je suis multipass ! Multipass ! Multipass ! tu connais le cinquième élément ? c'est un film qui... Oh, pardon !
- Tu as une interaction permanente avec toi-même dans toutes tes autres vies, mais tu as cette même interaction avec toutes les autres réalités. Plus tu es heureux parce que tu comprends qu’elle (il) n’est pas séparé(e) de toi, et plus tu lui apportes de la joie véritable. Mais plus, aussi, tu apportes cette joie dans tout l’Univers et même le Multivers car, grâce à toi, le Multivers peut chanter encore un peu plus fort.
- Bon écoute, ne va pas trop loin ! Je garde le multipass qui me plaît bien et tu gardes ton multivers.
- Allez, je suis d’accord. Je reprends le multivers. Mais on y reviendra plus tard, à moins que tu abordes cette compréhension par toi-même, ce dont je ne doute pas.
- Mais alors, comment peut on faire pour qu’elle (il) puisse communiquer avec moi ?
- Tu devrais plutôt chercher à comprendre comment toi, tu peux communiquer avec elle (lui).
- Oui, comment ?
- Mais tout simplement grâce au seul moyen que tu possèdes pour cela. Ce moyen est la pensée, tout simplement. Ta pensée est une énergie communicante et rayonnante. Rien ni personne ne peut t’empêcher de penser. Ta pensée ne peut pas rencontrer autre chose comme obstacle que ce que tu te mets toi-même. Cela peut être tes croyances, tes peurs, tes traditions culturelles prénatale, de famille, de société, de religion, etc.
- Alors tu veux dire qu’il me suffit simplement de penser à elle (lui) et forcément elle (il) reçoit ma pensée comme lorsque je discute avec toi ?
- C’est exactement ça. Mais alors, très exactement comme ça que cela se passe.
- Je peux donc parler avec elle (lui) chaque fois que je le veux et aussi souvent que je le veux ?
- Oui, tout à fait. Mais tu n’auras pas forcément toujours de réponse car tu as tes occupations mais elle (lui) aussi. N’oublie pas qu’elle (il) n’est pas mort(e).
- Et comment je sais qu’elle (il) me répond ?
- Écoute juste ta première intuition, ressens en ton for intérieur et tu sauras sans te tromper. Fais le sans peur et avec détachement.
- Mais je ne veux pas du tout me détacher ! Entre moi et elle (lui), c’est à la vie, à la mort.
- Dommage, je suis en train de t’expliquer justement que la mort n’existe pas…
- Ah oui, mince !
- C’est à la vie, à la vie. Car la vie une fois créée, ne s’arrête plus jamais.
- C’est chouette ça ! Alors ça veut dire qu’on a tout notre temps !
- Tout à fait. Et si tu me pardonnes, moi je n’ai pas tout mon temps. Ciao ciao !
- Monsieur ? Chroniqueur ? Où êtes-vous ?
- Je suis ici et je suis là. A bientôt.
- Merci Monsieur. Maintenant je sais et je suis sûr que je la (le) reverrai.


Nous reverrons nos êtres chers. Il ne peut en être autrement car autrement n'existe pas. Nous les reverrons, c'est assuré. Ceci ne les empêche nullement de continuer leurs expériences et d'agrandir leurs connaissances alors que nous en faisons de même sur cette planète.

Ce sont nos expériences et connaissances mises en commun qui permettent d'alimenter la Source qui, Elle-même, continue sa progression rayonnante.

Lever le voile ! Voilà l'expression consacrée.
Le voile n'a rien d'un voile mais tout d'un filtre opacifiant.
Ce sont ces voiles qui nous empêchent de comprendre la Réalité au-delà de "notre" réalité.
On pourrait dire que ce sinistre empêchement est une entrave bien cruelle et surtout injuste et on aurait tort. Si nous n'avions pas ces entraves, alors nous n'aurions pas envie de rester ici.

Seuls les plus forts et les plus braves parmi les plus forts et les plus braves sont autorisés à venir ici. Et oui, ici, c'est un accélérateur inimaginable.

L'amour se trouve dans toutes les réalités. Bon, alors cherchons ailleurs.
La volonté d'avancer aussi. Bon, alors cherchons ailleurs.
La recherche de la connaissance aussi. Bon, alors cherchons ailleurs.
L'avantage du sexe et de ses plaisirs n'est pas la chose la plus répandue. Ah ? Tiens donc ! L’activité sexuelle ne serait peut-être pas un péché… si elle se trouve dans le respect mutuellement partagé.
Seulement cinq sens qui, combinés ensemble, donnent une puissance déraisonnable. Ah ? Voilà quelque chose d'intéressant !
Que pouvons-nous trouver d'autre ?

Il y a une chose qui n'est pas du tout répandue et que nous seuls avons... et conservons par delà les voiles. C'est le rire ! Et beaucoup nous l’envient.

L'amour, la recherche et la volonté de connaissance, avec le sexe pour complice pour faire perdurer la vie et la protéger avec le plus grand plaisir, accompagné du rire dans la fête de tous les sens, tout en bravant les tempêtes aussi multiples que variées et sordides à souhait, voilà où se trouve l'accélérateur. Et si l’un de ses éléments nous manque, il nous en reste toujours suffisamment pour nous rattraper.

Nous avons tous les outils. Il ne nous reste plus qu'à nous défaire de toutes les tempêtes, à commencer par nos tempêtes intérieures.

(Texte protégé)

Quel que soit ton rêve, commence-le.
L'audace a du génie, du pouvoir et de la magie. Prends pour outils l'amour comme épée et l'humour en bouclier.
Si tu crois en toi, alors l'Univers tout entier se pliera à ton désir.

Jean Luc

Tu écris tres bien jean Luc, c'est agréable et pleins d'émotions. Merci
pourrais tu nous donner le titre et les référence du livre que tu as écris ?
c'est un extrait n'est ce pas ?

c'est rassurant et c'est un tres beau message à partager.

Oui, bien sûr.

J'ai écris :
Numérologie pour tous, numérologie sacrée, aux éditions ABM éditions, nom de l'auteur (le mien) Jean Luc Weil (attention, ce livre est assez complet. C'est un pavé de plus de 500 pages mais qui peut s'utiliser très facilement).

J'ai écris aussi :
Enigmes sur la planète bleue (même éditions et le nom de l'auteur est Jean Luc Twice car en cours de route, mon éditeurs m'a mis un co auteur que j'ai accepté et qui est un autre Jean Luc). Je crois me souvenir d'un peu plus de 400 pages.

J'ai écris, mais toujours pas publié :
Légendes de l'immortalité
Qui sera un petit recueil de quelques contes et légendes tirées de la mythologie (et aussi parfois de ma petite tête) où je me suis beaucoup amusé à faire parler les dieux et les demi-dieux, à ma façon. J'ai aussi ajouté ma pensée en y noyant parfois, discrètement, quelques unes de mes expériences personnelles). Je fais tout ce que je peux pour faire moins de 300 pages et je crois que j'y suis parvenu... pour ce grand bavard que je suis. J'en ai écris à peu près le tiers dans ma chambre de clinique, en moins d'une semaine ! Allez comprendre ! Et ça m'a beaucoup aidé à déplacé ma concentration sur autre chose que la douleur.

Je suis en train de travailler sur un oracle qui sera sûrement composé de 32 arcanes, le tout axé sur la numérologie et l'Arbre des Sephiroth. Le jeu pourrait être accompagné non seulement de son petit livre explicatif, mais pourquoi pas d'un petit conte à ma façon, et pour lequel je veux, comme d'habitude, y mettre beaucoup d'amour, autant que d'humour, avec une particularité supplémentaire : indiquer, lorsqu'on tire un arcane à l'envers, connotation négative, comment on peut quand même s'en sortir.

J'ai aussi écrit, mais jamais publié car cela semble n'intéresser personne un livre sur les histoires drôles de Jean Luc. Et j'avoue avoir totalement abandonné sa publication et n'en ressens aucune gêne.

Et il me reste encore deux ou trois autres sujets dans la manche.
Comme je ne suis pas un auteur connu, ce n'est pas simple d'intéresser.
Comme je ne suis pas fortuné, ce 'est pas simple de m'auto-éditer.

Je ne peux pas mettre de lien mais pour info, ma maison d'éditions se trouve en Seine et Marne, à Courtomer, et le directeur est M. André Besnard (pour vous faciliter la recherche si besoin est).

Merci, ça semble bien intéressant;

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J'avoue que celui que tu n'as pas encore édité devrait me plaire encore plus, moi qui suis férue de mythologie et légendes, j'espère qu'il sortira bientôt.

Je n'ai aucune idée de quand il pourra sortir. Mon éditeur ne le possède pas encore dans sa version finale (et j'attends qu'il me paie tous mes droits d'auteurs - et il en manque depuis 2011 - avant de lui donner le suivant). Peut-être que j'aurai une meilleure notion de sa publication vers la fin de l'année mais pas sûr.

Quant à son contenu, ce sont, pour la plupart, des choses connues mais revisités par moi.
Mon but premier était de réconcilier les petits et les grands avec la mythologie, en faisant en sorte que tout soit lisible de façon anecdotique et avec de la légèreté, de l'amour et de l'humour, seule façon d'intéresser une quelconque personne en apprentissage.

Merci JL . c'est interessant de voir sur quoi tu travailles et à travaillé.
je vais faire mes petites recherches

Si questions, je répondrai.

je rappelle que la pub est interdite sur le forum SAUF si c'est en rapport avec le post

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et puis de toute facon c'est qui le chef ici

Chantara, je crois que tu ne lis pas les commentaires précédents, j'avais déjà posté les liens!

j'ai lu le commentaire mais pas le lien

(Si je peux demander à Jean-Luc de séparer d'avantage ses messages en paragraphes, c'est difficile à lire pour moi quand c'est trop serré, alors je zappe et cela m'ennuie beaucoup car tout ceci est passionnant. merci.)

on va lui dire souléou gros bisous à toi

Merci Chantara , bisous à toi aussi et bonne journée.

Lou Soléou.

Pour ce texte, je ne pouvais pas trop le scinder en paragraphe car je l'ai présenté sous la forme d'un dialogue, mais je vais essayer d'y faire attention.

Merci Jean-Luc, je suis sensible à ta réponse.

Ma réflexion concernait aussi d'autres sujets, et je comprends très bien que cela puisse être difficile parfois.
Rédigeant de nombreux textes je me heurte aussi à ce genre de problème.

Lou Soléou ma fi canta !

Lou soulèu mi fa canta, (la phrase exacte).  
mais en ce moment lou soulèu mi fa caga à cause de sa trop généreuse chaleur !

Oh bonne mère !
Même ici il nous fait venir la transpiration.

Ah oui, j'ai fait une erreur avec ce provençal que je ne parle pas vraiment en dehors de quelques mots que j'ai compris lorsque j'ai vécu il y a longtemps, la première fois à Martigues durant trois ans, et la seconde fois en haut des collines de l'Estaque, au Rove, durant cinq ans.